Kuroshou week (OS) - [TERMINE]

OS 7 : Jour libre

Bon je préviens il y aura du lemon dans cet OS, pour le dernier quand même 😂
Du coup Little-Wind fais gaffe, je mettrais les passages en italique.
Bref, bonne lecture, et j'attends vos avis à la fin ^^

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Pdv Kuroo

Moi : Daishou...attends...on va pas faire ça ici quand même...
Daishou : si, j'ai trop envie. T'as juste a pas faire de bruit
Moi : facile à dire...

Suguru me regarde un instant dans les yeux, puis sourit diaboliquement. Ouh là...c'est mauvais signe...
Enfin, j'aurais du me douter avant que c'était pas une bonne idée quand il m'a attrapé le bras pour me traîner dans les toilettes.
Il m'attrape alors par les hanches et me retourne, et place une main sur ma bouche.
Je tente de protester, mais il m'empêche de parler. Je le laisse donc défaire ma ceinture et baisser mon pantalon. J'entends alors le bruit de sa braguette et déglutit bruyamment.

Suguru : je vais y aller d'un coup. Ok ?

Je lui fais un hochement de tête en tournant la tête vers lui, lui lançant un regard qui veux tout dire.
Il sourit de plus belle et entre en moi d'un coup sec. Mon cri est étouffé par sa main, puis par ses lèvres quand il se colle à mon dos pour m'embrasser.
Il commence des vas et viens en moi, mais il était tellement excité qu'il atteint son orgasme en quelques minutes seulement.
Étant assez sensible, mon orgasme arrive en même temps que le siens, chose rare car d'habitude j'ai le temps d'en avoir deux ou trois avant qu'il finisse.

Il se retire de moi et me lâche, attrapant du papier toilettes pour tout nettoyer.
Quand on a finit et qu'on s'est rhabiller, je sors le premier de la cabine et vérifie que personne n'est là, puis sors des toilettes.
Je ne l'attends pas, je ne veux pas que quelqu'un sache que je couche avec mon pire ennemi entre midi et deux dans les toilettes de la fac.
Je le déteste ce type mais bon. Il est quand même à mon goût, alors ça serait du gâchi de ne pas profiter du fait que c'est réciproque.
Je retourne maintenant en cours, et Bokuto me demande où j'étais. Je mens en disant que j'étais aller pisser, mais Oikawa ne semble pas y croire. Alors quand Bokuto pars faire je ne sais quoi, il se tourne vers moi avec un regard inquisiteur.

Oikawa : alors ? Quel mec est gay à pars toi dans cette fac ?
Moi : toi.
Oikawa : oui mais c'est pas avec moi que tu viens de baiser aux toilettes.
Moi : t'es vraiment un démon Oikawa.
Oikawa : oui, je sais. Alors ? C'étais qui ?
Moi : personne
Oikawa : oh allez, je dirais rien à personne.
Moi : bon ok...je sens que tu vas pas me lâcher. C'est Daishou.
Oikawa : QUOI !??!!
Moi : ah ferme là.
Oikawa : mais vous passez votre temps à vous engueuler !!
Moi : ouais je sais, je le déteste. Mais il est...
Oikawa : il est ?
Moi : il baise trop bien ça te va ?
Oikawa : donc c'est encore toi qui fais la meuf
Moi : oui. C'est parce que c'est moi qui ai proposé, donc il a accepté à condition qu'il soit au dessus.
Oikawa : eh beh...j'aurais jamais pu deviner ça...
Moi : saleté

Il allait répliquer quand son regard se fixe soudainement derrière moi. Je me retourne discrètement et vois Daishou, qui semble chercher quelqu'un. Et il s'avère que ce quelqu'un c'est moi, car quand nos regards se croisent, il vient vers moi d'un pas déterminé. Il saisit mon poignet et m'emmène en dehors de la salle.
La plupart des gens pensent qu'il veut encore me jouer un sale coup et me souhaitent bonne chance, mais vu son expression crispée, je vois que non.
Au bout de quelques minutes, il me lâche le poignet dans un couloir désert et isolé au dernier étage.
Il se tourne alors vers moi, une expression de colère sur le visage.

Daishou : comment t'as pu faire ça ?!
Moi : hein ? Faire quoi ?
Daishou : venir chez moi l'autre jour !
Moi : oh...euh...je...je voulais te voir en fait. Pour...tu vois quoi. Mais t'étais pas là.
Daishou : oui, mais mon frère oui. Il a dit à mon père qu'un mec était passé à la maison, et il m'a posé tellement de questions sur toi qu'il m'a grillé !!
Moi : bah, c'est pas grave. Si un père a plus le droit de savoir que son fils s'amuse un peu c'est la fin des figues
Daishou : arrête Kuroo c'est pas drôle, mon père...il est homophobe putain !! Il vient de m'appeler, et quand il a deviné notre relation il m'a dit que je ne devais plus jamais mettre les pieds chez nous !
Moi : ...
Daishou : je te déteste. Dégage de ma vie et ne me parle plus jamais.