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𝐹𝒪𝑅 𝒜𝐿𝐿 𝒯𝐻𝐸 𝒢𝒪𝐿𝒟 𝐼𝒩 𝒯𝐻𝐸 𝒲𝒪𝑅𝐿𝒟 27. There is always a but...
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LORSQUE JJ ouvrit les yeux, elle avait disparu. Elle ne se trouvait plus à ses côtés. Ses vêtements eux non plus, n'étaient plus là. JJ était seul, allongé sur le lit à se demander si ce n'était pas un simple mauvais rêve.
Sa tête lui faisait toujours mal, tout comme les hématomes repartis sur son corps. Il était marqué pour un moment et il le savait, il fallait qu'il s'y habitue.
Il se frotta le visage machinalement avant de se redresser, l'alcool de la veille coulait encore dans son sang.
Et il se souvenait de tout.
La scène du jacuzzi, la réaction de ses amis, la scène avec Lauren lorsqu'il comprit qu'elle voulait partir.
Lauren, pensa-t-il.
Il se pressa d'enfiler un short et un débardeur avant de sortir de la chambre, traverser la maison en courant et sortir dehors, sur le porche, observant le bordel monstre qu'il avait foutu la veille.
Il y avait Pope.
Il y avait Kie.
— Ça va, Blondie ?
Et il y avait Lauren.
Jamais il n'avait été si heureux d'entendre sa petite voix.
Ses épaules s'affaissèrent presque aussi tôt montrant son soulagement avant qu'il ne se tourne dans sa direction.
Elle était là, assise en tailleur sur le canapé sous le porche, les cheveux relevés, dans un de ses tee-shirt qu'il avait du oublier ici, avec une tasse dans la main.
Elle se décala sur la gauche et tapota la place vide pour lui demander de venir.
JJ n'avait toujours pas sorti un mot.
Lorsqu'il s'assied, Lauren posa sa tasse devant elle sur la table basse et se tourna vers le blond, un bras passé derrière ses épaules.
— Tu as vu un monstre ou quoi ? Ironisa-t-elle. Tu tires une tête.
