Aryan brotherhood

Chapitre 2

Tout paraissait calme dans les rues de Long Beach en Californie, ça cote ou plein de petit magasin, café , marchand de glaces attiré des clients en abondance peu importe la saison. Mais surtout des terrasses ou l'on pouvait voir des personnes de toute âges profité du panoramique toute en étant a l'ombre grâce a c'est énorme palmier. Ou encore c'est building rempli de vitre qui refléter la lumière du soleil a en aveuglé les habitant. Mais beaucoup essentiellement les enfants n'allèrent pas à la plage pour l'eau mais pour les manèges sur le ponton. Aujourd'hui était une journée ensoleillé comme la plupart des jours à Long Beach, L'été été presque arrivée et les vacances scolaires aussi bientôt la plage serrai recouvert d'enfants courant partout en criant leur joie mais aussi de parents et de baby-sitter a bout de nerfs. Barry n'avait jamais rien connu d'autre que Long Beach il y avait passer les 21 ans de sa vie. Il aimait cette ville même si il la connaissais un peu trop bien pour lui trouver des defaults que l'on ne voit pas au premier coup d'œil. Il habité une petite maison dans un quartier dit pauvres de la ville et bien sûr au plus loin de la plage et des touristes. La ou les gangs avais pris le monopole de la drogue et vendais leur mort en sacher a de plus en plus de monde, y compris ça mère qui aussi loin qu'il se souvienne était accros à toute drogue de synthèse lui fessant oublier ça misérable existence. Son père étant parti des ça naissance il n'avait pour seul famille ça mère qu'il essayé de tenir en vie.

Barry était un garçon ordinaire aux premiers abords. Il devait mesurer dans les 1m 85 pour un poids de 89 kilogrammes. Il n'avait aucun signe distinctif mis à part ça carrure plutôt importante c'était monsieur tout le monde. Ces cheveux coupés relativement court était brun foncé ces yeux vert ce qui lui donnais un certain charme. Il avait des lèvres très fines et une mâchoire carrée. Mais on aurai pus le comparé à un loup solitaire très énigmatique et surtout il avait un charisme innée ce qui avais le temps lui avais évité bien des ennuie. Barry était un bon garçon mais ayant redoubler sa dernière année il était toujours au lycée ou c'est professeur le juger plein de potentiel et discipliner.

Barryrentré du lycée a reculons comme tous les jours avec aucune envie de retrouverle taudit lui servant de maison, mais surtout de trouvée sa mère dans toutc'est états à cause du manque. Ou pire de ne pas savoir où elle était. Il avaitpour habitude depuis plusieurs semaines voire mois maintenant de longer laplage pour rentrer chez lui. . Ce n'était pas le chemin le plus court et il m'entirai si c'était pour profiter de l'air frais de la mer en cette fin de journée. Il y avait quelque chose qu'il convoité. Une jeune femme d'origine Afro-Américaine au teint clair comme si le soleil rayonné constamment sur elle. Barry ne fit une raison ce n'était pas encore aujourd'hui qu'il allait passer le pas et osé lui parler. Et il prit tout son temps tout son temps pour passer devant le café ou elle travailler.

Après avoir profité de sa beauté étincelante il reprit son chemin à travers les rues de moins en moins chic en direction de sa maison. Mais la réalité le rattrapa plus vite que prévu et il commença à ce préparé a tous les scenarios possibles quand il franchiré le pas la porte d'entrée. Il continué à marcher et plus il avancer moins les gens sur les trottoirs avais la joie de vivre, les habitant de son quartier avais tous une histoire propre mais tout le monde avait un point commun que tous auraient aimer ne pas avoir la pauvreté. En continuant son chemin il passa devant un bureau de tabac tenu par un vielle homme qui avais vue Barry grandir, il lui fit un signe et continua puis bifurqua sur sa droite afin d'aller plus vite.

