Halloween Chez Moi(Terminé)

Chapitre 2

Nous sommes arrivé chez moi et je savais qu'ils seraient étonné mais pas à ce point ;  nous sommes devant l'enclos fait des barres de fer couvertes des verdures, mes amis figés à fixer ou devrais-je dire contempler l'immense manoir peint en grise juste sous leurs yeux.

- Alors on entre ? dis-je.

- Waouh ! Ils ont dû dépenser des milliers des billets tes parents  pour payer toutes ces décorations il y a même une statut effrayante au sommet du toit, dit Rico.

- On appelle ça une gargouille de dragon Rico, dit Caro.

- Moi je suis tout simplement abasourdi ! Désormais on fêtera chaque année halloween chez toi mon frère, dit Leo.

- Ça m'étonnerai, dis-je.

- Quoi ? dit Leo.

- Non rien du tout, finalement on entre ou pas ?  Dans ce cas faisons demi-tour alors,dis-je.

- Non non non, on entre, on entre, dit Caro.

Nous pénétrons la cour puis acheminons dans le salon où se trouve toute ma famille dont :  mon père, ma mère ansique ma petite soeur ;  ils sont impatient de rencontrer mes amis vu que c'est  la toute première fois que j'emmène ceux qui ne sont pas de notre à la maison.

- Bonjour installez-vous s'il vois plaît, dit ma mère.

- Surtout ne soyez gêné en rien, faites comme chez vous tout ce qui vous semble bon à faire, dit mon père.
Ma petite soeur se lève.

- Soyez le bienvenu, dit-elle en s'inclinant.

- Oui soyez le bienvenu dans mon humble demeure !! dis-je.
Je tournois en regardant les murs en les invitant à une visite guidée du salon et de la salle à mangé au passage.

- Le sol n'est pas pavé, dit Leo.

- Oui c'est au cas où nos cousins par alliance viennent nous rendre visite, il faut que le sol soit à découvert, dit ma soeur.

- Tu parles trop soeurette ! dis-je.
- Ils entrent à partir du sol ? dit Rico.

- Et...

- Stop soeurette !  il ne faut pas l'écouter, nous économisons pour bientôt recouvrir le sol,
dis-je.

- Et nos cousins comment fairont-ils pour entrer maintenant? dit ma soeur.

- Tu vas te taire bon sang ! !
dis-je.
Un silence gênant s'installe entre nous.

- Peux-tu venir fiston ? dit ma mère.

Ouf enfin ! Merci mère.

- Vonlontier mère, dis-je.
Nous allons dans la cuisine.

- J'espère qu'ils sont là...pour le dîner.

- Non mère ce sont mes amis.

- Tu sais très bien qu'il ne faut jamais emmener ici ceux qui ne sont pas de notre à moins que...

- À moins que rien mère nous nous étions très bien convenu au téléphone.

- D'accord je cuisinerai les plats des humains.

- Tant mieux.
Elle se remet à ses ustensiles et moi je repars parmi mes invités.

- J'ai besoin d'aller au toilette bouh, dit Rico.

- Viens je t'accompagne, dis-je.

- Bouh !
Tout mes amis sursautes à l'entente de cet appel brusque et assourdissante puis ma soeur et mon père se mettent à rire.

- Ma mère m'appel vraiment au vrai sens du terme je suis désolé pour ce désagrément, dis-je avec un petit sourire amical pour les réconforter.

- Vous vous habituerez, dit ma soeur.

- Je dois y aller, dis-je.

- Et comment je fais pour me retrouver ? dit Rico.

- Viens je t'y emmène, dit ma soeur.
Nous nous levons moi je vais dans la cuisine et eux ils entament le long sentier du couloir.