Chapitre 4

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La pluie avait fini par tout emporté sur son passage, leurs mots, leur amitié et leur amitié. Ils étaient tout simplement devenus deux étrangers. Il leur avait fallut quatre mois pour s'oublier, oublier qu'il devait s'attendre chaque matin, qu'Oikawa était encore une fois qu'en retard, qu'Iwaizumi ne supportait pas tout ses sous-entendus mais qu'il adorait le voir imiter les personnes avec lesquelles ils s'étaient disputé et qu'Oikawa adorait les lui raconter. Pourtant cela faisait quatre mois qu'ils ne s'adressaient plus la parole préférant resté avec leur souvenirs.

Et vint le jour où Oikawa se sépara de sa petit amie. Cela n'était pas tendre n'y déchirant car la seule personne à laquelle il pensait n'était pas elle. Elle n'était juste pas assez, elle n'arrivait pas à le remplacer. 

Oikawa se sentait coupable de lui faire ça, il savait très bien ce qu'était cet étouffant sentiment qui lui compressait la poitrine, il pouvait aussi devener ses pensées - elle avait le coeur briser. Par sa faute et son propre égoïsme. Et por quoi ? pour qu'il puisse les voir ensemble, se dire que tout cela n'était qu'une simple blague qu'en réalité il n'y avait rien.

Mais tout cela était putain de pathétique. Et il venait seulement de le rélaliser en la voyant se noyer dans ses propres larmes. Il lui manquait. Cependant, aucun mots ne pouvaient le ramener, lui faire sentir ses bras autour de son corps ou encore lui faire sentir sa présence- rien au monde ne pouvait le lui ramener car cela faisait longtemps q'il avait perdu. Cela n'était pas une dispute idiote qu'il pouvait effacer avec un simple sourire. Cette fois-ci leur amitié n'avait pas tenu le coup. Il ne tenait pas le coup. 

Pourtant il pensait toujours que cela était la meilleure décision. Iwaizumi ne pouvait, ne devait pas être au courant de ses sentiments. Cela faisait quelques jours et Oikawa en était sûr il ne devanit se douter de rien, rien que tout le lycée ne parlait plus que de sa dernière rupture.

Mais si cela était vraiment le cas alors pourquoi ne s'étaient-ils toujours pas parlé ? même si leur amitié en avait pris un coup cela aurait du suffire au brun pour revenir lui parler ou du moins ne pas agir comme un parfait incconu.

Oikawa ne cesser de se demander pourquoi, pourquoi ne pouvaient-ils pas redevenir amis. Est-ce que cela était si compliqué pour lui ?

Pendant que le chatain essayait de comprendre le premier concerné franchis apparu dans son champs de vision. Il ne pu retenir une expression de surprise, cela faisait quelques jours - une éternité - depuis leur dernier face à face. Malgré le fait que le visage de son ami semblait un peu plus sombre il ne pouvait retenir sa joie de le voir. Au contraire, le brun ne semblait pas ravie de le voir, essayant de ne pas le regarder.

Certainement cela était peut-être du au fait qu'il se connaissaient depuis une petit éternité maintenant mais le châtain semblai être le seul à avoir compris qu'il y avait quelque chose derrière se visage renfermé. Oubliant les derniers évènements, Oikawa ne pu s'empêcher de lui parler un peu comme si les mots étaient sorties d'eux même.

"On dirai que quelqu'un se transformes en zombie Iwa-whan..."

Cela était si prévisible de la part du châtain et pourtant cela figea les deux jeunes hommes. Le dernier mot n'était plus un mot qu'Oikawa avait le droit d'utiliser, il le savait et cela lui serra le coeur. Parce que cela était son surnom, l'expression de son affection et appartenait à personne d'autre. Mais quand ses lèvres il le vit se figer à l'entente de ce mot il s'en voulu immédiatement. Les rôles etaient inversés, il n'osait plus le regardé ayant peur de découvire l'une de ses expressions qui lui donne envie de s'enfuir, de partir.

Son coeur battait de plus en plus fort il lui sembla qu'il allait exploser à travers sa cage thoracique. Je suis tellement insensé, se disait-il, c'est la première fois qu"on se revoie et moi je lui dit ça mais qu'est-ce qui ne va pas avec moi. Et encore une fois il commença à se demander à quoi il pouvait bien penser en ce moment, il ne pouvait même plus le regarder preuve de son indifférence. Les chses vont-elles continuées ainsi ?

𝐌𝐈𝐋𝐋𝐈𝐎𝐍 𝐑𝐄𝐀𝐒𝐎𝐍𝐒. 𝖨𝗐𝖺𝗈𝗂Où les histoires vivent. Découvrez maintenant