Layana à l'école des sorciers ~ et si rien n'était pareil... ||en cours||

chapitre 3: voie 9 ¾

Le dernier mois que Layana passa chez elle n'eut rien de très amusant. Sa mère avait voulu lui apprendre la pratique de plusieurs sortilèges et maintenant elle savait en réaliser plus qu'elle ne devrait savoir à la fin de sa 1er année. Elle n'aime pas l'idée d'avoir une telle avance sur ses futurs camarades, ça la mettait mal à l'aise, elle trouver qu'elle n'avait aucun mérite. En dehors de ses cours avec sa mère et les petits moments familiaux, elle passer beaucoup de temps avec la chouette effraie blanche baptisée Lilith qu'elle avait adoptée lors de sa sortie sur le chemin de traverse.

Le jour de la rentrée à dix heures et demie, elles et ses parents étaient à King's Cross. Son père la regarda et lui dit.

- Tu es sûr de ne pas vouloir faire l'école à la maison, ta mère reprend sont travaillés, je pourrais démissionner et t'apprendre.

Layana souffla d'exaspération et dit à son père.

-non je vais aller à poudlard.

-d'accord mais si..., Élina le coupa.

- dépendons-nous, sinon tu vas rater le poudlard express!

- oui, oui dis-je.

La chouette enfermée dans sa cage intriguait les autres voyageurs Ils allèrent directement voie 9 ¾; 

  Layana passa la première. Penchée sur son chariot, elle se mit à courir. La barrière se rapprochait. Elle continua de courir sans rencontrer aucun obstacle et lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle vit une locomotive rouge le long du quai où se pressait une foule compacte. Au-dessus de sa tête, une pancarte signalait: « Poudlard Express—11 heures ». En regardant derrière elle, Layana vit une grande arche de fer forgé à la place de la barrière et des tourniquets. Un panneau indiquait: « Voie 9 ¾ ». Elle se tourna vers sa mère cette dernière lui dit.

-dépêchons-nous.

P.O.V Layana

Je pris la cage de Lilith, quand mon père m'arrêta et me dit.

- je veux que tu sois prudente, promets-moi de ne pas jouer les héroïnes et à te mettre dans des situations délicates.

-je te le promets papa, dis-je tout en croisant les doigts dans mon dos. Je ne pouvais pas lui promettre une telle chose, certes    je n'ai jamais eu d'amis mais si je vois une personne en mauvaise posture je l'aiderais sans hésitation. Il me prit alors dans ses bras, puis ma mère nous rejoint dans cette étreinte.

-Bon je dois y aller, le train va partir sinon.

Mon père me répondit,
-Prends soin de toi, nous t'aimons plus que tout au monde.

-Moi aussi je vous aime, je vous écrirai régulièrement.

Je me retournai alors et je rentrais dans le train, je me faufilais à travers les différents wagon afin de trouver une place dans un compartiment, puis je le vis assis tout seul.

-Salut dis-je.

Il releva la tête dévoilant ses lunettes rondes, puis il me répondit.

- oh salut, tu vas bien depuis la dernière fois?

- À merveille et toi?

- oui oui.

- je tournai ma tête vers ma valise et dis, attends une seconde je vais hisser ma valise là-haut.