Chapitre 3

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Les jours étaient passées depuis et ainsi nous étions en cours d'humanité depuis seize minutes, le mois d'octobre avait fait son apparition depuis deux semaines. Les emplois du temps avaient été bouclés en quelques semaines et ma petite amie avait refait les fiches pour les options, ça avait très bien marché car en quelques jours les premières années avaient tous donné leur choix. J'avais donc pus les donner rapidement à ma petite amie qui s'était retrouvée à faire les fiches sur leurs choix durant trois jours consécutifs, du matin au soir avec quelques pauses. J'écrivais alors le cours qui portait sur les pays anglophones et le commencement de la philosophie, nous étions en tout début d'après midi et j'aimais bien la personne qui était à mes côtés pour ce cours. J'étais à côté d'Alexandre le petit ami de Kimberley et futur père d'un petit homme, il en parlait assez souvent mais il ne dérangeait très rarement le cours quand il me parlait de son fils qui allait bientôt naitre.

- Alors Kimberley, elle va comment ? demandais-je en le regardant alors qu'il se stoppait dans sa lancée qui était d'écrire

- Elle va bien, elle a commencé son neuvième mois aujourd'hui. fit-il en se tournant pour me parler. Et toi Carine t'aime toujours autant ?

- Malhereusement oui... soupirais-je en gloussant. Elle est accro à moi ! Elle toujours près de moi, elle ne me lâche pas d'une semelle et m'adresse souvent la parole. Je crois que ses insultes ont un sens cachés. affirmais-je dans l'ironie

Il rigola de plus belle des suite de ma déclaration et je le suivis dans son fou rire, nous nous arrêtâmes trois secondes plus tard grâce à Miss Bonglios qui nous avait interrompu assez gentiment.

- Partagez nous votre dialogue s'il est si drôle ! s'exclama-t-elle en venant en face de notre table

- Bien sûr Miss ! fit Alexandre en s'éclairsissant la gorge. Je demandais à Hayden si Carine l'aimait toujours. J'ai eus une réponse qui était plutôt drôle.

- Quoi ?! acclama cette dernière en se levant brusquement. Je n'aimerais jamais cette putain de gouine ! continua-t-elle en me montrant du doigt

Elle se fit recaler par Miss Bouvreuil qui lui mit son nez en face de son cahier car l'ombrune avait été près de sa table au même moment. Quant à nous, Miss Bonglios nous demanda de ne plus faire autant de bruit et elle retourna au bureau en continuant le cours pendat vingt minutes. Elle passa à travers les rangs afin de regarder si nous notions bien tout le cours et elle partit à nouveau au bureau en nous donnant un exercice de cinq minutes. Il était plutôt facile pour un exercice de quatrième année et l'argument de l'ombrune était qu'elle ne voulait pas nous brusquer pour un début d'année; les cinq minutes passèrent rapidement et une personne toqua quand Miss Bouvreuil commença la correction avec un élève choisi au hasard. Elle demanda donc qu'on attende deux minutes et Miss Bouvreuil partit ouvrir étant la plus proche de la porte.

- Oui ? demanda cette dernière en voyant une élève de notre niveau

- Alexandre doit aller à l'infirmerie, Kimberley va accoucher. annonça-t-elle calmement

Ce dernier se fiegea sur sa chaise en entandant l'annonce faite à l'instant, afin qu'il bouge de sa chaise je me décidais à le pousser. Il me regarda avec joie ainsi qu'effroi mais il se décida à bondir de sa chaise en ne prenant pas le temps d'attraper une de ses affaires. Il partit en courant ainsi qu'en saluant les deux ombrunes au passage. Nous entendîmes seulement qu'il courait à travers les couloirs jusqu'à ce que l'ombrune eut fermé la porte en saluant l'autre élève.

P.D.V : Alexandre

Je courais d'une vitesse folle à travers l'école, j'étais euphorique à l'idée de devenir père mais j'étais aussi apeuré de le devenir car je n'avais jamais pris soin d'un bébé. Je dus m'arrêter quelques instants afin de savoir où est-ce que je me situais car j'avais courus en pensant à ce petit sujet, je vis alors que j'étais déjà passer devant l'infirmerie alors je fis demi-tour en marchant rapidement. J'avais finalement un gros stress qui venait de s'accentuer et j'avais aussi peur de ne pas être à la hauteur. Tout en réfléchissant encore sur ces deux sentiments, j'arrivais dans les environs de l'endroit où se situait ma petite amie. J'étais à présent devant la porte, la main sur la poignée et soufflais un bon coup avant d'entrer.

Ma dameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant