Ca commence mal

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PVD de Razack

Je n'étais pas bien, ça fait une semaine, je n'ai cessé d'appeler, j'évite de voir Rania ou de lui parler tellement ça me stresse et je n'arrive toujours pas à y croire.

Illan a complètement divisé l'entreprise en plus, il abuse, je n'arrive justement pas à y croire, chacun était dans son coin lors de la réunion du comité, il a annoncé qu'il allait vendre sa part et me laisser la boîte, ça me rend malade.

Je suis sûre d'un truc, rien n'était prévu, je n'aurai jamais pensé que l'on serait comme ça un jour, ça, c'est comme si l'on ne s'était jamais connu, la froideur avec là qu'elle, il me parle.

Mon amitié avec Illan a toujours été bizarre, mais le seul truc qu'il n'a pas compris, c'est que ce n'est pas moi qui ai tout déclencher, mais c'est moi qui perds tout.

Rania c'est la femme que j'aime, je n'aurai jamais pu aimer et respecter plus que cette femme et aujourd'hui sincèrement malgré tout, je ne sais plus où j'en suis et je me pose une seule question c'est si un jour s'il était à ma place, je sais bien que je n'aurai pas réagi comme ça.

Mon téléphone se mit à sonner.

Moi : allô.

Maria : allô Razack cava.

Moi : tranquille et toi ma belle.

Elle : ça va d'ici à quelques jours, c'est l'anniversaire de illan.

Moi : oui.

Elle : j'aimerais lui organiser un dîner, tu pourrais prévenir ses amis et venir aussi.

Moi : oui, tu ne t'inquiètes pas, je ne suis pas sûre de pouvoir venir.

Elle : Razack, je t'attendrai inch'Allah et ne viens pas en retard.

Moi : tu ne comprends pas Maria.

Elle : le truc que je ne comprends pas, c'est que j'ai un époux con et son ami con qui ne veulent pas se parler.

J'entends en bas.

Tu parles à qui ?

Elle : Razack, je te laisse bonne fin de soirée.

PVD de Maria.

Lui : tu te fous de ma gueule, pourquoi tu lui parles.

Moi, déjà, tu ne me cries pas dessus Ibrahima, on n'a pas fait les bancs ensemble.

Lui : bien sûr que l'on ne les a pas faites ensemble, tu oublies que je suis plus âgé que toi, pourquoi tu lui parles.

Moi : je cherchais à savoir comment il allait.

Lui : en quoi cela te concerne-t-elle bébé ?

Moi : Illan.

Lui : j'ai coupé les ponts avec ce mec Jeanne n'insiste même pas.

On sonne à la porte, il se dirige pour ouvrir et je vis une dame et sa fille, la tante qui parlait du drap, entrer avec un énorme sac.

Illan: ma tante ça va.

Elle : très bien alhamdoulilah.

Moi : bonsoir.

Illan: vous faites quoi ici, il est tard.

Elle : je suis venue m'installer avec vous.

Illan commence à rigoler.

Lui : c'est quoi cette connerie ?

Elle pousse Illan et avance avec sa fille pour s'installer sur le canapé waaa ki mo am fit Illan claque la porte, je me dirige vers la cuisine pour leur donner un truc frais.

NÉGOCIATION  ( en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant