We Are Two Spy

C h a p i t r e 3

« Quel mâle ! » Je viens de tomber sur un mec qui est tout à fait mon type, grand, charismatique, avec un air sérieux qui lui donne un air ténébreux et énigmatique, Je me sens frissonner en me disant que peut être tous les hommes ici sont comme ça !
Je me reconcentre ensuite sur se que je suis venue faire ici, une gentille secrétaire m'as poliment souhaiter la bienvenue et m'a invitée à aller au 80ème étages pour recevoir toutes les informations dont j'avais besoins avec un certain Mr.Curst.

Je regarde tout autours de moi pas vraiment étonner de la décoration, vide. Je soupire de manière lasse...
J'ai presque l'impression qu'on pourrais reconnaitre quelqu'un qui à le même travail que nous en fonction de la décoration de son bureau. En même temps ça élimine tout les moyens d'espionnages qu'on pourrait cacher un peu partout. je regarde au dessus de moi, le seul trucs qui pourrait changer avec le blanc et noir ambiants est le lustre noir et dorée qui accroché au dessus de ma tête, il fait dégagé une lumière chaude à l'ambiance plutôt glacante des lieux. J'entends un raclement de gorge qui me fait rabaisser les yeux. Un homme massif se tient devant debout devant son bureau. Sans me sentir géner de m'êtes fait prise dans mes rêveries, je m'approche au son de mes talons claquants sur le sol accorder à ma tenue. Arriver à hauteur de l'homme qui me reçoit en tant que supérieur, je lui tends la main et il me la serre d'une poigne ferme que je répond de la même façons. Je m'assoit à la chaise qui est en fasse de mon interlocuteur et prends le temps de l'observer le doigts entrelacés et les coudes posée fermement sur les accoudoirs de ma chaise.
Il m'observe également d'un regard légèrement amusé, je ne peux m'empêcher d'esquisser un demie sourire. Car je comprends rapidement que malgré son apparences stoïque , inébranlables voir sévère, c'est un homme qui est passionné dans se qu'il fait et je dirais qui se fie particulièrement à son instinctif.
Mr.Curst engage la conversation sans lâcher son léger amusement :
- J'aimerais tout d'abord vous souhaiter la bienvenue au sein de notre société Mme Taylor
- Appelé moi Jessica. Et je vous remercie vous de m'avoir demander mon transfère pour cette major.
Mr.Curst repond :
- C'est normal, tout les meilleurs éléments remontent jusqu'au cerveau de la firme si vous m'en permettez l'expression. Et vous, vous en faites parties.
Il prends le temps de s'installer au fond de son fauteuil en croisant les doigts, naturellement il prends un aor plus serieux se concentrant sur moi, comme si il m'analysait ou qu'il voulait m'analyser :
- Vous êtes connues pour être implacable voir cruelle avec ceux qui se mettent en travers de votre chemin. Une jeune femme qui a toujours réussie ses missions, efficace, très intuitive et forte. Vous êtes un exemple pour la plupart d'entre nous.
Je le remercie d'un hochement de tête respectueux, cependant, je croise instinctivement mes jambes en sentant, que les paroles mielleuses permettent de mieux accepter la suite.
- Mais vous êtes également connus pour ne pas forcement respecter les règles ou les démarches normalement suivit, voir non recommandé.
Je confirme consciente de se qui à du être dit sur moi :
- Je devine qu'on à dit dire à mon sujet que je suis plutôt têtue et que la discrétion n'existe pas vraiment dans mon vocabulaire.
- Je vois que vous êtes parfaitement consciente de vos points négatives. Du coup je me demande pourquoi c-vous n'essayer pas de changer votre façon de faire.
L'homme en fasse de moi avait remis son masque sérieux, sévère et imperturbable . Je me redresse et pose mes coudes sur son bureau les doigts croisés et le fixe de manière direct, qui pourrait surement être pris pour de la confrontation dans d'autre situation :
- Je sais que sur papier j'ai l'air d'une cancre. Celle qui n'écoute jamais les directives, celle qui ne prends rien au sérieux, celle qui ne fait qu'a ça tête et qui se lance tête baissé dans une mission et j'en passe. Mais saché que je n'ai jamais rater une seule de mes missions. Beaucoup pourrait penser que je suis bonne au coup de poker, mais la réaliter est que je laisse très peu de choses au hasard. Les personnes autours de moi n'on jamais vraiment compris pourquoi je suivais mon instinct dans un monde si faux et pourquoi j'innove et expérimente les manières traditionnelles qu'on m'a induite lors de mon apprentissage, mais pour moi le monde à changer, nos ennemis ont changer, nos missions évoluent, donc je ne verrais pas pourquoi la façons de faire d'un agent ne devrait pas évoluer elle aussi.

A la fin de mon petit plaidoyer, Mr.Cust me lance de nouveau avec se regard amusé qu'il avait au début :
- Vous n'avez pas besoins de me prouver que vous avez votre place dans ce métier et encore moins ici parmi les meilleurs Jessica. Sinon vous ne seriez pas là devant moi aujourd'hui. Le fait que je me permet ses reproche, n'ont pas un but de vous faire changer. Au contraire, votre nouvelle vision selon moi permettra de réussir mieux voir beaucoup mieux qu'avant. Il faut juste que vous appreniez à faire profils bas dans un premier temps sans pour autant renier votre façon de faire, dans les limites du possible évidemment.

J'acquièce d'une certaine façon soulager mais voyant toujour flou dans son objectif, il poursuit donc :
- C'est pour cela que j'ai proposée à nos supérieur après un rapide exposé de se que je pense de vous honnètement, de vous mettre avec un partenaire.
Je grimace, pas du tout convaincus par cette proposition :
- avec tout le respect que je vous dois, je travail toujours seule.
L'homme en face de moi remet son masque impassible et réponds presque froidement :
- Nous sommes au courant de vos habitudes, mais nous savons également que vous êtes intelligente et que vous savez très bien ou sont vos interêts parmi nous :
En traduction soit j'accepte soit c'est signe que je m'oppose à l'autorité à ceux qui m'ont offert ce travail, et ça finira forcement mal pour moi. Je soupire, en me disant que ça ne seras peut être pas quelqu'un de trop ennuyant au moins. Face à mon supérieur qui c'est relevé je l'imite avant de lui serrer la main.
- Merci pour votre compréhension. Vous avez fait le bon choix.
Je rétorque avec une ironie non dissimulé :
- Je crois que c'était surtout le seul choix. Il sourit d'une manière que je ne pourrais pas définir si c'est avec sincérité ou non. Je le salue d'un dernier mouvement de tête avant de m'éloigner en direction de l'ascenseur.

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