quatrième chapitre

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Les jours qui suivirent furent horribles pour moi, le temps semblait passait au ralenti (c'est comme ça quand on est stressé)
Le jour J arriva enfin, moi et Ginny étions dans la cuisine, Ginny préparé un gâteau au chocolat. (Mon préféré)
H- Hum, Ginny, ce soir je t'emmène dîner, ça te dit ?
G- Oh que oui.
H- Alors fais toi belle même si tu l'es toujours.
G- Hum merci chéri (je ne suis pas convaincu du chéri là)
Et là elle m'embrasse. C'est le plus merveilleux des baisers que j'ai connus. C'est merveilleux. (Tu te répètes, là)
H- (après le baiser) Ouah, c'était merveilleux.
Ginny sourit et repartit à son gâteau et moi je monte dans notre chambre.
H- Pff, il me faut un costume, Yumi au secours.

*Bon alors, il faut pas de cravate, ça va pas et faut que tu déboutonnes un ou deux boutons de ta chemise.
H- Euh c'est une demande officielle, je te signale, on n'est pas dans un de tes fantasmes.
Y-(toute rouge) Euh oui pardon, alors met ta robe de soirée verte émeraude, tu sera sublime avec.
H- Ouais bonne idée.*

Je me prépare vers 18h, Ginny, elle est dans la chambre depuis deux heures. (Comme le jour du bal de noël) Ginny est sublime avec sa robe bleue sans manche.
H- Oh tu es sublime, il est l'heure d'y aller.
G- merci, on y va.
On va au chemin de traverse en transplanant jusqu'au chaudron baveur puis on entre dans le chemin. (Normal la poudre de cheminette aurait salie mon couple préféré)
G- On va ou ?
H- Tu verras, c'est une surprise.
G- Harry, dis moi s'il te plait.
H- Non, tu le sauras quand on y sera.
On arriva au restaurant et là j'ai vu un sourire éclatant sur le visage de ginny.
G- C'est magnifique.
H- J'ai bien choisit alors.
G- Oh que oui
On rentra dans le restaurant et Ginny était encore plus contente que tout à l'heure.
G- Oh Paris, c'est sublime.
H- Je savais que ça allait te plaire.
On resta dans le restaurant pendant un bon bout de temps (précision : jusqu'à 23h30) On avait manger des plats typiquement français. J'avais beaucoup aimé les crêpes au sucre, c'est délicieux. (eh ouais)
H- Bien Ginny, la soirée n'est pas fini.
G- Oh qu'est que tu m'a encore prévu ? OHH !! (Viens de voir la calèche)
H- Alors ça te plait ?
G- Moui, c'est magnifique.
On monta dans la calèche et elle commença à avancer. On passa une demi-heure à parler de tout et de rien et à regarder ce qui nous entourais. Vers minuit, je me décidais (enfin) à me lancer avec peur au ventre. Je n'ai jamais eu aussi peur même devant Jedusor (voldemort pour ceux qui ne connaissent pas)

*Et ben t'as la trouille là Harry. C'est vrai que Ginny est plus terrifiante que notre cher Voldy.
H- AHAH, très drôle.
Mais j'ai peur qu'elle dise non, moi.
Y- Bon alors Harry, je vais te dire un truc que tout le monde sait .Elle t'aime depuis qu'elle a dix ans, elle est la femme de ta vie et tu es l'homme de sa vie. Alors bon sang, tu arrêtes de stresser comme ça. Allez dis lui.*

H- Euh Ginny, je voulais te demander quelque chose.
G- Moui, Harry vas y.
H- Ginny, tu sais à quelle point je t'aime, j'ai mis du temps à m'en apercevoir mais maintenant je le sais. J'ai du te quitter pendant un an et ce fut la pire année de ma vie, je pensais toujours à toi. J'avais peur pour toi surtout quand j'ai su que t'avais tenter de voler l'épée de Gryffondor, ça a été horrible. J'ai encore en mémoire le poème que tu m'as fait pendant ta première année. Je t' aime plus que tout au monde, Ginny, je suis sur, non, je sais que tu es la femme de ma vie.

*Oh Harry, tu déchire, t'es trop bien comme mec, elle va en tomber à la renverse.
H- C'est vrai, c'est bien ?
Y- Harry ai plus confiance en toi, bien sûr que c'est bien, c'est parfait. Toutes les filles adoraient qu'on leur dit ça. Bon, continue.*

G- Oh Harry, bien sur que je le sais que tu m'aime et ce que tu as dit est magnifique.
H- Attends j'ai pas fini. Il faut que je te demande quelque chose de très important. Je voudrais passer ma vie auprès de toi alors Ginny (il s'est agenouillé devant elle, c'est vraiment parfait Harry) voudrais tu devenir ma femme ?
Ginny était bouche bée, elle savait pas quoi dire. Je ne l'avais jamais vu comme ça.
G- Oh mon dieu, Harry bien sûr que je le veux, je t'aime tellement. (Elle lui saute au cou)
Alors là, c'est le paradis, je suis trop content.

*Ben ça se voit, tu as un sourire idiot sur le visage.
H-TU NE PEUT PAS ETRE CONTENTE POUR MOI ?
Y- Bien sûr que si !! Je suis trop contente pour toi mais c'était à prévoir. Vous êtes fait l'un pour l'autre


La vie est une chose merveilleuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant