Tes yeux,
Ce sont la plus belle chose qu'il m'ai été donné de voir.Grâce à tes yeux, je n'avais pas besoin de lire tes lèvres, pas besoin de regarder le fruit défendu.
Aucune chance que je puisse succomber à tes chaires couleur cerises qui m'appelaient, j'en étais sûr.
C'est une chance comme une malchance qui cause aujourd'hui mon deuxième plus grand malheur.
Ne pas avoir assembler mes lèvres aux tiennes, je regrette tellement.
J'aurais tellement aimé voir à quoi ressembleraient tes yeux si j'osais franchir le pas.J'aurais été le seul à avoir pu savoir tout de ton âme si ce moment c'était passé, si j'avais osé.
Oui, le seul car seul moi peut lire dans tes yeux ce que tes lèvres disent, mais aussi ce quelles ne peuvent dire.
Elles n'auraient pu s'exprimer sous ce doux toucher, n'aurais pu me dire ce que tu ressentirais mais je l'aurais quand même sû, grâce à ces perles. À tes perles. La raison de mon bonheur et de ma peine.
Tes yeux reflétaient chaque parole que tu disais.
J'étais capable d'y lire chaque émotion, chaque mot, chaque syllabe que tu prononçais avec tes douces lèvres.
Tes yeux parlaient à la place de tes mots.
Je n'avais pas besoin de comprendre ce que tu disais, tes yeux me le disaient à leur façon.
Je pouvais savoir tout ce que je voulais savoir sur toi.
Je savais reconnaitre cette étincelle de joie, d'excitation et celle de l'amusement.
Je pouvais distinguer la cause de tes peines, de tes colères et de tes tourments.J'entendais tes yeux bien plus que ta voix.
Je ne me rappelle plus, ou presque, de ta voix, de ton rire, de tes tiques de language.
Je me rappelle juste de l'histoire que tes yeux me lisaient.Tes yeux parlaient bien plus que tu ne le pensais.
Nos longues conversations téléphonique, les soirs de pluie, n'avaient aucun sens pour moi.
Aucune couleur, aucun charme.Je t'écoutais sans entendre.
Je répondais sans comprendre.
J'étais chez moi, de l'autre côté du téléphone et pourtant mon âme était dehors, sous la pluie battante.Tout ça parce que je ne pouvais voir tes yeux éclatants.
Parce que sans tes yeux, je suis incapable de vivre à tes côtés.
Que tu sois à des kilomètres ou bien à 10 centimètres, si je ne peux voir tes yeux, ma vie n'a plus de sens.Quand tes yeux ne sont plus dans mon champs de vision, je n'ai plus de raison de faire attention au monde.
A quoi bon puisque je ne peux voir la seule chose qui est capable de me lier à toi.
J'en ai manqué des conversations, des rires, des pleurs.
J'ai manqué tout ces moments car tes yeux n'étaient pas là pour me raconter. N'étaient pas là pour me dire, pour me chanter et me d'écrire les scènes.
Mais depuis ce jour, mon monde s'est effondré.
Un tremblement de terre m'a fait oublier presque tout de tes yeux, la seule chose qui pouvait me parler et me lier à toi.
Cette catastrophe à anéanti ce qui m'était de plus cher, toi et tes yeux.
Je n'ai plus rien.
Je n'aurais pas dû te regarder ce jour là.
Je n'aurais pas dû assister à cette scène.
Pour une fois dans ma vie, dans ta vie, enfin, si on peut dire ça, j'aurais dû m'abstenir de regarder le fruit défendu. M'abstenir de regarder tes prunneles.Tout s'est brisé à l'intérieur de moi.
Je suis vivant pour l'humanité mais je ne suis que chair au fond.
Mon âme à rejoin tes yeux, tout la haut.J'étais avare de tes yeux. Je voulais pouvoir voir toutes leurs facettes sans exception.
J'aurais dû me garder de ce souhait.
Si je n'avais pas prié chaque soir pour pouvoir connaître tout de toi, de tes magnifiques émeraude, je n'aurais pas vu ce vide.
Ce jour là ils étaient si vides, si froids, si absents.
Depuis, je ne me souviens que de cette vision : le vide.
Ce jour là, tes yeux parlaient pour ton âme, une dernière fois encore.
Et ça ne me plaît pas du tout, non.
Je n'arrive plus à m'endormir grâce à tes yeux rieurs.
Je ne me lève plus avec tes yeux téméraires.
Je ne passe plus une journée avec tes yeux verts.
Seulement avec tes yeux vides...
Je ne veux plus continuer ces journées si tristes.
Je ne veux plus continuer ces journées grises.
Si je n'arrive plus à parler avec tes yeux verts, alors que tes yeux vides m'emportent.Je ne peux vivre sans que tes yeux me parlent.
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A Soul, My Soul
RandomJuste un recueil de (plutôt courts) textes que j'écris quand l'envie m'en prend, quand les muses viennent à moi. Qui sait si ces textes seront tristes ou bien joyeux, seul l'humeur nous le dira. Qui sait s'il y aura de nouveaux textes régulièrement...