" Si on t'invite , c'est juste pour voir ton boule bouger. "__________
Appartement
Deux heures piles
Mon téléphone se met à vibrer sur ma table de chevet , je pivote donc à gauche pour regarder qui ose m'appeller à cette heure mais souffle quand je constate que c'est l'autre Jamaïcain.Encore un peu énervée de toute à l'heure , je laisse sonner mon téléphone une bonne quinzaines de minutes avant de me décider à repondre.
— Stokeley : Enfin tu reponds !
— Moi : Tu fou quoi avec le téléphone de Jahseh ?
— Stokeley : Sympa l'accueil.
— Moi : Ouais pardon ! sourire
— Stokeley : On a besoin de ton aide.
— Moi : Pourquoi ?
— Stokeley : Viens seulement et tu sauras.
— Moi : T'es taré , tu as vue l'heure ?
— Stokeley : Tarajih bouge ton putain de fessier.
Il raccroche immédiatement la fin de sa phrase finit.
Qu'elle culot et puis monsieur Jahseh ne pouvait pas demander par lui même ?
Qu'elle gamin.
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J'escalade ma fenêtre puis atterrie sur le tas de feuilles que je laisse toujours là au cas où.
— Moi : Ce que je ne ferai pas pour eux. Lève les yeux au ciel
J'entame donc une marche vers la route de l'hôpital , ne me demander ce qu'ils font là-bas parce-ce que je n'en sais rien.
J'essaye d'y aller vite car les rues de Floride à cette heure peuvent être dangereuse surtout quand on est seule , ce qui est mon cas à présent.
— Stokeley : Ici !
Après l'entente de cette petite voix , je remarque trois silhouette dont une à même le sol.
Qu'est-ce qu'ils foutent encore ?
Même moment
Elle s'avance de plus en plus avant d'arriver à notre hauteur.Elle salut Stokeley et ne m'accorde qu'un bref regard qui se voulait de travers.
— Tarajih : Bon , vous m'expliquez ?
— Stokeley : Il est mort.
Elle regarde Tyson puis rigole légèrement.
— Tarajih : La vrai raison maintenant.
— Stokeley : Je l'ai tué et il est mort !
Elle arrête tout gestes puis grimace.
— Tarajih : C'est une blague ?
— Stokeley : T'es longues à la détente !
— Tarajih : Mais vous êtes complètement con ma parole.
Puis elle commence à nous insulter dans toutes les langues possible sur cette terre.
— Moi : Je t'avais dis que c'était une mauvaise idée de l'a ramener. Toise Sto'
— Tarajih : Ferme ta grande gueule toi !
Jahseh respire.
— Tarajih : Je suis complice maintenant , My Gosh ! Cris
— Jahseh : T'a gueule tu vas nous faire repérer.
— Tarajih : Je t'ais dis de la fermer !
— Jahseh : Sinon quoi ? Se rapproche
— Stokeley : C'est grave pas le moment de vouloir faire les bonhommes de Brooklyn.
Elle fait les cents pas.
— Tarajih : Vous me faite chier.
— Jahseh : Si on t'avais dit au téléphone tu serais pas venue !
— Tarajih : Beh encore heureux.
— Stokeley : Du coup on fait quoi là ?
— Tarajih : J'espère fortement que c'est pas à moi que tu poses la question.
— Jahseh : Galérons donc à trois.
— Stokeley : Tu ne nous est d'aucune utilité toi !
— Jahseh : On pourrai la tuer. sourire
— Stokeley : T'as pas tord !
Le visage de Tarajih se crispe et elle recule à pas de loup.
— Tarajih : Vous savez les gars on peut s'arranger.
J'éclate de rire suivit par Sto'.
— Stokeley : Tu crois qu'on est capable de te tuer ?
— Moi : Son fantôme viendras nous hanter toute notre vie. Rigole
— Tarajih : Mesure de précaution !
Je reprend peu à peu mon souffle puis massoi par terre.
— Jahseh : On fait comment ?
— Tarajih : Y'a pas mille solution.
— Stokey : Donc tu proposes ?
— Tarajih : Jetter ou enterrer son corps quelque part et dissimuler toutes les preuves qui nous relient à lui.
— Moi : Elle aime bien regarder les séries criminelles ! Rigole
— Stokeley : Non mais laisse.
— Tarajih : Moi au moins j'ai eu une idée bande sans cervelle.
— Moi : Beh allons y.
Je me redresse rapidement.
— Tarajih : Avant , quelqu'un a été temoins lorsque que Sto' l'a tué ?
Merde.
— Jahseh : Il se pourrait qu'il y'avait une bande de garçons.
— Stokeley : Qui sont ses amis.
— Tarajih : Qu'ai-je fais au bon Dieu ? Frappe son front
Ce n'est qu'un detail après tout.
— Tarajih : On va pas s'occuper de ça tout de suite , d'abords le corps.
— Stokeley : Hein , tu veux qu'on tue tout les autres après ?
— Tarajih : Mais non ! tape son front
Alone