u n e c h a n c e

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On est si proches l'un l'autre, mais si loins.

On agit pareil, comme si entre nous ne se passait rien.

Cette tension entre nous existe encore, prouve moi que j'ai tord.

Prouve à mes yeux qu'ils se trompaient à chaque fois qu'ils surprenaient les tiennes savourant mon corps.

Oui, ment et dit moi que tu ne m'as jamais aimé.

Que tu n'as rien ressenti la première fois quand on s'est regardé.

Que cette rose teinte sur tes joues n'est que grâce à la chaleur.

Essaye de te convaincre que je ne suis pas la raison de ces frequents palpitations de ton coeur.

Fais tout ce que tu peux pour me montrer à quel point t'es désinteressé.

À quel point elle est la bonne pour toi comme je l'ai jamais été.

Mais c'est normal, puisque tu n'as jamais été conscient de mon amour inguérissable pour toi.

Inguerissable oui, parce qu'au contraire ça ne fait que développer ta haine pour moi.

Croyant que toutes ces possibilités, de moi pouvant t'aimer, ne sont que des illusions.

Croyant que t'es le seul a connaître ces frissons à chaque toucher, que nous deux ressentons.

Mais ne te blâme surtout pas, ne te blâme pas de heureusement pour moi, malheureusement pour toi,m'avoir aimé.

Une fille aussi ambigüe que moi, qui est de ses propres sentiments si effrayée.

C'est de ma faute de ne pas t'avoir laissé partir.

De tes propres sentiments tu es devenu martyre.

T'es devenu presque fou à cause de moi.

Te rejetant avec mes mots doux mais douloureux et te rendant à ma merci à chaque fois.

Tu ne pouvait plus te decider s'il faudrait en mettre un point à cette torture ou pas encore.

À cet amour ainsi qu'une drogue, aussi tentant aussi conduisant à la mort.

Oh mais quel chaos j'ai crée dans un esprit aussi calme et paisible que le tiens.

J'avoue que je t'ai torturé mentalement plus que physiquement, juste pour mon bien.

Mais je t'aimais vraiment, je t'aimais au point de ne plus pouvoir me contrôler.

Blâmons le destin qui a conduit cet amour des deux part à une histoire aussi bouleversée.

Il a toujours été jaloux de nous, il détestait nous voir heureux plus que tout.

Mais avait-il raison? N'étais je pour toi qu'une addiction éphémère, après tout?

-jibootyjeoncock.

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Voix Silencience D'une Fille BavardeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant