Arc n°1; Chapitre 1

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Killua POV:

Le voir allongé dans ce lit d'hôpital me brise minute par minute.

Je cherche alors maintes solution pour pouvoir le guérir, n'importe laquelle, quand enfin, je l'ai trouvé.

Je partis donc allé chercher la seule personne pouvant sauver Gon.

*

J'étais arrivé.

Après que la porte de sa chambre ou plutôt la porte de sa prison, s'est refermer, elle me vit.

(alors oui dans cette fanfiction comme j'ai dû le marquer dans la description au tout début, je vois Alluka comme une personne transgenre, donc oui c'est un garçon mais du coup pour moi, c'est une fille)

"Onii-Chan !"

Ma petite sœur, à la fin de ses mots elle me sauta dans les bras.

"Désolé de t'avoir laissé ici pendant si longtemps Alluka.. je suis désolé..."

"C'est pas grave ! je suis vraiment heureuse !"

Elle blotti sa tête contre mon torse,

"Ton odeur m'avait manqué !"

Alluka a un pouvoir ou plutôt une sorte de double en elle, pouvant exaucer n'importe quel vœux à un certain prix, j'ai nommé cette entité , Nanika.

C'est elle qui peut m'aider à soigner Gon.

J'étais vraiment heureux de la ou plutôt les retrouvés malgré les circonstances...

Mais et si, même Nanika ne pouvais pas soigner Gon, et si il ne se réveillais plus jamais ?!

Malgré moi, cette pensée me fit trembler de tous mes membres.

Ce que Alluka remarqua, elle se détacha de mon étreinte pour me regarder dans les yeux.

"Onii-Chan, pourquoi tu trembles ? tu ne te sens pas bien ?"

"H-hein ?!, qu'est-ce que tu veux dire? je vais bien !"

Elle me regarda perplexe, pas du tout convaincu de ce que j'avance.

Elle me tourna donc le dos, et alla s'asseoir sur son lit, m'invitant à venir m'installer à ses côtés, ce que je fis.

Elle plaça alors sa main sur ma joue pour que je tourne la tête vers elle.

Puis sans prévenir, elle me prit une nouvelle fois dans ses bras.

J'étais assez hébété face à cette action, mais au moment où j'allais lui demander pourquoi, elle me dit d'une voix basse..

"Peu importe ce qui te perturbe,

C'est mots m'avait touché, à un point, que je senti mes larmes couler le long de mes joues

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C'est mots m'avait touché, à un point, que je senti mes larmes couler le long de mes joues.

J'essaie de les arrêter, en vain, je ne me soucie même plus des regards de ma famille qui nous observe depuis la caméra à l'entrée de la 'chambre'.

C'est seulement quelques minutes plus tard que je parvins calmé mes sanglots,

Je me redresse, et adressa un sourire rempli de gratitude à Alluka.

*

Nous sommes enfin sortie de la montagne, Alluka me fit un bisous sur la joue, preuve que nous sommes bien arrivé en bas avant la fin du délai fixé,

Maintenant, il faut plus perdre de temps,

Tiens bon Gon on arrive.

(461 mots)

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