Il est le Bourreau. Ni un super héros, ni un super vilain, mais le potentiel d'être les deux. Craint et admiré, son rôle est de punir. Son outil: ses mains. Son pouvoir: vous faire vivre tous vos crimes en une seule fois.
Froid et distant avec tous...
Eh oui! Me revoilà et avec la motivation d'avancer aussi. Comme vous le voyez les chapitres sont bien plus long. Mais je les posterais normalement 1 par semaine. Je me suis enfin organisé, j'ai repris une habitude saine dans ma vie. Le chapitre 4 est en cours d'écriture et il est déjà bien avancé^^.
Pour vous rassurer, voici désormais mon planning. J'écrirais donc 5 jours par semaine. Bonne lecture.
PS: faite attention car ce chapitre est le 1er à avoir des éléments nouveaux de l'ancienne version.
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Jusqu'au moment du rendez-vous, j'avais maudit Solar. J'avais offert les cadeaux à mes chats et monter les arbres à chats. Depuis mon existence n'avait plus le moindre intérêt pour eux. Même Cycy m'avait délaissé pour cette foutue peluche de lapin qu'elle emmenait partout !
L'heure approchant, je regardais mon armoire ouverte de manière désespéré. Que devrais-je porter pour ce soir ? Solar n'allait clairement pas m'emmener dans un restaurant de luxe. Cependant, je ne voulais pas être trop relaché où je risquai de l'encourager dans sa stupide drague. Mais le contraire était vrai aussi. Être trop guindé rendrait cela trop suspicieux et pas crédible, même pour quelqu'un comme Solar.
Mes yeux s'égarèrent sur mes tenues de travail. Une idée saugrenue, mais intéressante me traversa. Le Bourreau pouvait faire face plus facilement à Solar qu'Aaron et il était aussi attirant qu'une tombe. Un sourire mauvais étira mes lèvres. Je savais désormais comment j'allais me vêtir.
À l'heure du départ, j'ouvris la porte avant que le héros ne sonne. Il perdit son sourire, un peu désarmé par mes vêtements. Les siens étaient simple : un jean, un maillot blanc qui moulait ses muscles développés.
Une chaleur inattendue se forma dans mon bas ventre et une autre au niveau de mes joues. Heureusement, la nuit aida à dissimuler mon malaise soudain.
– Je pensais que tu mettrais une tenue plus... décontractée ?
– Un problème avec ma tenue ? Chez moi c'est chez moi. Dehors c'est dehors, répondis-je calmement.
Je vérifiai que mes gants noirs, assortis à mon ensemble de travail, étaient bien mis en place et fermai la porte. Puis me retournant, je le fixai.
– Posons les règles tout de suite : tu ne me touches pas. Si tu as une quelconque impulsion de m'enlacer, tu te retiens ou je considérerais cela comme une attaque. Oh ! Évite les mots doux et les regards mielleux. Je ne suis pas une sucrerie, mais je risque de te casser les dents, énumérai-je froidement.
Une forte envie de glousser en voyant sa tête qui me rappelait fortement celle d'un hibou. Il avait les yeux qui ressemblaient à des hublots avec son air déconcerté par mes propos. Cependant, il se reprit vite et me lança taquin :
