Dreams - A Star Wars Story

13 - La quadyade

Une fois que tout le monde était arrivé devant le bureau de la Générale, Poe frappa à la porte. Leia ouvrit et vit toute une petite troupe devant son bureau. Elle vit son fils, avec Rey endormie dans ses bras, elle décida alors de d'abord parler avec un Poe paniqué et les padawans, qui avaient l'air complètement à l'ouest.

Elle les fit entrer et referma la porte derrière eux. Dès que la Générale fut assise derrière son bureau, le pilote prit immédiatement la parole : « Ma Générale, il s'est passé un léger incident sur Takodana, avec les padawans. Alors je pense que vous êtes déjà au courant, mais le Premier Ordre a débarqué, nous avons tous réussi à nous réfugier dans le château de Maz, tout le monde sauf les padawans. (Leia fit des gros yeux, elle sentait que cela ne s'était pas bien fini). Elles se sont faites encerclées par un escadron de stormtroopers. Et Hux a donné l'ordre de les abattre, les soldats avaient déjà levés leurs blasters. Mais à ce moment-là, la Supreme Leadeuse est sortie et à défendu à Hux de les abattre, parce qu'elles sont sensibles à la Force et qu'elle pourrait les convertir au côté obscur le moment venu. Les stormtroopers se sont approchés d'elles, des menottes à la main. Et là, en une fraction de seconde, tout a dégénéré. Des...des éclairs bleus sont comme sortis de leurs mains en même temps et... et eh bien tous les stormtroopers aux alentours se sont retrouvés au sol ! ». Voyant les gros yeux que faisait Leia, le pilote éclaircit quelques points : « Non, non ils ne sont pas morts, ne vous inquiétez pas ma Générale, ils sont plongés dans une sorte de sommeil profond, c'est ce qu'en a conclu Maz après les avoir examinés. ». Leia mit quelques secondes avant de répondre : « Les padawans ont fait ça, alors qu'elles ne sont même pas encore formées ? Tu te paies ma tête, c'est ça Poe ? Dis-moi que c'est une blague, s'il-te-plaît ». Poe fit un signe de tête à Leia qui voulait dire qu'il disait la vérité. Leia commença à réfléchir à une explication possible à cet évènement. Elle n'en trouva aucune, alors elle décida d'aller chercher les deux seules personnes qui pourrait lui apporter une solution : son fils et Rey. Elle envoya C3-PO les chercher.

Ben entra dans le bureau de sa mère, en portant toujours une Rey assoupie dans ses bras. Il la déposa sur le fauteuil se trouvant dans un coin de la pièce. Il demanda à Leia, ce qu'il se passait et elle lui expliqua. Quand il eut tout entendu il se retourna vers ses padawans et leur posa la question suivante : « Dites-moi exactement ce que vous avez ressenti ! Mais il faut le dire ! ». Flavie fut la première à prendre la parole : « Mais, je ne comprenais plus rien, j'entendais les voix des filles dans ma tête, et c'était tellement le bordel ! ». « Oui, et puis moi j'entendais comme des bourdonnements dans mes oreilles ! » surenchérit Béré. Chloé dit, enfin plutôt cria : « Alors qu'aucune d'entre nous n'avait ouvert la bouche, je n'ai rien compris ! ». « Bande de caribous, fermez là maintenant ! Il y a certainement une explication à ce qu'il nous arrive ! » répondit Lara, d'un ton relativement calme. Cette remarque n'avait absolument pas calmé les padawans qui se remirent à se crier les unes sur les autres. Et cela continua, pendant plusieurs minutes encore.

Tout ce brouhaha réveilla la Jedi qui était sur le fauteuil dans le coin du bureau. Elle était paniquée, elle n'avait pas remarqué qu'elle ne se trouvait plus dans cette grotte sinistre sur Lothal, dans laquelle son grand-père lui avait annoncer que c'était elle qui allait régner sur les Siths. Rey avait du mal à respirer et avait fermer les yeux pour ne pas voir l'hologramme de l'Empereur. Ben avait compris ce qu'il lui arrivait et c'est pourquoi il est directement aller vers elle et la prit dans ses bras pour la rassurer et lui chuchota à l'oreille : « Ouvre les yeux, Rey. On est rentré sur Ladro, tu n'as plus à t'inquiéter. Tout va bien. ». Rey ouvrit tout doucement les yeux et regarda Ben, le simple fait de le regarder l'avait calmée. Ils étaient dans leur bulle, c'était comme si plus rien n'avait d'importance autour eux.