Chapitre 5

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Je suis dans le couloir avec Caro et elle est très inquiète de la dispuration subite de ses deux amis d'enfance nous cherchons Leo le dernier à avoir appeler Caro et a raccroché au bout d'une demi phrase,  à présent Caro se sent très mal elle crie de toutes ses forces pour entendre la voix de l'un d'eux mais il n'y a rien du tout jusqu'à présent.

- Et si on cherchait chacun de son côté, j'entre dans cette porte et toi dans l'autre, dis-je.

- Oui faisons le c'est une bonne idée, dit Caro.
On entre chacun de son côté.

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PDV DE CARO :

Je suis dans une de chambre de ce manoir et je dois avouer qu'ils ont de goût très étranges, tout ce qui est dans cette pièce est en noir il y a des têtes d'animaux découpées et accrochées sur le mur, le sang à l'air encore fraîche parce qu'elle en coule et j'ai l'impression que les yeux de ses animaux surveillent chacun de mes mouvements mais je suis ici pour mes amis et je ne sortirai pas avant de les avoir retrouver ; je suppose que cette pièce appartient à rouge parce qu'il y a pleins de poupées étalées sur le sol même si ils ont tous été décapités, j'entends un grincement à l'intérieur de la garde-robe de rouge, je m'approche je fais un pas après l'autre subitement je suis envahi par la peur mais je ne m'arrête pourtant pas de marcher, j'avance encore et encore, encore et encore je saisie la poignet, le grincement se répète je lâche le poignet puis recule d'un pas, je reprends mon souffle puis je décide de l'ouvrir.
En l'ouvrant d'un coup sec je ne vois qu'...
Un rideau rouge.

- Ouf ! Plus de peur que de mal, dis-je.

- USTED TENER PENETRAR EN LA CASA DE LOS IJO DE LOS REY USTED TENER SIGNO SU DEJAR DE DE MUERTE

J'entends plusieurs voix prononcer une phrase je reconnais cette langue mais j'en ai oublié le nom.

- Qui êtes-vous ? où sont mes amis s'il vous plaît?! dis-je.

Je tournois en regardant de tout les côtés j'ai l'impression d'être observer mais sans voir la personne, une intuition me pousse sur ce rideau rouge j'avance tout doucement j'ouvre calmement le rideau et il n'y a que de la noirceur brusquement une lumière rouge apparaît et je vois ce que je n'aurai jamais dû voir.
Prise de panique je cours rapidement vers la sortie je referme la porte derrière moi une seconde pour reprendre mon souffle et lorsque je lève ma tête je me rends compte qu'à présent je suis dans un couloir sans fin, ce couloir parrait maintenant si long au point où de chaque côté je ne vois que de l'obscurité au fin fond, je n'ai pas le choix je ne peux plus entrer dans aucune de ces pièces je dois à tout prix retrouver le salon.

- Bouh ! Bouh tu m'entends ? Bouh ! Bouh ! , je cris jusqu'à en perdre le souffle toujours aucune réponse subitement je sens une expiration qui finit sur mon dos sans réfléchir une seule seconde je me mets à courrrir aussi vite que je peux sans regarder en arrière une seule fois, en courant je trébuche puis tombe sur le sol la poussière du sol noir et puant m'entre dans le nez, la bouche et les yeux en temps normal j'aurai fait semblant de vomir mais en ces circonstances je n'ai pas le temps de faire la fière ;  je me relève aussi tôt puis je reprends ma course.
J'ai l'impression d'avoir couru des heures mes muscles sont au plus bat de leur force, je sue tellement qu'on pourrait en fabriquer une rivière de sueur, je n'entends plus rien autour de moi j'ai l'impression que je suis devenu sourde, même respirer me fait du mal à présent, mes jambes ne supportent plus le poids de mon corps et me lâchent, je m'écroule parterre et juste au moment ou mes yeux veulent se fermer me poussant à un repos forcer, je vois une silhouette que je reconnaîtrais sans distinction.
Avec une voix sèche et lente je dis.

- Bouh je suis là.

-....

- Bouh tourne toi s'il te plaît.

- ....

- Bouh c'est moi Caro.

- ....

- Pourquoi ne te retournes-tu pas ?
Sachant qu'il est mon tout dernier espoir de sortir de ce piège à rat je puise au plus profond de moi la toute petite dernière énergie qu'il me reste en me servant de mes mains comme appuis je me lève en me forcant, forçant, forçant et forçant encore je ressens une douleur tellement forte ;  malgré la faiblesse les cris n'est pu se stoppé de jaillir mais malgré cela Bouh ne se retourne toujours pas, j'avance doucement vers lui je lui tiens l'épaule.

- Dans cette pièce j'ai vu des fantômes, des zombies,des momies,des vampires et tout autres sortes des monstres, j'aimerai tellement oublier ce cauchemar, je t'implore de me sauver Bouh, dis-je.

- Je vais t'aider à l'oublier de la manière la plus simple qu'il soit, dit Bouh.
Il se retourne et là je vois une autre façade de lui que je n'aurai jamais cru voir.

- Vous exitez vraiment ?! dis-je.

- Oui très chère Caro, je vous avez prévenu de ne surtout pas venir chez moi mais vous le souhaitez tellement et bien voilà les conséquences.

- Tu es un vempire ?

- C'est évident, non ?
Il est aussi pâle qu'un papier, l'iris jaune, la pupille rouge, du sans coulant sur ses deux canines, ses cheveux devenu noir et long tombant sur ses épaules, la corpulence musclé d'habitude l'est encore plus.

- Tu vas me mordre n'est ce pas ?

- C'est dans mes obligations à chaque Halloween l'un d'entre nous doit ramener des humains pour le dîner, c'était à nos cousins morts-vivants de le faire mais ils n'ont rien trouvé cette année et par chance qui revient avec des invités à la maison ? Moi, imagine la suite.

- Oui pas besoin de me faire un dessin, le dîner c'est nous, c'est décevant parce qu'il y a un instant je pensais qu'il y avait vraiment un petit quelque chose entre nous.

- Et bien c'est dommage.
Il me saisie par la taille, il me colle brusquement à lui, je peux même sentir son coeur battre sous son buste, il ressent le mien aussi, nous nous fixons un instant sans rien dire j'arrive à discerner un petit peu le Bouh sympa et affectueux envers moi que je connaissais à travers son regard.

Réflexion de Bouh : je t'aimais bien  mais les règles sont les règles en plus de ça je suis plus que quiconque dans l'obligation de la respecter ; je pourrai te mordre pour te rendre immortel comme moi mais tu dois mourir.

Il s'approche de mon cou un peu plus à chaque seconde puis subitement...
Il m'embrasse ce baiser est si délicieux, intense, puissant et réconfortant que je me sens retrouver  mes forces en un claquement de doights ça prend une dizaine de secondes ensuite je me fais mordre.
Mon sang est aspiré un peu plus à chaque minute qui passe, je n'essaie pas de me debattre car je sais que je m'étais jeté dans la gueule du loup dès l'instant où j'ai posé mes pieds dans ce manoir, toute la force récupérer se dissipe peu à peu, lorsqu'il finit sa jouissance il me lâche et me laisse heurter le sol, en moins de temps qu'il n'en faut mes yeux se ferment tout doucement pour l'éternité.
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RETOUR À LA RÉALITÉ :

- Eh !!!!!!!!!!
Je me lève en sursaut sur mon lit.

- Mais que-ce-qu'était ce rêve !!?
Jamais je ne ferai de mal à mes amis je les aime même si on est pas du même monde, ni de la même race et moins encore la culture.
Certe nous sommes différents mais nous avons aussi des sentiments , nous savons nous attachés à ceux qu'on aime.
Et nous ne sommes pas des erreurs de la nature et encore moins des créatures infâmes et sans coeur comme le dit tout le monde.

FIN.

                           

Halloween Chez Moi(Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant