Chapitre 10 bis: L'affaire

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Sasuke

Quand on m'a tiré dessus, ma vie à complétement changé. Au départ ma seule priorité était mon travail, mais lorsqu'elle est revenue dans ma vie, cette jolie rose au regard pétillant à tout chamboulé. Après ces évènements, la seule chose dont j'ai besoin c'est elle et rien d'autre.

Après un mois de repos forcé, je retourné enfin au travail pour savoir où l'affaire du tueur à l'origami en était. Me revint en mémoire le moment où tout a commencé. J'étais encore lieutenant à ce moment, et je mourais d'envie de faire mes preuves. Le premier meurtre avait eu lieu dans une petite banlieue paisible en périphérie de la ville, la victime était une jeune femme de 26 ans, elle vivait seule, la victime idéale. La scène de crime ne laissait aucun indice, pas d'effraction, aucun ADN, bref pour un flic c'est l'impasse, on l'avait passé au peigne fin mais rien n'était ressorti, la seule chose que l'on avait, c'était un morceau de papier dans la bouche de la victime.

Au fils du temps, les victimes s'accumulaient et la charge de travail aussi, quelconque personne en lien avec la victime était suspecte.

Puis il y a eu cette jeune femme qui a réussi à lui échapper et a eu l'immense chance de tomber sur Sakura et Temari. Et je me suis fait tirer dessus, et le meurtrier et la victime sont morts.

Aujourd'hui c'est le grand jour, je suis enfin de retour. Lorsque je pousse la porte du commissariat, mes collègues sont tous en rang et m'applaudissent, je suis enfin de retour à la maison.

- Sasuke !

- Naruto, arrête de hurler ! Je ne suis pas sourd.

- Mais tu nous as tellement manqué ! S'écrie-t-il.

- Allez Naruto, ajoute Neiji, calme-toi.

- Tu as plein de paperasse sur ton bureau, poursuit Shikamaru. Il va vite falloir se remettre au travail.

- Pour l'instant, je veux tous ceux qui ont bossé sur l'affaire du tueur à l'origami en salle de briefing. Je veux tout savoir.

Ils hochent la tête et se réunissent.

- Shikamaru tu commences.

- Ouais, comme tu le sais, tu l'as touché dans le ventre, mais ça n'a pas suffit à le tuer. Naruto c'est pris une balle dans les côtes mais avec son gilet il a eu la chance d'avoir que quelques contusions. Quand tu t'es retrouvé au sol, et lui en fuite, je n'ai pas hésité à lui courir après. J'ai voulu le prendre vivant mais il a essayé de me tirer dessus alors je n'ai pas eu le choix.

- D'accord. Son identité ?

- Kabuto. Il était orphelin. Il a fait beaucoup de famille d'accueil. Dans l'une d'elle, il y avait des enfants biologiques, dont une qui avait 24 ans. Elle a abusé de lui pendant deux ans avant que les services sociaux ne s'en rendent compte et le place dans un hôpital psychiatrique pour soigner ses séquelles. Il était sous médicament, mais ça va faire sept mois qu'il ne les a pas renouvelés.

- Alors toutes ces femmes, commençais-je, ressemblais à cette fille ? Je ne comprends pas, certaines se ressemblaient serte mais pas toutes.

- Non, mais je pense qu'il retrouvait dans leur comportement, une ressemblance avec cette fille.

- D'accord. Naruto ? Quand est-il de la manière dont il s'y est prise ?

- Il travaillait pour une société de livraison à domicile comme tu le sais. Lorsqu'il rencontrait une victime potentielle, il l'a noté dans un carnet et s'arrangeait pour y retourner une deuxième fois pour faire du repérage, puis une troisième pour agir. Quand on a perquisitionné son domicile on a retrouvé tous ses carnets et notes. Toutes les preuves dont nous avions besoins étaient chez lui.

- Donc on a la confirmation que notre tueur est bien l'homme que l'on a abattu. Je suis soulagé, et en même temps, j'aurais aimé avoir ses explications. Shikamaru, tu peux demander au service de communication de prendre contact avec les journaux ? Nous devons faire une conférence de presse pour annoncer le dénouement de l'histoire. Les gens doivent être au courant que la menace est écartée.

- Oui.

- Maintenant, dit Naruto, tu as de la paperasse, pas de terrain pour toi pour l'instant.

- Oui, soupirais-je, je sais...

Sans plus attendre je fonce dans mon bureau et découvre des tonnes et des tonnes de dossier empilé. Je soupire fortement, tant de papier à signer... 





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Petit chapitre très court pour résumer l'affaire, je ne pensais pas m'étendre plus que ça sur le sujet du tueur. Cette histoire n'était pas très recherché, je souhaitais juste m'éclater à écrire une histoire d'amour entre deux amis qui s'aime depuis toujours. J'espère néanmoins que la lecture de mon histoire vous est agréable. 

Je veux te protégerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant