Mini-histoire (inspirées de couple d'animé)

🍫Eren X Livai🍵 : alcool, sexe et amour

Pdv Eren

L'amour est une chose complexe. Je ne suis jamais tombé amoureux et cela m'était égal. Mais quand au détour d'un couloir, j'ai croisé ce regard gris métallique. Son visage pâle et ses cheveux noirs m'ont hypnotisé que j'en ai oublié le but de ma course. Mais la sonnerie stridente ma vite ramené à la réalité. Mes cours se sont enchainés jusqu'à 18 heures avant que je puisse quitter l'établissement. Mes élèves m'ont tellement épuisé que je partis boire un coup dans un bar. Je m'assis au comptoir et commandais un double whisky.

Vers les environs de minuit, on me délogea de mon siège. Je me retrouvais dans les rues à zigzaguait jusqu'à mon immeuble. Devant la porte de mon immeuble, le digicode devint mon épreuve. Je m'énervais rapidement et tapais sur le boitier métallique. Un rire retentit derrière moi et me fis me retournais. L'homme de ce matin était là, devant moi, une bouteille à la main et l'air aussi bourré que moi. On se regarda avant de rire comme des fous.

On finit par réussir à ouvrir la porte en s'y mettant à deux. Une fois dans le hall, on se fixa intensément avant de se rapprocher. Nous étions à deux centimètres l'un de l'autre quand il combla l'espace entre nos lèvres. Je fus surpris mais je répondis finalement au baiser. On se dévore les lèvres tout en se dirigeant difficilement vers mon appartement. La porte de l'appartement 18 s'ouvrit rapidement et on entra en se détachant quelques secondes. La porte fut vite claquée et on se retrouva dans mon lit. Nos vêtements finirent au sol et il se mit à califourchon sur moi.

Nos mains commencèrent à caresser, à toucher. Ses doigts descendirent de mon torse et arrivèrent rapidement vers mon intimité. Je mis ma tête en arrière de plaisir et ses lèvres laissent des suçons humides sur mon cou. Son premier doigt entre moi et je gémis. Il réembrassa mes lèvres avant d'en entrer un deuxième. Il commença à bouger ses doigts en moi et je gigotais de plaisir. Il fut forcé de me tenir les hanches pour me tenir immobile. Il écarta ses doigts et je gémis légèrement sous la douleur.

Il embrassa mon front avant de les enlever et de se positionner. Il me lança un dernier regard avant de fondre sur mes lèvres et d'entrer doucement en moi. Ses mouvements devinrent plus rapide et je gémis sans retenu. Il continua jusqu'à ce que mes mains se crispent dans son dos et le griffe. Je jouis et lui me suivis rapidement. Il se retira et m'embrassa délicatement en me serrant contre lui. On fit l'amour une fois, deux fois, trois fois, etc.

Le lendemain, mon réveil me déchira le crâne. Le son résonna dans ma tête comme dans une cloche. Mes bras étaient serrés autour d'un torse et ma tête était posée sur un torse. Je me relevais et courus au toilette. Je vomis mes tripes jusquà ce qu'une main vienne caressée ma tête.

- Tout va bien mon beau. Vomis tant qu'il faut.

Je tirais la chasse d'eau et me tournais vers cette personne. Mon inconnu aux cheveux noirs se tenaient là, en caleçon, me caressant la tête, un sourire sur le visage.

- Salut, Eren. Bien dormi ?

Je rougis fortement.

- Euh Je suis désolé hier soir, j'ai déconné, j'aurais pas dû t'embrasser

Je me vis se perdre dans des excuses et pour m'arrêter, il colla ses lèvres aux miennes. Je répondis rapidement et il me souleva par les hanches. Il me déposa sur le lavabo et on s'embrassa plus sensuellement. Soudain, je me rendis compte que je ne m'étais pas lavé la bouche.

Je me séparais de lui et répondis à son air surpris.

- Je suis désolé, j'ai vomis et je t'ai embrassé après. Je suis désolé.

Sa main caressa ma joue avant de passer derrière ma tête.

- Ecoute, Eren, cela fait longtemps que j'attend que tu fasses le premier pas. Je t'aime depuis tellement longtemps que peut importe ce que tu as mangé, ce que tu as bu ou si tu es malade. Je veux t'embrasser, t'aimer, te chérir et te considérer comme mon petit-ami. Je t'aime Eren, aujourd'hui et pour toujours.

Je laissais une larme de bonheur coulait et je l'embrassais de nouveau.

- Moi aussi je t'aime Livaï.

On recommença à faire l'amour plusieurs fois avant que nos deux téléphones ne sonnent. Assis sur lui, lui encore en moi. Nous décrochons, la voix du directeur et de sa secrétaire retentit.

- Tu te fiches de moi ! T'es en retard de 68 minutes ! Tu vas ramener tes fesses, ici et maintenant !

Nos discussions coupèrent simultanément et on reposa nos téléphones. Il me regarda et caressa de nouveau ma joue.

- Bon ben on nous attend, on finit et on y va ?

- No problemo mon ange.

Il recommença ces mouvements et 20 minutes plus tard, on arriva main dans la main au lycée. On parla de tout et de rien jusqu'à l'entrée.

- Oh, bébé tu feras gaffe t'as un suçon visible dans le cou.

Je remis le col de Livaï pour masquer ma trace. La sienne ou plutôt les siennes étaient plus bas. Il le redéfit avant de passer ses mains sur mes hanches.

- Je veux qu'on les voie, pour qu'on sache que je suis à toi.

- Oui et inversement.