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par diallorina

par @diallorina

CATHERINE

Sous le soleil d'un mois de mars , une petite foule se tenait en bas de l'immense immeuble de Park construction. Une firme à plusieurs milliard de dollars, dans ce petit nombre se trouvait une jeune femme . Cheveux roux , attaché malencontreusement jeans déchirés suivant la tendance des jeunes . Une expression déterminée sur le visage , les sueurs qui perlaient sur son front témoignaient de son implication. Les bras au bout de leur vie tenait fermement cette pancarte qu'elle avait mise des heures à faire . Cette femme dans la vingtaine était Catherine -vi, une jeune demoiselle sur qui on en disait beaucoup. Pour 25 ans , elle en avait des expériences . Et aujourd'hui, elle avait à faire à l'une des plus grande de sa vie . Park Chanyeol ! Cette homme qui voulait détruire ce qu'elle avait de plus cher. C'est ainsi qu'elle c'était retrouvé à Séoul pour combattre cette homme avec l'aide de quelque personnes de son village . Elle ne pouvait laisser ce monsieur détruire son habitat, l'endroit où elle avait passer toute sa vie . L'endroit où elle avait enterrée son défunt père . Détruite cet environnement paisible pour y construire un hôtel , comme s'il n'y avait pas assez à Séoul. Elle ne pouvait se faire à cet idée !
Tout en haut de la tour , un homme à la carrure de mannequin regarde la petite foule .

Park Chanyeol, un homme d'affaires des plus respectés. Propriétaire de la grande firme Park construction, qui portait d'ailleurs son nom .

- Tu devrais peut-être leur parler . Tentais son conseiller, qui était le seul homme dont Park Chanyeol considéré les propos . Ça fait deux semaines qu'ils sont là . Poursuivi t'il . Le noiraud qui avait toujours ces yeux rivés vers la petite foule, froncés légèrement les sourcils suite au propos de son ami.

- Tu penseras à renvoyer le personnel de sécurité, et me trouvé un autre plus compétent. Dit il , ne daignant adresser un regard vers son subordonné. Ce dernier , qui ne voulait risqué sa peau se contentait de lâcher un oui à contre cœur . Il connaissait le prix à payer , quand on se frottait à l'homme de glace . Tels était son surnom , son absence d'émotion lui avait valut cet appellation. Comme le dit il bien ' Dans le monde des affaires il n'y a pas de place pour les sentiments' il appliquais cette règle tout aussi bien dans les affaires que dans sa vie personnelle. Après plusieurs années au près de cet homme , Kim Jong-in n'arrivais pas à cerner la cause de cet froideur . Certes il n'était pas aveugle, il voyait bien la peine qui se lisait dans les yeux de son boss mais il n'avait jamais osé aborder le sujet . Il était certain que cet homme , cacher un lourd secret.

- Appel la police , il faut qu'il me débarrasse de ces vermines ! Crachait il avant de se diriger vers son bureau . Il s'asseyait sur la chaise en cuir , tout en examinant l'homme qui se tenait devant lui .
- Je ne crois pas que ça soit une bonne idée. Risquait Jong-in .

- Je te demande pardon ? Répondit Chanyeol, les sourcils légèrement froncés .

- Si nous faisons ça , l'opinion publique seras de leur coter . Poursuivi l'assistant . Un sourire mesquin fendit les lèvres pleines de l'homme en glace , amusait par les propos de son ami .

- Et depuis quand l'opinion publique m'intéresse ? Posait il la question sans pourtant attendre de réponse . Je veux qu'on me vire ces insectes, c'est la seul chose que je te demande. Conclut il.

- Okey , je vais le faire . Répondit il .

- Tu peux partir, mais avant ça demande à cet incompétente de secrétaire de me remettre les dossier du centre commercial. Ordonne t'il à son subordonné, ce derniers ce contentais d'acquiescer avant de sortir du bureau . Laissant un homme seul avec ces réflexions.

- Je vous prierez de quitter cet endroit , ceci est une propriété privée. Intimait le policer au personne qui c'était regrouper devant l'entrée de Park construction.

- Ça n'a sert à rien , cet homme ne changera pas d'avis . Une femme d'un certain âge pris la parole, après 14 jours de dure manifestation cet homme n'avait même pas daigné les recevoir au contraire il avait fait appel à la police. Et ce n'étais pas la seul qui affichait un air battu , presque la moitié se disait la même chose. D'autres , qui ne voulait pas avoir de problème ne pouvait qu'abandonnées. Parmi tout ces désespérés, une seul femme continuait de croire que tout n'étais pas perdue.

- On ne doit pas abandonner, c'est exactement ce qu'il veut . Criait elle , mais ces compatriotes en avaient marre d'espérer.

- Je suis désolé de le dire , mais on ne peut rien contre cet homme . Le mieux c'est de nous faire a notre sort et trouver un endroit où habiter. Insister la dame . Ce n'étais pas assez pour faire changer d'avis Catherine.

- Mais cet endroit c'est tout ce qu'on a , c'est la bas notre vie pas ailleurs. Poursuis t'elle .

- Mon enfant je sais que c'est dur , mais vas falloir t'y faire . Quand on es pauvre on es obligé de passer par des situations comme celle ci. Conclut elle, le cœur meurtrie tel était le sort des moins chanceux se faire marcher sur les pieds par les riches. Et ça la rousse ne pouvait l'accepter, tout être humain est égaux .

Malgré ces protestations, plusieurs d'entre eux se mirent à partir, la laissant seul . Jamais , jamais elle n'allait abandonner. Catherine vi étais une battante, et ce n'étais pas sûrement un gars sans cœur qui allait l'arrêter. Mais ce jour là , elle ne savait pas dans quelle histoire elle s'aventurait. Et ce qu'elle se doutais le moins, c'était à quel point cet histoire allait changer sa vie .

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