C h a p i t r e 1

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Je baisse mon abat-jour face aux  premiers rayons de soleils. Je plisse les yeux face à le lumière matinal plutôt agressive. Le feu qui devient rouge en face de moi me fait ralentir. Ça me laisse justement le temps pour pouvoir mettre mes lunettes de soleil, certes il est environ 8h du matin, mais il n'y a pas de normes qui interdisent les personnes à porté des lunette de soleil hors après midi en été. J'ai à peine le temps de relever mon abat-jour que la radio s'active, annonçant les informations routières, dont les travaux, les dérivations et les accidents de la routes récents. Je l'éteint d'un mouvement en soupirant. J'ai une préférence net pour le calme.

Je redémarre au feu vert et continue mon chemin vers le centre-ville. Les bruits de la ville commence à refaire surface depuis cette nuit. Les claxons resurgissent à travers les différentes rues qui m'entourent, tout comme les insultes qui  jaillissent entre piétons et conducteurs.  Le même tableau que je vois chaque jour, rien d'inhabituel en somme. Arrivant bientôt à mon lieu de travail, je jette rapidement un coup d'œil automatique sur la chemise blanche et la veste que je porte pour voir si je suis irréprochable comme j'en ai l'habitude. J'époussète ensuite d'un geste automatique les pans de veste, mais mon mouvement s'arrête en tombant sur une éclaboussure rouge présente au niveau de mes cotes. Je soupire de manière lasse, c'est ma cinquième chemise que j'abime cette semaine. Je devrais vraiment penser à me diriger vers les vêtements noirs pour éviter d'en jeter une chaque jour, je me remercie tout de même d'avoir toujour des vêtements de rechanges dans ma voiture même si ma veste caches les taches pourpres de ma chemise.

J'en prends note mentalement en poursuivant ma route, de me changer rapidement avant d'arriver à destination.
Au bout de quelques minutes j'arrive en bas d'un gigantesque immeuble. C'est un immeuble de verre comme beaucoup d'autre autours de nous en ville mais rien qui s'y passe n'est aussi transparent que la façade de verre. J'observe sans émotions les ombres de la façade qui sont chassées petit à petit par les couleur chaudes qui annoncent le début de de la journée. Je gare ma voiture devant l'entré ou un quelqu'un m'attend pour pouvoir garer ma voiture dans un endroits désigner au employer, je lui confie mes clés de voiture avant de m'avancer d'une marche calme et assurer vers mon lieu de travail.

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We Are Two SpyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant