Tome 2 Chapitre 4 : My world without you, a new song

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P.D.V. Léon :

Depuis ma séparation avec Violetta, je n'ai plus gout à rien. Je ne sors plus. Fédérico à eu beau m'appeler un millier de foi, je n'ai pas décrocher pour autant. Pourtant, un soir, alors que je ne m'y attendais pas, on sonna à la porte. Pensant que ce serait Violetta, je me leva de mon lit et alla ouvrir la porte. En ouvrant cette dernière, je tomba face à Fédérico. Il eut un effet de surprise en me voyant. C'est vrai que j'avais l'air affaibli car je dormais peu depuis quelque temps, mais pas de quoi en faire une histoire. Je le laissa entrer et il vit l'état ravageur dans lequel le salon était. Fédérico me regarda en croisant les bras attendant surement une réponse de ma part. n'ayant aucune explication à lui fournir, j'attendis qu'il me pose la question par lui-même.

Fédérico : Peux tu m'expliquer Léon ?

Moi : Tu veux une explication sur quel sujet ? Sur le fait que mon sujet est dans un état déplorable ou sur le fait que je ne suis plus avec la seule personne que j'aime ? Les deux sont liés.

Fédérico : Léon, il est temps que tu tournes la page.

Moi : Tu voudrais que je fasse une croix sur mon passé avec elle ? Tu te rends compte de ce que tu me demandes j'espère ?

Fédérico : C'est drôle de voir à quel point vous vous ressemblez.

Moi : Tu l'as vue ? Dis moi la vérité !

Fédérico : Oui je l'ai vu et elle est aussi mal que toi. Pour tout te dire, vous êtes dans le même état. Ludmilla est avec elle à essayer de lui remonter le moral. J'en fais autant avec toi, enfin j'essaye. Je n'ai toujours pas compris pourquoi vous vous étiez séparés. Si vous êtes aussi mal loin l'un de l'autre pourquoi ne pas vous remettre ensemble ?

Moi : Demande à Violetta car moi je n'ai jamais voulu qu'on se sépare.

Fédérico : Écoutes, j'ai une idée.

Moi : Tu m'excuseras Fédérico, mais tes idées ne sont pas souvent les plus brillantes.

Fédérico : Merci pour le soutien.

Moi : Je ne suis pas réellement d'humeur mais dis toujours.

Fédérico : Ludmilla et moi, on organise l'anniversaire surprise de Violetta et je me suis dis que se serais l'occasion rêvé pour toi de la revoir et de vous expliquer.

Moi : Tu crois qu'elle voudra me voir ?

Fédérico : Dans cet état tu rigoles ? Personne ne veut te voir comme ça mais avec ton meilleur ami qui fait des mirages un conte de fée surement. Premièrement, tu va accepter de faire tout ce que je dis et tu n'as pas intérêt à dire non je te le garantis.

Mon meilleur ami pouvait faire peur quand il le voulait. J'hocha la tête en acquiesçant. Il sourit avant de se diriger vers la chambre t d'ouvrir la penderie. Il chercha cinq minutes avant de sortir une tenue classique.

Fédérico : Essaye ça !

Je pris les affaires qu'il me tendit sans grande conviction et les essaya avant de revenir vers lui. Il me regarda de haut en bas et me dit :

Fédérico : C'est décidé tu porteras cette tenue et tu n'as pas intérêt de mettre autre chose tu m'entends ?

Moi : Oui.

Il me sourit avant de sortir son téléphone et je le vis écrire un message. Je me demanda à qui il pouvait écrire dans un moment pareille. Je ne m'attarda pas le sujet que Fédérico me dit qu'on devait partir pour la soirée. On devait y être au moins deux heures avant que Violetta et Ludmilla n'arrive. J'aida Fédérico avec le matériel. Le temps passa tellement rapidement que les premiers invités arrivaient déjà. Fédérico m'ordonna d'aller me changer. Je pris mes affaires et me dirigea dans l'arrière salle. J'enfila ma tenue en un temps record et rejoignis mon meilleur ami. Je sentis les regards sur moi mais je m'en moquais éperdument. La seule que j'autoriserais de poser son regard ainsi que ses lèvres sur les miennes c'était Violetta. Je chercha du regard celle qui faisait battre mon cœur. Fédérico le remarqua et sourit.

Moi : Qu'est ce qui te fait sourire comme cela ?

Fédérico : Toi, tu me fais rire. Ta dulcinée va arriver ne t'inquiète pas. Ton anxiété va devenir contagieuse.

Moi : Arrêtes de sourire bêtement. Je suis juste nerveux de la revoir après tout ce temps.

Fédérico : Je le sais Léon, je t'embête juste un peu.

Moi : Tu trouves ça drôle en plus ?

Il ne répondit pas à la question et concentra sur ses messages. Son air sérieux reprit le dessus. Fédérico me regarda avant de dire :

Fédérico : Les filles arrivent. Éteignez les lumières et cachez vous !

On fit ce qu'il dit. Quinze minutes plus tard, les filles entrèrent avec Fédérico et on sortis tous de notre cachette n'omettant pas d'allumer la lumière. Mon regard se posa sur elle. Elle qui faisait battre mon cœur. Violetta me regarda et rougit. Son regard passa de moi à Fédérico sans rien comprendre à la situation.

Fédérico : Le malaise de Léon à été la seule solution que j'ai trouvé pour te faire venir ici.

Il avait trouvé une excuse pour que Violetta vienne et me vois face à elle.

Fédérico : Violetta tu n'as pas oublié quel jour nous sommes aujourd'hui ?

Violetta : On est mardi. En quoi cela devrait il changer quelque chose ?

Il tapa des mains et les banderoles avec les lettres de joyeux anniversaire était accroché s'allumèrent. Violetta à réfléchis longtemps avant de prendre ses amis dans ses bras. Ludmilla lui offrit une robe qu'elle partie essayé. Quelques minutes plus tard, elle revient. Tout le monde la dévisagea. Son regard se posa sur moi et je me surpris à rougir. Elle le vit et me sourit timidement. Ludmilla nous remarqua et poussa Violetta dans mes bras. Je la rattrapa et elle regarda Ludmilla avec un regard de remerciement. Je regarda Fédérico implorant de l'aide mais il ne le fit pas pour autant. Je reporta mon attention sur elle. Elle ria doucement.

Moi : Je peux savoir ce qui te fais rire ?

Violetta : Toi Léon. Tu es nerveux en ma présence.

Moi : Moi, je suis nerveux ? Violetta je ne suis pas nerveux. J'ai juste peur qu'on se fasse des idées sur notre relation.

Violetta : Pourquoi on se ferait des idées sur notre relation ?

Moi : Je ne sais pas.

Je la regardais. Elle était vraiment magnifique. Elle se mordais la lèvre inférieur sans s'en rendre compte. 0 quoi pouvait elle bien penser encore ?

Moi : Violetta ... Tu te mords la lèvre inférieur... Eh ! Violetta !

Violetta : Quoi ?

Moi : Tu te sens bien ? Tu me dévore des yeux depuis cinq minutes.

Violetta : Oui je me sens bien. Léon, qu'est ce que l'on est l'un pour l'autre ? Je veux dire qu'est ce que tu ressens pour moi ?

Moi : ...

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