Il passa devant un city stade ou une bande d'Afro-Américain jouer au basket. Ici les blancs et les noirs ne se mélanger pas ce qui donnait des affrontements pour souvent des choses qui n'en valait pas la peine. Barry n'avais jamais pris part l'idée de ne pas aimer une personne pour ça couleur lui paraissait enfantin. Il se souvenais d'un soir il y a déjà maintenant 4 ans a peut près ou plusieurs morts sont survenu après que les deux gangs ce sois mis à ce tiré dessus. La cause ? Parce que qu'un petit blanc d'une dizaine d'années maximum avait frappé le petit frère d'un membre du gang des Afro. Sur son chemin Barry passa dans une ruelle derrière un magasin il voulait rentrer la faim commencer a lui faire gargouiller le ventre. Quand une fois dans cette ruelle qu'il avait emprunter des milliers de fois il vue à l'autre bout deux jeunes qui avais l'air de discuter même si il savais très bien que c'est rue était très primer des dealers pour leur échange. Il continua à marcher et une fois qu'il fut à porter de vue il reconnut Scott. Son ami d'enfance a vrai dire son seul ami depuis longtemps même si Barry évité la présence de Scott parce qu'il n'était pas de bonne fréquentation avais dit l'officier de police quand plus jeunes ils avaient fini tous les deux au poste de police grâce au " bon plan " de Scott. Barry ne l'avait pas vu depuis quelques mois la rumeur disaient qu'il c'était mit à vendre de la Marijuana, une raison de plus pour Barry de ne pas renouer le contacte. Mais Barry compris vite que la situation s'envenimé quand il vue l'interlocuteur de son ami sortir un couteau de ça poches. N'étant pas repéré Barry avança discrètement afin d'entendre la conversation. L'homme au couteau crié.

-Alors comme ça on veut m'entuber ?

-Je te jure j'allais te rembourser ! Laisse-moi encore une semaine juste une et je te donnerai des intérêts s'il te plait.

Supplié Scott les larmes aux yeux qui n'avais pas changer toujours son léger sur poids pour son métre75. Comme a son habitude il était-elle un gangster avec son baggy descendant à la limite de c'est fesses et son t-shirt trois fois trop grand pour lui. Il arboré toujours ça casquette des Lakers de Los Angeles. - Tu me doit déjà 2000 $ alors tu crois vraiment que je vais te laisser partir ?

- Non s'il te plait...

- Trop tard !

L'homme leva le couteau et frappa le crane de Scott le avec le manche du couteau, Scott hurler a plein poumons ça casquette jaune et maintenant rouge sur sol. Barry pouvait ressentir la douleur même avec les 40 mètres qui les séparé. Scott s'effondra sur le sol mais ça n'arrêta pas l'homme de continuer chaque coup s'enfonçais un pleut plus dans son cranes. Et l'homme ne s'arrêtai pas de impitoyablement le répéter.

- Oui ! Voilà tu comprends ?

La douleur était tellement intense que Scott perdit connaissance. Barry quant à lui toujours spectateur de l'effroyable mis à mort de son ami n'en pouvais plus il fallait que ça cesse ! Barry pris son élan et s'élança de tout son poids il traversa la ruelle en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et percuta avec son pieds le flanc de l'homme jusqu'à maintenant pencher sur le corps de Scott. Il fut surpris quand il percuta le sol avec la pression de presque 90 kilogrammes lancer à pleine vitesse. Barry ne le laissa pas respiré et continua de le martelais de coup pieds. Avec l'adrénaline il senti à peine le couteau se planter dans son mollet. Puis le pire arriva il perdu totalement son sang-froid et pris à la tête de son adversaire et avec toute la rage donc il disposa la frappa aussi fort que possible contre le macadam. La première fois il entendit sa boite crânienne ce brisé les fois qui suivirent ce fut que plus de sang à chaque fois sur le sol. Il ne cessa que quand ces bras fut trop lourds pour porter le poids de ce qui lui rester de tête. 

Il partit immédiatement voir Scott mais son pouls était très faible alors il courut les mains couverture de sang et des cheveux de sa victime. sans savoir ou aller en hurlant.

- Appeler une ambulance vite !

Il continua a courir dans le quartier jusqu'à ce qu'il entendent les sirène arriver il resta près de la dépouille de l'homme qu'il venais d'assassiner de c'est mains sans aucun remord. Quand il vue la voiture des secours escorter part deux voiture de police il ne chercha pas a comprendre et ce mit à genoux. Ça premier pensé quand il vue l'officier de police braquant son 9mm sur lui fut. Si les dieux existent pourvu qu'ils soient cléments envers ma personne.