Paradis artificiel

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Elle laissa la fumée de sa cigarette casser la lumière bleuâtre de sa chambre,
Avec son rire qui fait trembler les murs et tout les cœurs, et ses yeux qui font rayonner tout mes maux incompris
Ses petits seins rayonnants qui me font tourner la tête
Et ses lèvres qui capturent les miennes.
Ses jambes qui sont, comme prêtes à s'envoler ; qui me font espérer, qui me font croire, et qui me font faire n'importe quoi.
L'odeur de clope froide qui enlace mes cordes vocales me font fumer encore plus

Et efface son image qui tournoie près de moi et m'envoie des signaux parasites.

Mais c'est comme si son sourire et son corps me faisaient tout oublier, sans que je comprenne le risque d'aimer un ange aussi impur.

Les corps et les étoilesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant