~OUI JE SAIS~🌻

~ Plongé dans ses beaux yeux ~

Il se retourna puis parti en direction du rez de chaussée.
Je le suivit jusqu'au canapé ou nous nous asseyons tous les deux.
Aucun de nous ne dis un mot. Le silence qui régnait sur la pièce n'était pas gênant. C'était un silence calme et apaisant.
Il me fixait droit dans les yeux.
Un jeu de regard s'installa entre nous. Je sais qu'il n'avait pas la volonté d'arrêter et je ne voulais pas m'avouer vaincu.
Il m'adressa un petit sourire narquois, se mordis la lèvre inférieure puis passa sa langue sur ses dents du devant. Un frisson me parcouru.
Je senti mon visage devenir cramoisi. Il eu un léger rire.

- Bah alors Vincent ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? dit il en explosant de rire.

Je devenais de plus en plus rouge. J'ai fortement envie de l'embrasser. Il est tellement beau quand il sourit. Une larme roula sur ma joue. Je ne sais pas si c'est l'émotion ou l'alcool ? Sûrement les deux.
Comment avais-je fait pour me passer de lui pendant tout ce temps ? Il m'avait tellement manqué. Je me jette alors dans se bras. Le sentir contre moi était vital. Il ne fut visiblement pas tellement surpris car il serra plus fort notre étreinte et vint loger sa tête dans le creux de mon cou.
Je pouvais sentir son souffle chaud contre la peau ce qui me procura un frisson de plaisir.

- Tu m'as manqué Rémi.

J'avais faiblement relevé la tête vers lui pour lui prononcer ces quelques mots qui étaient la seule chose qui me pesait actuellement.

- Toi encore plus l'Alien.

Plus aucun de nous deux ne bougea durant quelques instants. Seul le bruit de nos deux respirations se faisait entendre dans la pièce.
Il était là devant moi. Je le désirai tellement. L'impression que son visage se rapprochait de plus en plus du miens me donnait encore plus envie de venir écraser mes lèvres sur les siennes.
Puis, après m'avoir asséné un regard plein d'envie, il fit finalement le premier pas. Il se jeta sur moi et m'embrassa fougueusement.
Je ne pu m'empêcher de laisser s'échapper un petit gémissement de plaisir et de surprise. Il accentua le baiser en venant poser ses mains sur mes hanches. Je plaçe alors les miennes derrière sa nuque.
Sa langue demanda délicatement l'accès à ma bouche que je lui céde volontiers. Tout en continuant notre embrassade, il m'allonge sur le canapé. Il est à cheval sur mon bassin. Je peux sentir la bosse de son excitation contre moi. Il faisait sombre, nous n'avions pas allumés les lumières comme si cette action était préméditée.
Mon Pex retira rapidement son pull puis, le jeta au sol. Il passe alors ses mains sous mon t-shirt ce qui m'excitait de plus belle. Nous étions tous les deux à bout de souffle. La chaleur dans la pièce est vraiment insoutenable mais elle rajoutais quelque choses que je ne saurai définir.
Je me redresse, enlève mon t-shirt afin de faire avancer les choses puis je m'empresse de regoûter les lèvres de mon amant.
Il retire également son haut ce qui m'offrait une vue qui ne me déplaisait pas. Sa mince silhouette avec ses abdos tracés sur son ventre. Ses épaules étaient également bien dessinés.
Je fut coupé dans mon admiration pexienne ( NDA : c'est pas mal comme mot non ? :))) par mon Rémi qui ne put s'empêcher de me faire la remarque.

- Vincent je t'avais dit que ça ne se faisait pas de mater sont meilleur ami !
- Meilleur ami ?

Il le répond par un tendre baiser. Puis se décolla de  moi définitivement.

- Bah Rémi tu vas où ?
- Tu viens on va se coucher ?

Il me décroche un léger sourire puis me pris par la main et me tira jusqu'à ma chambre. À peine arrivé dans la pièce je me fi plaquer contre le mur puis il m'embrassa sauvagement. J'aime bien aussi quand il est plus dur avec moi. Tout en continuant notre affaire nous nous dirigeons vers le lit.
Je me retrouve donc au-dessus de lui. Je l'embrasse une dernière fois délicatement sur ses lèvres puis je descendit un peu mes baiser vers son cou. Je descendait de plus en plus jusqu'à arriver à son bassin. Je l'entendit pousser un petit gémissement. Je m'attarde donc à cette zone qui était visiblement sensible chez mon petit Pex.
Après quelques secondes à l'embrasser de long en large il me fit tourner par un mouvement de hanche puis se plaça au dessus de moi. Nous étions tous les deux en caleçon, sur mon lit, lui au dessus et mois en dessous. Il descendit puis s'amusa quelques instants avec l'élastique de mon caleçon. C'était bien trop long pour moi. Il fallait que ça aille plus vite.