Pardonnez mes péchés | Kuroro

32. 𝐜𝐚𝐩𝐭𝐮𝐫𝐚 偉ロ扱

Nous étions maintenant tous les trois, Phinks, Pakunoda et moi, cachés dans un batiment où nous voyons Machi et Nobunaga attendre quelque chose au centre de la cours. On dirait une invitation, Phinks appelle l'homme aux cheveux noirs et lui demande ce qu'ils fabriquent. Nous avions repéré les deux jeunes garçons qui les suivaient, je les reconnu tout de suite, mine de rien je dis à mes deux camarades que je resterai caché pour vous filer encore. Grâce à cette stratégie les deux garçons ne me verrons pas et en plus je peux de nouveau surveiller si d'autres utilisateurs du Zetsu tentent de venir en aide à Gon et Kirua. Dès qu'ils étaient montés je les suivis, la voiture roulait jusqu'au repaire. Les immeubles abandonnés et détruis avaient une certaine similitude avec notre chez nous, à l'Etoile Filante. La journée était passée si vite, je me dépêche de passer de l'autre côté, je suis toujours en Zetsu et seulement Paku et Phinks savent pour moi. De l'autre côté des immeubles se trouvaient un cimetière, les corbeaux y habitaient. Je me dépêche de sauter par dessus le garde-corps du balcon et entre dans le repaire. Je me cache derrière un rocher, je pouvais voir tous les membres assis sur de vieilles boites en cartons, c'est vrai que Hisoka n'était pas au courant de leur venue, j'espère que ses enfants ne vont rien dire. Le garçon en vert s'arrête et dit : « AH ! La poisse !

- Qu'est-ce qu'il y a ? demande Nobunaga, tu as reconnu quelqu'un ? Je me frappe le front, il va faire tout capoter, malgré que je sois en Zetsu je pense que certains ont vite compris que la présence qui se cachait quelque part n'était autre que moi, c'est sûrement pour ça qu'ils n'ont encore rien dit.

- Oh cette fille là-bas, intervient l'enfant aux cheveux blancs, je me souviens d'elle !

- Tiens tu les as déjà rencontré Shizuku ? demande Phinks surpris, bien joué comme ça ils ne diront rien sur Hisoka.

- Mais non il dit n'importe quoi, s'agace Shizuku qui était entrain de lire.

- Mais si, ajoute Feitan, je les reconnais c'est les gamins du bras de fer !

- Je ne vois pas de quoi tu parles, continue Shizuku niant les avoir déjà vu.

- Tu as perdu contre lui au bras de fer, explique Franklin en montrant Gon, tu t'étais super en colère quand il t'a battu.

- QUOI ? cri la femme à lunette, tu es fou ! Moi perdre contre un gamin ? Mais ça va pas la tête !

- N'insiste pas quand elle oublie quelque chose c'est pour de bon, conclut le tortionnaire avant que Franklin ne s'excuse auprès de Shizuku, abandonnant le fait de lui remémorer quoique ce soit. »

Nobunaga fidèle à ses principes propose un défi à Gon. Une partie de bras de fer s'entame où l'homme gagne à chaque fois. J'observe la scène de loin, Gon avait la main en sang et son ami l'observait sans bouger car Hisoka lui avait placé une carte sur le cou. C'est entrain de dégénérer, l'homme au chignon prend la parole : « Le plus fort au bras de fer c'était jusqu'à présent un homme s'appelant Uvô, il avait une force hors du commun, mais le type à la chaine la liquidé, tu comprends donc l'intérêt qu'il représente ? Uvô avec le type de Nen du renforcement, mais du genre très pointilleux sur les horaires, il se bagarrait souvent avec Franklin et moi à cause de nos retards répétés mais au bout du compte moi aussi il m'énervait avec ses remarques, Franklin ainsi que les autres regardait Nobu, doucement leurs souvenirs concernant Uvôguin remontaient à la surface, même moi je pouvais ressentir la peine qui était au fond de leurs cœurs et j'ai eu la confirmation quand je vois Nobunaga pleurer, c'est moi qui le connaissait le mieux depuis les tout débuts de la Brigade, il grogne, ce type n'aurait pas pu tuer Uvô sans lui avoir tendu un piège, c'est la seule explication et ça jamais je ne lui pardonnerai ! Le type à la chaine nous déteste plus que tout, il s'est fait engager dans le clan Nostrad on le sait et tu le sais ! Alors inutile de jouer à ce petit jeu plus longtemps !