Le prince du crime {Moriarty x oc}

Chapitre 4~

Ohayo Mina, voilà mon nouveau chapitre sur Moriarty !!

j'espère qu'il va vous plaire, sur ce, bonne lecture... ^^

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Je me réveille en sursaut. Les événements de la veille me reviennent. Je pense allais voir aujourd'hui les dégâts...

Je me lève et pars dans la salle de bain pour me laver et m'habiller.

Je ressors avec une robe blanche, simple. Mes cheveux sont mouillés mais ce n'est pas un problème. Je sors de cette pièce. Le couloir est long... je ne sais pas où aller....

Albert m'avait dis que je pouvais le voir, sa chambre est juste en face, mais je ne veux pas le déranger... bon, je vais tenter de retrouver mon chemin.

...

Après 30 minutes de marche...

Très mauvaise idée, j'aurais du demandé à Albert...

J'entends des pas se rapprochés, je me tourne vers ce bruit, et voit Moran.

"- Eh bien mademoiselle Braun, vous vous êtes perdue ?

- Eh bien... on peut dire ca .... Mais s'il vous plaît appelez moi par mon prénom, je déteste les formalités.

- Si vous le voulez, Misaki. Alors appelez moi Sébastian et non Moran.

- Très bien, et tutoyez moi, je fais vieille alors que je n'ai que 21 ans.

- D'accord, alors Misaki, oú veux-tu aller ?

- À la salle à manger, je n'ai pas pris de petit déjeuner, et je dois dire que j'ai faim.

- Suis moi, j'y allais justement."

Sur le chemin, je fais connaissance avec Sébastian, son histoire, son vécu... c'est vraiment une bonne personne et il est vraiment sympa.

On arrive à la salle à manger, il y avait déjà William et Albert... et un petit garçon...

"- William ! Regarde qui j'ai trouvé perdue dans le manoire.

- Sébastian, tu sais que c'est pas bien de se moquer des autres... dit le petit garçon.

-Misaki, je vois que tu n'as pas fais connaissance de Fred, dit William en désignant le petit, C'est Fred Pollock, Fred voici Misaki Braun, nous l'hébergeons pendant un certains temps.

- Ravie de te rencontrer Fred.

- De même, juste une question, comment fais tu pour si bien t'entendre avec Sébastian.... car il est énervant quand il le veut... c'est à dire tout le temps.

- Je ne sais pas... mais là où j'habitais avant, tout était calme, trop calme, alors que quelqu'un qui fait du bruit sois à côté de moi me fais plaisir.

- Attends.. Misaki c'est méchant ce que tu dis... s'exclame l'ancien colonel.

- Désolée.... mais c'est marrant c'est tout.

- Misaki c'est encore plus blessant...."

Je ris face à la remarque de Sebastian.

Je m'assis à côté d'Albert sous sa demande. Moran, s'installe en face de moi, à côté de Fred. Nous discutons, je leur raconte mon enfance assez basique, très ennuyeuse puisque j'ai vécu avec des nobles.

Pendant que j'y pense... je vis avec des nobles... pourtant je sais bien qu'ils ne sont pas comme les autres, mais ils restent des nobles.

"- Mademoiselle, tout va bien ? me demande William.

- Euh... oui tout va bien, pourquoi cette question ?

- Vous regardiez dans le vide, Moran a essayé de vous parlez mais vous étiez ailleurs.

- Ah. Excuses moi Sebastian.

- Ne t'inquiètes pas, c'est pas grave.

- D'accord. Tout va bien alors.

- Excusez moi, mais un invité est arrivé, je lui dis de vous rejoindre? intervient Louis.

- Oui, il peut nous rejoindre, il est tôt et je pense qu'il a faim. dit William.

- Bien je vais le chercher."

Pendant ce temps, nous continuons de manger et de parler, c'était très animé. Je n'ai jamais connu cela...

"- Oh le mathématicien !! Je suis venu pour vous voir justement pour l'affaire d'hier.

- Sherlock, je vois que tu n'es pas blessé, c'est déjà ça. Viens donc t'installer avec nous.

- D'accord merci. Oh, la demoiselle d'hier, Misaki Braun, vous allez bien?

- Oui merci, mais je suis rassurée surtout que vous vous êtes pas blessé.

- Ne vous inquiétez pas, la priorité était de vous sortir de là. il s'installa à côté de moi et Louis en face du détective. Bien, pour commencer, la plupart des nobles ont été assassinés. Mademoiselle Misaki, cela ne vous gêne pas que l'on discute de ceci à table avec vous ?

- mnmnmn mnmnm mnmnmnmn. dis-je la bouche pleine.

- Je n'ai pas tout compris... dit Sherlock, tout le monde se tourna vers moi, Moran se moque de moi, Albert et William sourient, Fred tente de calmer Moran qui est entrain de s'étouffer avec sa salive et Louis réprime Moran...

- Excusez moi... c'était juste trop bon... enfin non cela ne me gêne pas ce n'est pas parce qu'il y a des meurtres ou ces genres de choses que je vais vomir et autres choses. Je suis habituée à cela en discutant avec d'autres nobles de ces affaires.

- Bien, comme je disais, la plupart a été assassinés, les autres ligotés. Ils disent tous ne pas savoir qui est l'agresseur... William et Albert, pourquoi étiez vous partie de la soirée?

- Nous étions partie réglé un problème avec les parents de Misaki, pour une affaire. Ils vous diront que c'est vrai. dit Albert.

- Bien... de toute manière, si c'étaient vous les agresseurs, vous les aurez tués et leur fille également. 

-  Cela va de sois, mais nous ne sommes pas les tueurs... dit William

- Malheureusement Misaki, vos parents sont morts... je suis désolé"

Je pense que je n'aurais pas dû réagir ainsi, puisque depuis ma réponse, mon monde a changé.

"- Ce n'est pas grave, ils ne sont pas de grandes pertes dans la société pourrie qu'est celle de l'Angleterre, et j'avoue même que je suis heureuse de leur mort. Je peux même vous assurez qu'ils ne m'ont laissés aucun héritages.

- C'est exacte, ils ne vont ont laissés aucun héritage; mais comment pouvez vous le savoir ?

- C'est simple, ils me détestaient comme la peste, et je vous avoue que moi aussi, comment aimez des gens pareilles, c'est un soulagement leur mort. 

- Et bien si vous le prenez ainsi.... Mon devoir de détective va commencer, je vais trouver qui est l'assassin de vos parents, même si je pense que vous ne vouliez savoir qui c'est puisque vous vous en fichez, si je peux utiliser ce terme.

- Vous avez raison, je m'en fiche. Mais faites vôtre travail, vous serez alors payez par l'état.

- Bien je m'en vais alors, Misaki, au plaisir de vous revoir, William et ses frères et amis, au revoir."

Puis il partit, je me leva de table pour me diriger vers ma chambre.

Je pense que je pourrais même partir plus tôt que prévue de chez les Moriarty.

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