-Le labyrinthe
-The 100
-Teen Wolf
-Harry Potter
- Ect...
Voilà donc des petits imagines romantiques sans prise de tête.
Ou alors ce sont des one-shots.
J'ai jamais compris la différence.
Bon au départ, je faisais juste les planches de looks - que...
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Parfait.
Une vrai Poufsouffle.
Quoi que... je jette le serre tête sur mon lit. Là c'est mieux.
-LIAAAAAA, hurle Penny dépêche toi!
Je descend les escaliers quatre à quatre pour éviter de ce dragon qui me serve de meilleure amie me bouffe toute crue.
-J'arrive, j'arrive dis-je en me précipitant vers la salle commune. Je suis laaaaaaaaaa je chantonne en dérapant sur le sol pour marquer mon arrivée fracassante.
Les personnes encore présentes dans la salle me regardent avec un mélange de consternation et de dépit. Oui ils devront me supporter une année de plus.
- Toujours à faire un boucan pas possible, celle là marmonne une voix dans un fauteuil.
- Tiens salut Ced, t'es pas encore descendu?
Il lève la tête et me lance un clin d'oeil.
- On t'attendait.En revanche, il se lève, il faudrait peu être se dépêcher avant que le groupe ne parte sans nous.
- Yes, dis je en me dirigeant d'un pas très énergique vers la porte. C'est partiii! Voyant que personne ne me suis, je me retourne vers mes deux amis qui n'ont pas bougés d'un pouce. Ils me regardent les yeux ronds. Quoi?
- Tu as beaucoup d'énergie pour quelqu'un qui il y a à peine 30 minutes était entrain de nous insulter parce que tout ce que tu voulais c'était dormir, répond Cédric.
- Je ne vous comprendrais sans doute jamais toi et ta bonne humeur qui sortent de nulle part renchérit Penny. Elle lève les yeux au ciel en souriant. Allez on y va.
Et sur ce on prend tous les escaliers pour rejoindre nos amis qui doivent nous attendre dehors.
J'ai hâte, ça fait longtemps que je n'ai pas pique-niqué. De plus, aujourd'hui malgré un temps légèrement froid et sec, un grand soleil réchauffe le château et les collines environnantes.
En effet, lorsque nous débouchons sur l'extérieur, un grand rayon de soleil vient violemment s'abattre sur mon visage, SPLASH me rendant par la même occasion temporairement aveugle. Mon pied heurte alors quelque chose de dur et moi (toujours handicapée) n'a pas d'autre choix que de basculer vers l'avant heurtant le dos de Cédric et l'entrainant par la même occasion dans ma chute.
Aie.
Une fois allongée sur le sol tel un phoque sur la banquise, mes yeux arrivent à reprendre du service. Mon regard croise celui de Cédric juste à coté de moi, lui aussi étendu de tout son long sur l'herbe. Oups.
