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𝐒𝐞𝐨𝐮𝐥, 𝐾𝑖𝑚'𝑠 𝐻𝑜𝑚𝑒
𝐕𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢, 26 𝑂𝑐𝑡𝑜𝑏𝑟𝑒
9 : 39 𝐏.𝐌
Le trajet avait été extrêmement silencieux, j'avais été totalement mal à l'aise et très gêné. Je sentais parfois son regard persistant sur moi et quand je voulais parfois moi aussi regarder ses traits si unique et qu'il me prenait sur le fait, je détournais précipitamment le regard vers la vitre si propre, en faisant mine de rien. Je remarquais aussi que plus on roulait, plus on s'éloignait de la ville qui était vraiment animée, pour une route plutôt sombre, forestière et enfouis de par la verdure à l'abri de toute animosité.
Arrivé sur une toute petite allée restreinte et bien plus sombre, je vis les phares allumés de la voiture illuminées un immense portail noir si éléphantesque que de par sa hauteur on ne voyait strictement rien se dessiner sous nos yeux. Ce portail était tellement immense qu'il faisait envahissant. Taehyung baissait sa vitre pour passer sa main à travers celle-ci et passer son pouce sur la surface tactile du petit boîtier incrusté dans le cadrage posté sur le mur en béton armé blanc.
La reconnaissance étant faite, il laissait sa trace papillaire latente et l'empreinte blanche de son pouce passait soudainement au vert après qu'une voix féminine robotisée ne sorte du petit boîtier noir.
── Bienvenue Kim Taehyung.
C'était génial comme petit jouet electronic, les deux grand portails aux pointes semblant hyper solides et pointues qui ne semblait faire qu'un fermés, s'ouvraient lentement en se séparant l'un de l'autre. J'avais comme l'impression de redécouvrir le monde, on passait assez vite le portail et ça se refermait derrière nous.
Ce n'était pas une simple maison ça, c'était clairement une de ses maison qu'on ne voyait que dans les catalogues et magazines d'architectures haute qualité. La devanture extérieur de la maison était tellement grande, au milieu de celle-ci se trouvait une fontaine, mais pas comme les autres. C'était tellement jolie et totalement or du commun, au milieu de cette cour rempli d'arbre autour se trouvait un immense et grand cœur visiblement massacré par plusieurs flèches du grand Cupidon de toutes parts. Chaque flèches trouant ce grand cœur faisait ressortir une coulée d'eau reflétant chacune d'elle, une couleur bien défini. Mais le plus étonnant était le fait que ce cœur était brisé, comme ayant subit de multiples tumultes douloureux, n'avait pas l'air d'être causer par les nombreuses flèches plantées.
On l'a contournait et s'arrêtait devant la demeure figée devant nous, c'était immensément grand et démesuré. À combien on vivait à l'intérieur, il pouvait y avoir un nombre incalculable de personnes à l'intérieur. Et pourtant, il ne m'avait pas dit qu'il y avait une autre personne présente qui vivait autrefois avec nous.
