Ils avaient été là.
Dans leurs forces,leurs faiblesses et tout ce qui faisait d'eux des humains.
Ils avaient combattu,de toute leur âme,ils avaient tenus.
Et quand bien même leurs péchés avaient été pardonnés,ils payèrent le prix.
Peut-être de leur...
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• You promise me ? • (Tu me le promets ?)
• Pas de ships •
• Mentions de personnage Kuroko no Basket •
• Yushiro Hoshino et Shūzō Nijimura •
•Warning: Léger sous-entendu de suicide •
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❝Regarde,tu vois ce grand ciel bleu ? Je suis sûr qu'ils nous voient. Sourit. Montre leur que tout va bien. Qu'on va s'en sortir à deux. Que tout ira bien. Que rien ne nous séparera.❞
Dis-moi grand frère, était-ce une promesse ce jour-là ?
La promesse d'une vie à deux. Une nouvelle vie. Effacer l'ancienne et recommencer à zéro. Rien que tout les deux.
J'avais quel âge le jour de ces paroles ? 4 voire même 5 ans ? J'étais jeune. J'étais jeune et naïf. J'ai été con de croire à ces paroles.
Pourtant je ne t'en veux pas. Tu ne faisais qu'essayer de me rassurer. Du haut de tes 15 ans,tu me protégeait déjà de la vie. La vraie vie. Et non le monde dans lequel je m'étais enfermé.
Ce monde que j'avais créer. Celui où ils étaient encore vivant. Celui où on allait se retrouvait tous ensemble,le soir,dans le jardin. Celui où papa me prenait dans ses bras pour que j'arrive à mettre le ballon dans le panier. Celui où maman riait, assise à la table,un livre dans les mains. Celui où tous les soirs tu souriais et je sautais dans tes bras.
Tu te souviens ce matin-là ? J'avais 3 ans et t'en avais 13 ou 14. On s'est réveillé tous les deux. J'avais fait un cauchemar et j'étais venu dormir dans le lit du haut,avec toi. Maman n'était vraiment pas bien ces derniers jours et papa nous avait interdit de venir la nuit parce qu'elle avait besoin de repos. Elle passait ses journées dans ce lit tout blanc,une perfusion accroché à son bras. L'odeur de la pièce était forte. Ça sentait les médocs. Et si je devais poser un mot sur cette odeur aujourd'hui, j'aurais dis un mélange de plantes,contenant avec certitude de l'eucalyptus.
Tu m'avais pris dans tes bras et nous étions descendu dans le salon. Personne. Papa et maman n'étaient pas là. Nous sommes allés dans la cuisine et avons vu la voisine. Elle était là,le visage triste et compatissant à notre vue.
On a pris notre petit déjeuner et on est remonté dans notre chambre. Enfin j'y suis remonté. Manquant d'ailleurs plusieurs fois de tomber dans ces fichus escaliers. Tu étais allé parler avec la voisine et m'avais dit que tu arrivais. Tu n'es jamais remonté grand frère.
