Moi : vous vous êtes qui ?!
Haroldo : je suis votre prince charmant Haroldo à votre rescousse
Moi(rire) : pouvez vous me redeposez
Haroldo : bien sûr mais dite moi m'amzel pourquoi faite vous les travaux toute seule ?
Moi : ohhh j'y tenais particulièrement, oh j'espère que je ne perds pas votre temps
Haroldo : bien sur que non je suis le boucher, ma boucherie n'est qu'à quelque pas de votre magasin, ici tout le monde se connaît donc vous aurez fréquemment de la visite
Moi (souriante) : c'est gentil
Haroldo : mais je suis bien curieux tu ressemble...ohhh puis je vous tutoyez (regard charmant)
Moi : bien sur je te tutoyerai en retour
Haroldo : bien, comme je le disais tu ressemble plus à une femme d'affaire qu'une simple vendeuse que viens tu vendre alors ?
Moi : merci de me voir comme une femme d'affaire (rire) mais je préfère être fleuriste
Haroldo : une charmante fleuriste alors, les affaires m'appellent mais ne t'inquiète pas je repasserai te rendre visite
Moi : ravie de t'avoir rencontrer alors Haroldo
Haroldo : moi de même
Il me lance un clin d'œil puis part en sifflotant, quel charmant personnage, je crois que je m'y ferai c'est mieux que de rester enfermé 24h/24 dans une si grande maison.
PDV Haroldo
Alors c'est elle, je l'a trouve bien naïve comme fille, (rire) elle resemble plus à une fillette qu'à une femme ça c'est sure.
Apelle
Moi : j'ai a peu près gagner sa sympatie
??? : bien il faut vite avoir sa confiance si possible que tu te rapproche du Sandriguez
Moi : ne vous inquiétez pas tout marche comme sur des roulettes
??? : il ne faut pas faillir à ta mission tu connaîs le prix à payer si tu échoue
Moi(voix dure) : bien sûre
??? : sur ceux à toutes
Fin de l'appel
Ces con !
Vous aussi je vous aurez, vous et ces soit disant Sandriguez, ce ne sont que des pourritures qui empêche les plus faible d'anvencer.
Krays: Haroldo vient vite la boucherie est pleine
Moi : j'arrive!
PDV Emilio
J'étais un peu procupper par ma Iris, je l'avais laisser seul, bien sûr j'ai mis des gardes en civile qui patrouille tout autour de sa boutique mais j'ai ce mauvaises pressentiment qui ne me quitte pas.
Antonio : ehhh Emilio revient à nous c'est pas le moment de rêvasser à la fillette
Moi : j'ai un mauvais pressentiment
Antonia : tu t'es tellement entiché d'elle que même si elle devait quitter ton regard une seconde que tu piquerais une crise
Moi (grongnon) : arrête ton ironie allons au port
Antonio : c'est toi qu'on attendais
Je me ferme mon esprit à toute distraction et j'affiche mon visage dénuée d'émotion dans la mafia aucun sentiment n'est admis, par expérience je l'ai appris mainte fois.
Lorsque j'arrive au niveau de la voiture je vois Maria me jeter un regard aussi noir que les abisses. Je détourne le regard avec une pointe de regret très fugace, même si elle n'aime pas le fait que j'ai repris les affaires douteuse de mon père d'après elle.
Elle est bien trop innocente pour connaître toute la vérité sur l'histoire profonde de cette soit disant famille, au même moment j'aperçois un homme à la tignasse bleu.
Le soir j'irai l'engueuler pour être si visible il est mon plus grand secret et je tiens plus que tout à le protéger, je serre ma mâchoire et je me remémore la promesse faite il y a bien longtemps.
Non je ne l' à trahirais jamais.
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Bon je sais que j'ai tardé j'en suis désolé et je vous remercie informe que je dirait plus exactement quand je vis publier parce que je ne tiens presque jamais ma parole et j'en ai marre donc je publierai lorsque l'inspiration sera là.
Je sais aussi que ce chapitre est vraiment court et je m'en escuse mais elle nous donnera cas même beaucoup d'informations
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kidnappé par un milliardaire
RomanceElle n' a que son père et sa mère hospitalisée elle passe la plus part du temps seul et abandonée . mais elle ne sait pas encore que le passée térrible et dangereux de son père aura des répercution sur sa vie présente et futur lui un bel homme fro...