Jour 9

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Plus le temps avance, et plus je te perçois, la mort. Tu me fait de plus en plus mal. Je sais que tu es là, et que tu m'attend, comme moi, avec impatience.

Ma troisiėme volonté est que le théâtre trouve une plus grande plaçe dans cette société. Je souhaite que la capacité du théâtre à faire passer des émotions à autrui soit reconnue. A grande envergure je parle, a l'échelle mondiale. Le théatre m'a appris beaucoup de chose, alors je veux qu'il en apprenne tout autant à d'autres. Je veux voir du sourrir sur touts les visages. Je veux du bonheur, que ce soit personnel, ou celui entre le public et la scėne.

Cette volonté n'est pas à prendre à la légėre. La vie, j'en suis sur que tu en est capable, sans moi. Cette volonté je l'ai mis en guise de voeu pour ma seiziėme bougie d'anniversaire. C'est trės important, pour mes yeux et pour le théâtre.

Je me répète, j'en suis conscient, mais celui qui lira mon journal aprės la mort, je veux qu'il lise entre les lignes. Qu'il voit l'émotion que j'essaie de retranscrire derrière ces certaines lignes.

Il est dix heures du soir passé. Bonne nuit.

Lit désenchanté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant