Chapitre 35

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Moi : vous vous êtes qui ?!

Haroldo : je suis votre prince charmant Haroldo à votre rescousse

Moi(rire) : pouvez vous me redeposez

Haroldo : bien sûr mais dite moi m'amzel pourquoi faite vous les travaux toute seule ?

Moi : ohhh j'y tenais particulièrement, oh j'espère que je ne perds pas votre temps

Haroldo : bien sur que non je suis le boucher, ma boucherie n'est qu'à quelque pas de votre magasin, ici tout le monde se connaît donc vous aurez fréquemment de la visite

Moi (souriante) : c'est gentil

Haroldo : mais je suis bien curieux tu ressemble...ohhh puis je vous tutoyez (regard charmant)

Moi : bien sur je te tutoyerai en retour

Haroldo : bien, comme je le disais tu ressemble plus à une femme d'affaire qu'une simple vendeuse que viens tu vendre alors ?

Moi : merci de me voir comme une femme d'affaire (rire) mais je préfère être fleuriste

Haroldo : une charmante fleuriste alors, les affaires m'appellent mais ne t'inquiète pas je repasserai te rendre visite

Moi : ravie de t'avoir rencontrer alors Haroldo

Haroldo : moi de même

Il me lance un clin d'œil puis part en sifflotant, quel charmant personnage, je crois que je m'y ferai c'est mieux que de rester enfermé 24h/24  dans une si grande maison.

PDV Haroldo

Alors c'est elle, je l'a trouve bien naïve comme fille, (rire) elle resemble plus à une fillette qu'à une femme ça c'est sure.

Apelle

Moi : j'ai a peu près gagner sa sympatie

??? : bien il faut vite avoir sa confiance si possible que tu te rapproche du Sandriguez

Moi : ne vous inquiétez pas tout marche comme sur des roulettes

??? : il ne faut pas faillir à ta mission tu connaîs le prix à payer si tu échoue

Moi(voix dure) : bien sûre

??? : sur ceux à toutes

Fin de l'appel

Ces con !

Vous aussi je vous aurez, vous et ces soit disant Sandriguez, ce ne sont que des pourritures qui empêche les plus faible d'anvencer.

Krays: Haroldo vient vite la boucherie est pleine

Moi : j'arrive!

PDV Emilio

J'étais un peu procupper par ma Iris, je l'avais laisser seul, bien sûr j'ai mis des gardes en civile qui patrouille tout autour de sa boutique mais j'ai ce mauvaises pressentiment qui ne me quitte pas.

Antonio : ehhh Emilio revient à nous c'est pas le moment de rêvasser à la fillette

Moi : j'ai un mauvais pressentiment

Antonia : tu t'es tellement entiché d'elle que même si elle devait quitter ton regard une seconde que tu piquerais une crise

Moi (grongnon) : arrête ton ironie allons au port

Antonio : c'est toi qu'on attendais

Je me ferme mon esprit à toute distraction et j'affiche mon visage dénuée d'émotion dans la mafia aucun sentiment n'est admis, par expérience je l'ai appris mainte fois.

Lorsque j'arrive au niveau de la voiture je vois Maria me jeter un regard aussi noir que les abisses. Je détourne le regard avec une pointe de regret très fugace, même si elle n'aime pas le fait que j'ai repris les affaires douteuse de mon père d'après elle.

Elle est bien trop innocente pour connaître toute la vérité sur l'histoire profonde de cette soit disant famille, au même moment j'aperçois un homme à la tignasse bleu.

Le soir j'irai l'engueuler pour être si visible il est mon plus grand secret et je tiens plus que tout à le protéger, je serre ma mâchoire et je me remémore la promesse faite il y a bien longtemps.

Non je ne l' à trahirais jamais.




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Bon je sais que j'ai tardé j'en suis désolé et je vous remercie informe que je dirait plus exactement quand je vis publier parce que je ne tiens presque jamais ma parole et j'en ai marre donc je publierai lorsque l'inspiration sera là.

Je sais aussi que ce chapitre est vraiment court et je m'en escuse mais elle nous donnera cas même beaucoup d'informations

kidnappé par un milliardaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant