Chapitre 44

76 0 0
                                    

Nous venions donc de venir au magasin et nous étions aux alentours de midi trente, Cathy était venue avec nous car elle nous l'avait demandé et cela ne nous dérangeait pas du tout qu'elle soit présente pour les choix d'habits de notre fille. Je marchais avec Cathy et ma femme le long des rayons afin de trouver celui qui était spécifique pour les bébés. J'espérais le trouver rapidement car il fallait qu'on soit rentrées pour les seize heures dix vu qu'Ombrine avait souhaité faire un conseil à seize heures quinze. Cathy poussait la poussette car elle l'avait souhaité et Ellie était réveillée depuis peu tandis que sa marraine lui avait fait quelques caresses sur ses joues en lui parlant avec une voix très douce. Le rayon pour bébé était désormais devant nous et nous regardions les vêtements qu'ils proposaient à l'entrée de ce dernier. Ils étaient en fin de série et ma femme regardait attentivement les tailles qu'il y avait tandis que notre fille captait toute l'attention de sa marraine.

- Tu en penses quoi ? demanda Marion en me montrant un body qui irait à Ellie

- Qu'on le prendrait s'il n'était pas déchiré. affirmais-je en lui montrant la zone qui était déchirée

Elle le reposa par la suite sur la barre et regarda s'il n'y en avait pas d'autres qui pourrait aller à Ellie. Je regardais aussi de mon côté afin qu'elle ne soit pas seule à faire les achats et je pus prendre deux grenouillères qui étaient mignonnes. Je les montrais à ma femme qui les regarda avec beaucoup d'attention et elle accorda leur achat car ils étaient bien ainsi que non déchirés. Je les mis donc dans le cadi que nous avions pris et Marion zyeuta encore quelques instants s'il y avait quelque chose de bien. Nous ne vîmes plus rien par la suite et nous entrâmes alors dans le rayon afin d'acheter encore d'autres vêtements. Nous continuâmes nos recherches juste après et je regardais si ma femme trouvait quelques habits. Pour le moment la réponse était négative mais nous regardions toujours nos possibles futurs achats. Le temps passa assez lentement et au bout de quelques minutes, je tournais ma tête vers la droite afin de voir s'il y avait encore Cathy près de nous et à mon plus grand malheur je ne vis plus notre fille ni Cathy. Je regardais donc autour de nous si elles étaient tout de même proche de nous et je ne les vis pas du tout.

- Mon coeur, Cathy est partie où ?

- Elle est... commença-t-elle en tournant son regard vers la droite puis la gauche. Je ne sais pas.

- Et Ellie est avec elle. déclarais-je en ayant une voix assez tremblotante

- Je sais... Cathy ! appela Marion en paniquant car nous ne savions pas où est-ce qu'elles étaient

Elle continua de l'appeler pendant quelques temps et partit même voir dans d'autres rayons en courant légèrement. De mon côté, je me stoppais dans mes recherches et regardais si elle ne venait pas dans ce rayon là. Si c'était le cas qu'elle venait ici, j'allais l'incendier pour être partie sans nous prévenir et surtout pour être partie sans nous prévenir avec notre fille d'à peine quatre mois. Je pus donc attendre et au bout de dix minutes, j'entendis ma femme proche de ma position entrain de gronder Cathy qui elle, la calmait en lui affirmant qu'elle n'était pas allée loin.

- Peut-être mais tu aurais dû nous prévenir. répondit Marion en venant dans le rayon tandis que Cathy poussait toujours la poussette

- Je suis désolée... Je vous préviendrais la prochaine fois. Sinon j'ai trouvé des bodys à sa taille.

- T'as intérêts sinon tu connaîtras Samaël. menaçais-je en la regardant

- C'est qui ça ?

- Le diable, c'est son prénom. affirmais-je en prenant les bodys qu'elle nous montrait

- J'ai compris, j'ai énervé et fais paniqué les deux mamans. Je ne le ferais plus pour aujourd'hui.

Nous pûmes ensuite continuer nos achats et Cathy nous aida en prenant Ellie dans ses bras car cette dernière avait souhaité être vraiment à nos côtés. Je pris quelques vêtements en plus et un homme passa à côté de nous avec sa femme. Ils regardèrent tous les deux Ellie en souriant et je pus lui faire une caresse sur ses joues car elle gazouillait légèrement.

Ma dameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant