p e r d u

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Ouais je t'aime, mais je te quitte.

Je ferai comme si notre histoire n'était qu'un mythe.

Ne me prends pas pour une faible j'en suis capable.

Mon coeur est aussi froid que vulnérable.

Et putain ce que je pourrais faire pour le protéger.

Contre les malheurs qu'avec toi je subirais.

Jamais je ne te permettrai de me faire souffrir.

Jamais mon coeur je te laisserai franchir.

Je préfère souffrir loin de toi,

Que t'en sois la cause. Mon égo ne me le permet pas.

Je n'oublierai pas tous ces moments agréables ensemble vécus.

J'étais vraiment heureuse tu sais, grâce à toi qu'à l'amour j'ai cru.

Tu m'as fait reconnaître ces sentiments autrefois étranges.

Avec toi je ressentais de l'aventure, tu étais mon plus beau challenge.

En tant qu'une fille simple aux sentiments aussi complexes,

Tu m'as prouvé que tu pourrais être patient, que tu construira ce qui était détruit au fond de moi par mes exes.

Autant la source de ma joie, tu en étais de ma tristesse.

Tu remplaçais tes actions par des mots avec délicatesse.

Autant que mon coeur refusait de croire ce que mon esprit disait.

Alors qu'au fond de moi je savais que rien ne blesse plus que la vérité.

Tu as crée des larmes dans mes yeux puis un sourire pour les essuyer.

Puis un sourire dans mes lèvres et des larmes pour le faire agoniser.

T'as rendu de mes journées un climat instable.

De mes sensations des montagnes russes impitoyables .

De ma vie un cauchemar admirable.

Et putain ce que j'appréciais ces moments.

Émotionellement Masochiste peût être, mais je voulais sûrtout un nouveau changement.

Mais maintenant ce n'en est plus le temps.

Te voir sur une autre ne me procure plus le même chagrin qu'avant.

Il est temps de disparaître avant que ça ne devienne pire.

C'est bien probable crois moi, je sais bien comment ça termine.

Je vois toujours de l'ignorance dans tes actes.

Du mensonge dans ton regard.

Mais à un moment c'était ça la source de mon bonheur.

À un moment c'était ça ce qui fondait mon coeur.

T'essaye toujours de revenir mais je te recale.

Maintenant je n'ai plus rien à perdre, on jouait à un jeu à nous deux élus.

Je ne sais qui a gagné, mais tu m'as certainement perdue.

-jibootyjeoncock.

Voix Silencience D'une Fille BavardeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant