No control. {Z.M & N.H}

Chapitre2: Une parole.

On était venus chercher zayn vers 19h30 d'après l'horloge dans le couloir de sa chambre. On lui avait dit que c'était l'heure d'aller à la cantine. Tous les soirs, tout le monde se retrouvait là bas, et le midi c'était chacun sa chambre, quel idioties ! A vrai dire il aurait voulu diner dans sa chambre, seul. Il ne voulait voir personne, juste dormir, enfin essayer. La drogue lui manquait terriblement, il avait envie de faire un meurtre, un vrai. Puis il avait tellement de questions à poser, pourquoi du jour au lendemain il s'était retrouvé dans un hôpital? Personne ne s'inquiétait pour lui? Il n'avait décidément personne. Même ses clients n'en n'avaient rien à foutre de lui, il voulait juste baiser, prendre leurs pied, zayn n'était qu'un pauvre jouet pour eux. Il pensa alors qu'il avait au moins une chose positive dans tout ça, il ne ferait plus la pute pendant un moment, sans doute. Mais la partie la plus sombre était, toujours, la drogue. Il n'en pouvais plus, il allait mourir, ses bras criaient famine. Il devait en prendre et vite. La dernière fois qu'il avait voulu arrêter, il s'était mit à hurler, trembler, casser chaque objets de la pièce, ses bras lui brûlaient, mais surtout il avait envie de tuer. Pas de tuer quelqu'un non, de se tuer. Lui. Mais dans un hôpital il n'y a pas de drogue hein? Alors comment allait-il faire? Pour surmonter ses spasmes ? Comment? Tel était vraiment la question. Il regarda derrière lui, il n'y avait personne il pouvait très bien partir, il avait juste a taper ces deux cons de gardes, puis courir, il savait où était la porte maintenant. Mais il ne pouvait pas, car même si il arrivait jusqu'à la porte, il n'était pas sûr de pouvoir sortir après, et même il avait ces putin de menottes qu'on lui avait mit avant de partir. Il regarda les deux gardes a ses cotés, leurs visages était dur, aucun sentiments n'en sortait, des vrais pierres. Au loin zayn vit la porte de la cantine, il la reconnu grâce a la pancarte qui l'indiquait sur la gauche. Des personnes malade franchissaient la porte uns par uns, bientôt se sera lui qui franchira cette porte, et malgré lui il savait que tout les regards serait braquer sur lui. Ils entrèrent tous les trois dans une grande salle, avec plusieurs tables un peu partout. D'après ce que zayn pouvait voir même le personnels mangeait ici. Un des gardes lui prit violemment le bras droit, lui leva un peut pour pouvoir acceder au verrou des menottes, en un clique ses mains étaient enfin libre, il se les massa, une marque rouge entourer chacun de ses poignet ou ses tatouages était parfaitement dessiner. Il avait eu envie sur le coup de partir en courant le plus vite possible, mais le regard que lui lança Robert juste en face de lui, avec à ses côté Niall lui fit perdre son courage. Il senti alors une douleur dans son bras, la drogue. Il en avait vraiment besoin. Vite.

Il prit un plateau qu'il ne remplie que d'une pomme et d'un simple vers d'eau, le brun regarda sur les tables si il y avait des pichet remplis d'eau, ou non, il y en avait sure une table, il devait surement en prendre un en passant devant. Il n'avait pas faim, son corps lui demandait une autre faim, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas manger un grand repas, et encore aujourd'hui il ne changerait pas ses habitudes.

Ses yeux était tout a fait parfait, encore un peu cernés et rouge mais ça le changer vraiment. Il n'était pas défoncé, il venait de le voir dans la glace juste a sa droite en sortant du buffet,ses yeux c'étaient croisé et il n'avait pas eu le choix que de se regarder quelques secondes. Il balaya la salle essayant de trouver une table loin de tout ce monde, où il pouvait être seul. Il en trouva très vite une, c'était la dernière des rangées, au fond devant les fenêtres. Oui, il serait bien tranquille là bas. Il marcha vers cette table, doucement mais il y allait, son regard se posa sur plusieurs patients qui mangeaient, d'autres n'étaient pas en très bonne forme, leurs cernes était tellement noir, tellement sombre, un enfant aurait vite quitter la pièce, même si en enfant 'normale' ne se promènerait pas dans ces lieu. Il s'assit à la table du fond, et regarda sa pomme, comme si elle n'était pas vraiment là, il n'en avait décidément pas très envie. Une voix résonna juste à côté de lui: