Chapitre 18

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Le réveillon était ce soir. Les deux se préparent de leur côté pour aller le fêter chez Martin. C'était lui qui invité cette année.
Léo ne savait pas trop quel était le style de la soirée. Elle ne savait pas qui était invité. La blonde se demandait si c'était plus mondaine ou bien plus cool comme leur soirée. Elle avait appelé Étienne pour savoir comment il allait se vêtir et comme à son habitude, il allait mettre un jean. Elle appela ensuite Valentine, qui elle avait eut de meilleurs conseils. La journaliste qui venait d'être engagée à Mediapart était contente de pouvoir fêter cette nouvelle année avec les Quotidien et Ex-Quotidien, malgré que ses collègues soient très sympa ils n'étaient pas la bande. Ils étaient moins cool en soirée, et ça lui manquait. Alors quand Martin l'a appelé pour lui faire part de la soirée, elle a tout de suite dit oui. Elle était excité de pouvoir revoir Léo avait qui les affinités sont fortes.
Valentine dit à Léo que c'était mi-mondain mi-soirée_entre_potes. C'est à dire qu'à début de la soirée il y allait avoir des gens importants dans le milieu et après 00h30 environ, il n'y resterait que le petit groupe de potes. Alors elle lui conseilla de sortir sa plus belle robe pour impressionner tout le monde et faire bonne impression. Dans le petit monde présent, il y aurait sûrement un de ses futurs employeurs ou, en tout cas, maître de stage. Elle remercia la brune et sortie la plus belle robe qu'elle possède. C'était une pièce de haute couture. Une belle robe Jacquemus qu'elle s'était offerte pour son 18ème anniversaire. Le modèle Pampelone. Elle avait complètement craqué sur ce modèle quand elle l'avait vu. Alors elle avait fait une folie.

Elle fit un total look Jacquemus en portant des chaussures du même créateur et le fameux sac Chiquito couleur noire pour ne pas tout assortir avec sa tenue

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Elle fit un total look Jacquemus en portant des chaussures du même créateur et le fameux sac Chiquito couleur noire pour ne pas tout assortir avec sa tenue. Elle aime tellement la mode. Comme elle possède quelques habilités en coutures, elle a prit pour habitude d'aller dans des friperies et acheter des robes la bas et de les retaper. Elle les découpe, les raccourcis, les rajustes afin de créer des pièces uniques. Elle se sentait sûr d'elle avec de beaux vêtements sur elle. C'était comme une thérapie pour elle.
Elle ne savait pas si son look plairait à son petit ami. Lui aimait la voir habillé dans des choses plus fleuries et gai. Il voue un culte à sa partenaire encore plus fou quand elle porte un vêtement rouge. Il lui répète sans cesse que cette couleur met encore plus sa peau et ses cheveux en valeurs. Il avait abandonné l'idée de lui faire mettre un pantalon. C'était la seule femme dans son entourage à se vêtir uniquement de robes. Il ne trouvait pas ça toujours pratique mais il devait se l'avouer, il était très fière de sa petite amie dès qu'ils sortaient en ville tous les deux. Au tout début, il fut jaloux. Jaloux des regards des autres hommes. Puis ensuite il eut une phase protecteur. Il ne voulait plus qu'elle sorte seule prônant la dangerosité. Puis il était arrivé maintenant au bout de presque 3 mois de relation à la fierté. Il aimait montrer qu'une fille comme elle est avec un mec comme lui.
Bientôt, ils pourront monter même devant leurs amis qu'ils sont ensemble, et ce sentiment les ravis déjà.

Il était 20h20 et la jeune femme toqua chez Martin. Étienne était déjà la. Ils avaient préférés arriver en décalés pour ne pas provoquer de moindre soupçons.

Martin: mon dieu Leo tu es magnifique! Je ne sais même pas comment te qualifier!

Le fait que le reporter ait élevé la voix a provoqué un retournement de tête de la part d'au moins 15 personnes, dont le petit ami. Étienne non plus ne savait pas quoi dire. Léo est superbe. Il se sentait débile avec son jean, sa chemise à carreaux et ses fidèles vans.

Valentine: WOAW ma biche t'as tapé fort dit moi!

Léo: je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde alors!

Elle se prit dans les bras pour se saluer,

Valentine: comment tu m'as manqué!

Leo: toi aussi tu m'as manqué...

Valentine: dès que tu auras une petite après-midi pepouze on se prévoit une après-midi shopping!

Léo: ooooh oui! Je crois que j'ai besoin de ça.

Valentine: ouais moi aussi.

Léo: comment ça va au boulot?

La conversation entre les deux jeunes femmes était engagée.
Hugo lui venait de faire son entrée. Il salua Martin et demanda directement qui était la blonde en robe grise qui parlait à Valentine.

Martin: une bombe hein?

Hugo: ohhh oui! C'est qui?

Étienne: tu l'as pas reconnu? C'est Léo.

Hugo: Léo..? Léo? Tu veux dire notre Léo?

Étienne: oui.

Hugo: dit donc! Je l'ai pas reconnu de dos. Pourtant je l'a connais depuis pffffou au moins 20 ans!

Martin: Hugo t'es sur que ça va?

Hugo: euh oui pourquoi?

Étienne: elle a juste 18 ans tu sais...

Hugo: ouais mais c'était façon de parler hein! Je sais bien qu'elle a 18 ans!

Étienne fronça les sourcils. Il trouvait le comportement de son ami assez étrange pour ne pas dire suspect. Martin était d'ailleurs lui aussi assez surpris de son ami. Il n'avait jamais autant bégayé et bafouillé de sa vie.

Yann: salut les djeuns! Vous auriez dû dire à Léo de ne pas autant se faire belle...

Léo: ... ça parle de moi ici? Bonsoir Yann au faite! Et bonsoir à toi aussi Hugo!

Yann: oui je disais que tu n'aurais pas dû autant te faire belle. Il y a au moins une vingtaine de personnes différentes qui m'ont demandé si je te connaissais ou bien si tu étais célibataire. Je peux te dire que tu fais craquer aussi bien mes ingé' sons, que mes journalistes ou bien les producteurs.

Léo: voilà! Maintenant je suis gênée!

Hugo: tu leurs a dit quoi Yann?

Yann: je suis resté vague. A toi de broder Léo pour te débarrasser d'eux!

Léo: wowww merci monsieur Barthès! C'est un bien beau cadeau pour la nouvelle année.

Yann: au plaisir jeune demoiselle!

La fête repris son cours. A quelques minutes du décompte, Étienne réussi à s'approcher de Léo et lui glissa dans l'oreille à quel point elle était merveilleuse et lui embrassa discrètement la joue. Ce geste n'échappa, malheureusement, pas à Martin.

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