❝𝐈𝐧𝐬𝐞𝐧𝐬𝐢𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐲❞ || 𝑳𝒆𝒆 𝑺𝒊𝒚𝒆𝒐𝒏

Chapitre 2

« 𝘓𝘰𝘷𝘦 𝘳𝘦𝘲𝘶𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘢 𝘭𝘰𝘵 𝘰𝘧 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘦𝘷𝘦𝘳𝘢𝘯𝘤𝘦. 𝘸𝘩𝘦𝘯 𝘪𝘵 𝘨𝘦𝘵𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘭𝘪𝘤𝘢𝘵𝘦𝘥, 𝘺𝘰𝘶 𝘩𝘢𝘷𝘦 𝘵𝘰 𝘳𝘦𝘥𝘰𝘶𝘣𝘭𝘦 𝘺𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘧𝘧𝘰𝘳𝘵𝘴. » — Jungkook

Toute la matinée, SiYeon avait travaillée au lycée sous le regard désapprobateur de l'inconnu. Le dénommé TaeHyung Settels ne faisait que de lui lancer des regards noirs, et analysait chacun de ses faits et gestes, alors elle s'était mise à l'ignorer.

Ce n'est que lorsque que son téléphone se mit à sonner que cette dernière s'était laissé une seconde de répit. Se retrouvant subitement devant l'établissement, dehors.

Ce crétin n'était rien.

Son téléphone s'était mit à sonner alors qu'elle se trouvait devant l'établissement scolaire, cheveux au vent.

— Allô, SiYeon à l'appareil, Soupirait t'elle.

— A-Allô? Alors, tout s'est bien passé ?

Son partenaire Jeon.

— Oui. Ça allait.

— Ah, très bien. Tant mieux alors...je suis pas loin du lycée, tu n'as pas encore mangé n'est-ce pas?

— Non.

Du coin de l'œil elle venait de réaliser que Taehyung s'approchait d'elle, nonchalant.

— Je suis bientôt la !

Elle ne savait pas quoi dire alors elle avait simplement raccroché. Bien sûre, elle aimait bien la compagnie de Jungkook malgré le fait qu'elle détestait les hommes. Il n'avait jamais essayé de la touchée ou quoi que ce soit.

Mais, elle préférait être seule. C'était quelqu'un de solitaire.

Alors qu'elle fixait les nuages gris derrière ses lunettes sombres, elle sentait la présence de quelqu'un.

— Vous ne partez pas?

Elle s'était retournée, pour tomber sans surprise sur cet imbécile. Siyeon se doutait bien que c'était lui, il n'avait fait que la suivre pendant qu'elle travaillait.

Les mains dans les poches de sa grande veste en cuire, il s'était mit à ses côtés en fixant lui aussi les nuages gris au dessus de leurs têtes.

— Ah, ils ont annoncé des orages, Murmurait ce dernier les sourcils froncés.

— Je fais mon travail. C'est vous qui devriez partir, vous n'êtes d'aucune utilité.

— Ne faites pas n'importe quoi. Vous dites n'importe quoi. Je déteste les gamines de votre genre...vous feriez mieux d'aller réviser vos cours.

— Imbécile. Faites au moins preuves de maturité. Ai-je touché votre ego?

— Pardon ?!

Il se demandait si il avait bien entendu. Les yeux écarquillés, il relooka la femme qui n'avait pourtant pas bougé d'un iota, fidèle à elle même. Le regard fixé sur les nombreuses fenêtres de l'établissement, elle s'imaginait les élèves travailler.

— Moi, je déteste les imbeciles de votre genre. J'ai 24 ans, je ne suis pas une gamine. Je fais juste mon travaille.

Du coin de l'œil, elle avait crut voir son teint perdre ses couleurs. Sa bouche s'était ouverte et refermée alors que l'homme la pointait du doigt.