Ils avaient été là.
Dans leurs forces,leurs faiblesses et tout ce qui faisait d'eux des humains.
Ils avaient combattu,de toute leur âme,ils avaient tenus.
Et quand bien même leurs péchés avaient été pardonnés,ils payèrent le prix.
Peut-être de leur...
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• The time of a night,of a simple dance with the stars. • (Le temps d'une nuit, d'une simple danse avec les astres.)
Argent comme ses cheveux. Argent comme le ciel aujourd'hui. Argent comme les clés qu'il lui avait donné.
Il regarda les fameuses clés puis l'immeuble devant lui. Troisième étage, numéro 6. L'envie de pousser la lourde porte le menant dans le hall le rongeait. Mais l'envie de ne jamais entrer aussi. Ne plus jamais rentrer. Déchirer cette page de sa vie. Oublier cet immeuble et cet appartement pour l'éternité.
Il avait la furieuse envie de courir. Comme si son passé allait se perdre dans le brouillard et la pluie,au fil de sa course. Qu'il ne reviendrait jamais.
On ne peut réécrire l'histoire,ni la supprimer. On peut seulement en faire abstraction et avancer. On peut seulement se permettre de l'oublier,le temps d'une nuit. Le temps d'une nuit oú l'on danserait avec les astres. Le temps d'une nuit, idylle d'une vie oubliée. Le temps d'une nuit oú les rayons lunaires parcouraient le firmament, emportant de lointains souvenirs avec eux,le temps de leur errance dans ce monde.
Il ne voulait pas se laisser aller, rien qu'une nuit. Non. Il n'en avait pas besoin de ce temps. Tout peut s'oublier si facilement. Tout peut disparaître si rapidement.
Il n'avait pas besoin de cette chaleur dans son coeur. Il aurait aimé ne pas se tromper. Il aurait aimé ne pas être aussi faible face à cet amour. Face à lui.
Te souviens-tu de nos soirées dansantes avec les astres ?
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Bleu.
Bleu comme ses yeux. Bleu comme la glace qui entoure son coeur. Bleu comme les cheveux de sa confidente.
Elle essaya de poser sa main sur son épaule. Il recula, comme apeuré. Isabelle n'insista pas,son regard triste et son sourire peiné ne fit que serré un peu plus le coeur de son confident. Une lueur désolé passa dans le regard azur de ce jeune homme. Mais qui pouvait bien le voir,alors qu'il s'était renfrogné. Un an que cela durait.
Peut-être avait-il trop jouer pour accepter encore les mains d'autres personnes sur son corps. Peut-être avait-il trop tenter pour qu'il ne croit encore en l'humanité. Peut-être avait-il réussi à voler ce regard froid,empli de confiance avant son départ. Peut-être l'avait-il seulement utiliser et manipuler.
