Mort À L'empire! [The Elder Scrolls V : Skyrim]

Prologue: Au revoir Cyrodiil.

Le froid mordant de bruma et de l'air lourd de l'altitude refroidissaient mes poumons. Les rues étaient animés et le bruit de l'acier travaillé résonnait en ces lieux hivernaux. Mes yeux contemplaient le bâtiment abandonné qui appartenait anciennement à la déchue guilde des mages, rappelant autrefois une époque hantise et incurie. Je voulais bien me souvenir des lieux, mon enfance a longer ces mur de pierre et a contourner les gardes. Une belle époque qui inspire que nostalgie et consolation. Ma cape de fourrure d'ours brun qui me recouvrait, coupait les bourrasques de vent enneiger.

« Ma fille!» S'exclamait mon père derrière moi en me sortant de ma rêverie.

Je me retournais un sourire aux lèvres pour y voir mes parents qui venaient de sortir de leurs modeste maisons nordique en bois massif. Ma mère s'approchait de moi pour me prendre dans ses bras, une expression de tristesse au visage. Ses cheveux blond ondulés sentaient la douce lavande, une odeur qui me fera rappeler pour toujours cet instant précis. Cette dernière ne portait pas sa puissante armure en acier nordique, les derniers vestiges de son ancienne vie de mercenaire. Mon paternel me serrait à son tour dans une étreinte qui inspirait son inquiétude.

« Que j'aurais aimé te garder près de moi pour toujours... Disait-elle avec nostalgie, "tu as grandis tellement vite."

« Vous allez me manquer également...» Disais-je en les serrant fort contre moi.

« Partir à l'aventure pendant ces-temps troubler est plus dangereux que jamais.» Commençait mon père avec sa voix grave et profonde, "promets-nous de faire attention."

« Ne vous inquiétez pas père, vous avez été un très bon professeur je saurai faire preuve de vigilance.» Disais-je en reculant tout en hochant doucement la tête, le regardant dans les yeux.

Ma mère lâcha un long soupir, toujours bercé par l'inquiétude, ses doigts virent replacer ma cape qui était de travers.

« Bordeciel ne pourrait pas attendre? Les habitants sont en guerre, des légions impériales observent de près les entrées et sortis des frontières.» Me disait celle-ci incertaine.

« Je dois voir certaine chose de mes propre yeux.» Expliquais-je, "et puis grand-mère et grand-père seraient heureux que je leurs rendent visite..."

Mes mots on fait éclaté de rire mon père de bon cœur, il appréciait ma volonté de fer. Il me disait dans ma jeunesse que je possédais la même âme courageuse que l'héroïne qui a sauvé Cyrodiil de la crise d'Oblivion, notre ancêtre directe. Une impériale au passé bien mystérieux.

« Ulflia, notre fille est une vraie tête de mule...» Déclarait-il en riant. "Tes tentatives de persuasion sont erronés."

« J'aurais essayée...» Soupirait cette dernière avant de m'adresser un chaleureux sourire.

« Je suivrais le vent du nord et les étoiles brilleront sur mon chemin...»