57. Couvaison fatale

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Hey !

Voici ma cinquante-septième nouvelle, je te souhaite une bonne lecture !

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Il faudrait mais est-ce seulement possible ? On a l'impression que les humains aiment le conflit, quel qu'il soit. On dirait qui sont avides de combats, comme drogués. La guerre semble glisser dans nos veines et être inscrite noir sur blanc sur notre ADN. Transpirant par les pores de la peau, répandant doutes, vengeances ou uniques pulsions passagères. Chaque humain la couve en lui cette guerre, ces guerres et batailles. Ça fait peur parce qu'on ne peut l'arrêter et qu'on qu'un jour, un jour elle se sera inévitable même si pour le moment elle ne l'est. 

Qui sera-t-on demain ? Serons nous en paix avec cette tension abominable retenue par des idiots à la tête des grandes puissances ? Ou alors nous serons en guerre les uns contre les autres, plus d'alliances ni marchés, chacun pour sa peau avec cette bombe à retardement qui aura pris de l'avance face au temps et qui nous aurait explosé à la figure ?

Même si il faut le faire, on ne peut pas le faire. Même peut-être qu'au fond, on ne sait pas si on veut le faire.

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Voici la citation imposée :

« Faut tuer la guerre dans le ventre de tous les pays. » de Henri Barbusse

J'espère vraiment que tu as apprécié,

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Merci !

Amélie_lys

Défilé de nouvelles / OSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant