Nina Freecs à décidée de passer l'épreuve des hunters. Elle veut absolument en devenir une. Son père était lui aussi Hunter.
Elle vas faire pleins de rencontres. Mais la plus importante est celle de Hisoka, un magicien égocentrique et égoïste qui ne...
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Pfiou ! Franchement, réussir à trouver l'endroit de la première épreuve était assez long. J'ai une orientation de merde, c'est le cas de le dire.
Je suis assez fière de moi d'être au moins arriver jusqu'ici. Je veux vraiment devenir Hunter. J'ai dû en discuter pendant longtemps avec Kuroro. Il ne voulait pas au début puis il m'a laisser y aller.
FLASHBACK
Moi: KURORO! KURORO! T'ES OÙ LÀ !
Il apparu derrière moi. Il attrape mes épaules pour me rapprocher de lui ainsi nos deux corps sont collés l'un contre l'autre.
Moi: Je voulais te demander si...
Je me retourne pour lui faire face. Nos regards se croisent.
Moi :... je pouvais aller à l'épreuve des hunters... Tu sais que je veux vraiment le faire et en devenir une.
Il me regarde. Il est triste et ne veut vraiment pas que je parte.
Kuroro : Tu sais très bien que tout ce que je veux c'est ton bonheur mais... Je veux pas que tu me quittes. Je suis bien quand t'es la. Je t'aime vraiment beaucoup tu le sais ça ?
Oui, je le savais même moi mais lui comme moi ne voulait pas qu'on soit vu comme un couple.
Moi: Je sais Kuro' mais je veux vraiment le faire, mon père en été un lui aussi.
Il se détacha de moi et me regarde méchamment.
Kuroro: Ton père n'était qu'un con qui t'a laisser à l'âge de 11 ans. Tu était seule et qui t'a recueillie ? QUI ?
Je déglutis et les larmes commencés à faire leurs apparitions.
Moi: Toi
Je l'ai dit en chuchotant. Il savait que ça me faisait du mal de voir que je n'avais plus de famille. Les larmes dévales sur mes joues devenues maintenant rosés.
Kuroro s'approcha de moi et pris mes mains froides dans ses paumes chaudes.
Kuroro: Pardon j'y suis aller un peu fort.
Je renifle, je le prend dans mes bras.
Moi: Merci, d'avoir toujours était la pour moi. Merci, de prendre soin de moi.
Il me serrait fort. Je relève la tête et voit qu'il pleure.
Moi: Kuroro pourquoi tu pleures ?
Kuroro: Quoi ? C'est juste une poussière dans mon œil.
Je rigole légèrement.
Kuroro : J'aime bien quand tu souris. Ça te fait des petites fossettes sur tes petites joues.
Il me regarde. Mon regard était bloquer dans le sien.
