Chapitre 1 : Happy birthday Violetta, a new song

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P.D.V. Violetta

Je sortis mon téléphone et répondu précipitamment.

*Conversation téléphonique *

Moi : Allo ?

??? : Violetta...

Moi : Fédérico ? Est-ce que tout va bien ?

Fédérico : A vrai dire... Non...

Moi : Qu'est ce qu'il se passe ?

Fédérico : C'est Léon....

A l'entente de son prénom, mon corps réagit tout seul. Tant de question se bousculait dans ma tête. Si l'aventure de l'année dernière recommençait et que je perdait Léon pour de bon je ne sais pas comment je réagirais. J'ai du mettre un temps avant de répondre car je n'entendais pas mon meilleur ami m'appeler à travers le téléphone. Il du hurler pour me faire revenir.

Fédérico : VIOLETTAAAA .... Tu es la ?

Je fus surprise du ton employé mais tout autant inquiète pour Léon.

Moi : Oui je suis là. Fédérico... dis moi que Léon va bien ?

Fédérico : J'aimerais Violetta. Il est en train de faire un malaise chez moi et te réclame.

*Fin de la conversation téléphonique *

Je lâcha mon téléphone qui tomba au sol. J'entendis juste la voix de mon meilleur ami mais n'y fit plus attention. Je mis une veste et parti en trombe de la maison sans omettre de fermer les portes à la maison. J'arriva chez Fédérico non sans mal cinq minutes plus tard. Les passants ont du me prendre pour une folle mais peut importe pour moi c'est la santé de Léon qui m'importait. Je toqua à la porte de Fédérico mais personne ne vint m'ouvrir. J'essaya donc par moi-même et elle s'ouvrit. Sa négligence le perdra. Je commença à chercher mais tout était sombre et sans bruit. J'avais peur qu'il leur soit arriver quelque chose.

Moi : Léon ? Fédérico ? Vous êtes la ?

Pas de réponse. Cela devenait de plus en plus bizarre. Je chercha a tâtons la lumière lorsqu'une main se posa sur la mienne. Je sursauta avant de me retourner et de voir mon meilleur ami se jeté dans mes bras.

Moi : Triple idiot... Tu m'as fais peur. Ou est Léon ?

Fédérico : Comment va tu Fédérico ? Ca va bien et toi ?

Moi : Ne joue pas l'andouille et dis moi ou est Léon.

Fédérico : Au salon. Viens suis moi.

Je le suivis dans la pénombre. Nous arrivâmes bien tant que mal au salon lorsque soudain les lumières se rallumèrent et les confettis fondirent sur moi. Je vis mes amis et même Léon qui ne faisait aucun malaise et semblait en bonne santé. Mon regard passa de lui à Fédérico avant qu'il ne parle de lui-même.

Fédérico : Le malaise de Léon à été la seule solution que j'ai trouvé pour te faire venir ici.

Moi : Tu peut être plus clair Fédérico ?

Fédérico : Violetta, tu n'as pas oublié quel jour nous sommes aujourd'hui ?

Moi : Nous sommes Mardi. En quoi ça devrait changer quelque chose ?

Il tapa des mains et je me retourna une banderole avec les lettres de joyeux anniversaire était accroché. Un anniversaire, je chercha avant de me souvenir que c'était mon anniversaire aujourd'hui. Comment j'ai fais pour ne pas me rappeler que c'était mon anniversaire ? suis-je si bête que ça. Après tout ce qu'il s'était passé je n'ai pas eu une minute à moi alors voir mes amis me fit chaud au cœur. Je les pris chacun dans mes bras. Ludmilla se jeta littéralement devant moi sans que je ne puisse faire quelque chose. Elle me tendit un cadeau que j'accepta. Je l'ouvris devant elle et tomba en admiration devant la sublime robe que nous avions vu la semaine dernière en faisant les boutiques.

Moi : Tu es folle ? Ludmilla, elle coute une fortune.

Ludmilla : Arrêtes. Je voulais te faire plaisir et je savais exactement ce que tu voulais. J'ai utilisé l'argent de ma mère et je préfère largement faire plaisir à mes proches qu'utiliser à mauvais escient son argent.

Je la remercia et alla essayer la robe. Quelques minutes plus tard, je reviens dans la salle. Tout le monde s'arrêta de parler et me dévisagea.

Je regarda du côté de Léon et ce dernier rougissait à vue d'œil. Mon regard s'arrêta sur lui. Ludmilla le remarqua et me poussa dans ses bras. Léon me rattrapa et regarda Ludmilla avec un regard de remerciement. Son regard implora de l'aide à Fédérico mais ce dernier ne l'aida pas pour autant. Je souris avant qu'il reporte son attention sur moi.

Léon : Je peux savoir ce qui te fais rire ?

Moi : Toi Léon. Tu es nerveux en ma présence.

Léon : Moi nerveux ? Violetta, je ne suis pas nerveux. J'ai juste peur qu'on se fasse des idées sur notre relation.

Moi : Pourquoi on se ferait des idées sur notre relation ?

Léon : Je ne sais pas.

Je me perdis dans ses yeux. Il était magnifique.

Léon : Violetta... Tu te mords la lèvre inférieur.... Eh! Violetta...

Moi : Quoi ?

Léon : Tu te sens bien ? Tu me dévores des yeux depuis cinq minutes.

Moi : Oui je me sens bien. Léon qu'est ce qu'on est l'un pour l'autre ? Je veux dire qu'est ce que tu ressens pour moi ?

Léon : ....

Our story, our battle tome 2Where stories live. Discover now