Chapitre 12

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Quelques jours passent et je suis toujours à l'infirmerie, j'attends avec impatience ma sortit car le temps se fait long... Rester des journées complète dans ce lit qui est quand même un peu plus potable que les châlits, me rend dingue. J'aimerai bouger, marché...

Engel n'est toujours pas venue me voir, je suppose qu'il a plus important à faire... J'ai pris l'habitude de le voir chaque matin, sa me faissais de la compagnie, parce que sinon, je ne vois personne mise à part l'infirmier qui me dépose mon repas matin, midi et soir.

L'heure tourne, j'entends la porte s'ouvrir, je vois Engel rentré tout doucement pensant que je dormais. Il me regarde et souri :

Engel : Bonjour

Ivana : Bonjour

Engel : J'espère que tu as repris de la force parce qu'aujourd'hui tu sors d'ici.

Ivana : C'est vrai ? Je peux enfin sortir ?

Engel : Oui oui, suis-moi.

Je descends du lit sur le quelle j'étais rester un peu plus d'une semaine, cela me fait bizarre d'être debout mais j'en suis contente. Je regarde d'une dernière fois cette pièce et je soupire.

Sortir va me faire du bien mais ici, j'étais en quelque sorte en sécurité car Engel s'arranger pour qu'on face attention à moi. J'y étais bien malgré les hurlements qu'on pouvait entendre constamment... Nous n'avons malheureusement pas vécu tous un bon moment dans cette infirmerie...

Je me dirige vers la sortit et ferme la porte derrière moi. Engel me demande de le suivre qu'il devait me faire signer des papiers, je le fais sans même me poser des questions.

Nous traversons ce long couloir de l'infirmerie, dans ce couloir il y a plusieurs portes et j'en suis sur que dans chacune de ces portes se trouve l'un de mes camarades entrain de subir les pires horreurs...

Nous sortions du bâtiment et nous entrons dans un autre. Celui-ci est beaucoup mieux intérieurement, je suppose que c'est celui ou les SS vivent. C'est coloré, tout est propre du sol au plafond, sa sent très bon aussi. Se faisais bien longtemps que je n'avais pas était dans un lieu pareil. Sur le moment je m'y sens bien, j'ai même envie d'y rester. J'ai du mal à me dire que nous sommes encore dans un camp de concentration, c'est tellement beau.

Plus nous avançons et plus Engel me dit de faire attention à ne pas trop trainer pour que l'on me voit... J'en reviens vite à la réalité, je suis juive et que je suis dans le bâtiment des SS... Si j'avais cas me faire voir je mourrais et Engel également...

Nous arrivons dans son appartement, et nous allons dans son bureau. Je regarde au tour de moi, tout est si beau et si bien ranger, il y a plusieurs tableaux accrocher au murs... Cela me rappelle ma maman qui adore peindre et qui a chaque fois qu'elle terminer l'un de ces tableaux l'accrocher sur les murs dans notre maison...

Engel : En fait, je n'ai pas de papier à te faire signer, se n'était qu'une excuse si jamais quelqu'un passer...

Ivana : Alors pourquoi je suis ici ?

Engel : Parce que je dois te parlais...

Ivana : Me parler de quoi ?

Engel : Je me dois de te répondre, répondre à toute des questions du genre « pourquoi es-tu aussi gentil avec moi ». Alors je t'en pris assis toi et écoute moi.

Je m'assoir sur la chaise qui est en face du bureau et j'attends gentiment, lui, est allait fermer la porte à double tour pour être sûr que personne ne rentre et nous vois ici. Il vient ensuite s'assoir en face de moi soupire un bon coup et se met à parler :

Engel : Comme tu lui sais je suis l'officier SS, c'est moi qui dirige ce camp, mais je le fais à contre cœur. A vrai dire, je n'aime pas tout ce qui se passe ici, j'aimerai pouvoir tout arrêter mais je ne le peux pas. Il se tu un moment et reprend. Avant ça, j'étais un soldat qui sauver des enfants. Je me balader dans les rues avec mes collègues, eux les battait et moi je prenais un enfant je fessais en sorte a se qu'on voit que j'allais lui faire du mal... Alors que je le prenais seulement par le bras et le tirer. L'enfant crier mais je savais que c'était juste le temps que je l'emmène dans mon appartement et que je lui explique que j'allais le sauver de tout ça, qu'il était en sécurité. Ensuite j'attendais que la nuit tombe, et je le mettais dans une valise qui était à sa taille, je le mettais dans la voiture et je l'emmener chez une famille qui prendrais soin de lui. Je ne me suis jamais fais prendre, parce que j'étais le fils le l'officier, donc on ne douter pas de moi. Mon père à pris sa retraite, j'ai donc du reprend la direction d'Auschwitz, je pensais pouvoir continuer à sauver ces pauvres gens ou même des enfants comme je pouvais le faire, mais ici c'est impossible, je suis surveillé. J'ai certain temps libre comme maintenant, mais si j'ai cas sortir de mon appartement tout le monde me surveille, et au moindre faut pas mon père sera au courant de tout... Il ne dit plus rien pendant un petit moment puis il continue. Toi, Ivana, des la première fois que je t'ai vue j'ai toute suite voulu t'aider, comme si j'étais amoureux de toi, j'ai eu mon premier coup de cœur, tu es mon coup de cœur. Ma mère me disait souvent qu'on a qu'un seul coup de cœur dans la vie et que si sa avait cas arriver, il ne fallait surtout pas le briser. Alors je me bats constamment pour te garder en vie, pour te garder près de moi. Quand tu as fait ton malaise j'ai tellement eu peur... Je croyais te perdre, j'ai prié chaque soir pour que rien ne t'arrive...

Il continue à parler, et moi je l'écoute sans rien dire. il me parle pendant un long moment puis il termine à ce moment là ee n'ai plus les mots, tout ce qu'il vient de me dire me fais chaud au cœur, il ne mérite pas ça, mais heureusement qu'il est là, sans lui je ne serais peut-être plus en vie...


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Bonjour à tous :) Je voulais déjà m'excuser pour ce retard... Ma fille marche depuis quatre jours donc je suis souvent derrière elle, et le soir je suis beaucoup fatiguée avec cette chaleur ^^


J'espère que vous allez bien en tout cas ? :)


Bonne lecture. Laissez un petit vote si vous avez aimer et un petit commentaire pour me donner votre avis.


Bisous bisous. -M.

Un amour dangereuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant