Les onsens (katsudeku)

apaisé

pdv izuku

katchan se rapproche de plus en plus de moi. je stresse carrément je sais pas quoi faire ! Mais je me rappelle qu'il faut absolument qu'on clarifie deux trois choses comme par exemple le fait que je ne lui veut plus du tout pour notre passé et que je luis explique pourquoi car je vois bien qu'il doute toujours... et aussi et surtout que je lui dire enfin que je l'aime surtout que l'atmosphère est fait pour ! la vapeur, le silence, la luminosité, ...

izuku: katchan je veux te parler de quelque chose... s'il te plaît retourne toi et ne m'interrompt pas... c'est important

il est d'abord étonné mais vue la tête de petit chiens battu que je dois faire, il me fait un sourir qui me rassure et se retourne.
Aller courage izuku ! tu peux le faire ! même si il n'est pas face  moi je préfère fermer les yeux

izuku: Alors pour commencer, Katchan, depuis qu'on est petits et jusqu' au collège, on a toujours été ensemble. Je te suivais de partout par admiration pour toi. Mais une fois arrivée à nos 11 ans, tu as commencé à changer. (ma voix commence a trembler) Malgré le faite qu'on soit dans la même classe, tu as commencé à me faire du mal, à me harceler, à me brûler mon cahier et me dire des trucs méchants. Dès que, par mal chance, je passais dans le même couloir que toi je me prenais des coups et tu continuais à me foutre la honte devant les autres. Mais j'ai quand même continué à te suivre. Toujours pour les mêmes raisons. Mais à ce moment-là je continuer également car je savais qu'au fond de toi tu avais plus un complexe qu'autre chose et que je connaissais le "vrai toi". (mes yeux deviennent humides) J'espéré juste que tu redeviendrai comme avant, qu' un jour tu grandisses mentalement et que tout se passerait bien. (ma voix encore plus tremblante, je prend un ton ironique) Une fois rentrée au lycée, tu as commencé à juste totalement m'ignorais. je n'ai pas tout de suite compris... Au début j'étais content, j'ai pu me faire des amis sans que tu les retourne contre moi. Mais il manquait quelque chose, il manquait ta présence. Je me suis juste rendu compte que tu étais indispensable pour ma vie. je ressentais un sentiment d'abandon...  Après le lycée, on s'est un peu perdu de vue, on va dire et retrouver, il y a maintenant trois ans. Tu as grandi, tu ne me fais plus de mal, ni mentalement, ni physiquement et je t'ai pardonné totalement... (je commence vraiment à sangloter, merde je sens que je vais pas tenir longtemps) Je veux que tu saches que ça n'a pas été facile et je sais que tu t'en veux encore mais je veux absolument que tu comprennes pourquoi je t'ai pardonner si facilement. Les raisons sont plutôt simple, je t'admire, je connais le Katchan de quand on était petit, je sais que tu étais mal dans ta peau à ce moment-là. Malgré que ça n'excuse pas tout, pour moi c'est quand même déjà beaucoup. Je savais que tu regrettais tes actes et le faite que tu ne te sois toujours pas pardonné après toutes ces années, prouve que tu es sincère. Pour moi c'est suffisant donc je ne veux plus que tu t'en veuilles.(ça y est, j'ai explosé, je pleure à chaudes larmes regardant vers le bas) Je ne veux plus que tu te fasses de mal ou que tu sois frustré. Je veux juste qu'on vive une vie, tous les deux, simple et dans la bonne entente. (je fais une pose pour essuyer mes yeux et reprendre mon souffle afin de me calmer mais ma voix tremble toujours) Mais j'ai autre chose à te dire aussi. C'est très difficile pour moi de te l'avouer... J'ai peur de ta réaction, j'ai peur que ça détruise notre relation mais ça me pèse depuis bien trop longtemps donc je vais te le dire. J'espère que tu réagira pas trop mal. Katchan.... je t'aime... (je parle de plus en plus fort en refermant les yeux) Je t'aime vraiment fort ! je t'aime depuis qu'on est petit, depuis qu'on se connaît ! Un peu comme un coup de foudre. Je pense à toi tous les jours. Je veux être avec toi ! Je te désire ! Même si on est deux hommes, je m'en fiche ! je me fiche de ce qu'en penseront les autre. Après tout, ça a bien marché pour Denki est Kirishima... (je relève la tête et le vois trembler. est-il en colère ? est ce qu'il pleure ? j'en sais rien. je referme encore les yeux) Donc voilà j'ai dit tout ce que j'avais sur le cœur maintenant...