Chapitre 1

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{point de vue Sergio}

Je récupère l'antenne et découvre que nous sommes embourbé dans la terre.

Moi : « Faut qu'on sorte de là ! Conduis je vais pousser! »

Je pousse de toutes mes forces.

...: « Oh! Papa! Papa! C'est le professeur ! »

Je me retourne, nous voila attraper. Putain.

Des gens arrivent et me regardent. Raquel arrive.

Mec : « Et l'inspectrice  ! »

Moi : « effectivement je suis... je suis le professeur, et... l'inspec.... »

Raquel : « Lisbonne. »

Mec 2 : « On a pas vu passer votre ballon par ici! »

Mec 1 : « Non! »

Mec 3 : « vous voulez un coup de main ? »

Moi : « Si ça ne vous dérange pas... on en aurait besoin... on vous donnera de l'argent...»

Mec 3 : « aller ! On pousse! »

Moi : « Raquel, vas conduire s'il te plaît ! »

Je pousse à l'aide des autres. Une sirène de police retentit, je tourne la tête.

Moi : « Des flics! »

Mec 3 : « Montez dans le camping car! Vite ! »

Je monte vite, je rejoins Raquel dans le camping car.

Moi : « Raquel vite dans les toilettes! »

Nous nous cachons dedans. Je l'attrape contre moi.
{point de vue Raquel}

Je serre la chemise de Sergio et plonge ma tête dans son torse, nous entendons quand le policier monte dans le camping-car.

Sergio caresse mes cheveux et colle son front contre le mien. Je me sens nauséeuse. Non mon bébé... pas maintenant... s'il te plaît...
Sergio a compris que je me sentais mal.

Sergio : « Raquel... s'il te plaît... essaye de te retenir... »
Dit-il à voix basse, presque sourde.

Le policier ressort assez vite. Je soupire. Le policier aide les paysans à nous sortir de là. Une fois celui-ci partit, Sergio et moi descendons. Nous donnons de l'argent aux gens afin de les remercier. Une dame nous donne à manger. Nous repartons ensuite sur la route. Marseille nous appelle.

Moi : « Oui Marseille ? »

Marseille : « Ils ont un camion de citerne. Ils placent des tubes dans les ventilations. »

Moi : « Autre chose? »

Marseille : « Non c'est tout. »

Moi : « D'accord merci. »

Je raccroche et annonce la nouvelle à Sergio.

Moi : « Du gaz anesthésiant. Sûrement de l'halothane. Connaissant Sierra elle va faire comme Poutine au théâtre de Moscou. »

Sergio : « On est à combien du lieu d'échange ? »

Moi : « 12 kilomètres. »

Nous arrivons sur le lieu où nous planquons une ambulance. Je branche tout.

Moi : « On est connecté ! »

Sergio : « Palerme ?! Berlin?! Vous me recevez?! »

Aucun signal. Putain.

Sergio : « Berlin?! Palerme ?! Putain ?! »

Tokyo : « Professeur ?! C'est Tokyo! »

Sergio : « Du gaz anesthésiant ! Ils nous attaquent comme ça ! Ils vont passer par les toilettes ! Prévient les autres! Aller ! »

Tokyo : « Entendu! Je vais les prévenir.

{point de vue Palerme}

Moi : « La police va entrer! Vous savez ce que ça signifie ! »
Dis-je en m'adressant à toute la bande debout devant moi.

Andres : « Il ne reste qu'une solution : utiliser la violence pour les dissuader ! »

Tokyo : « Quoi? »

Andres : « Au premier blindé qui débarque, on les mitrailles, on les bombardes ! »

Andres et moi tirons deux grosses couvertures laissant montrer tout outils que nous avons besoin : missiles, bazooka, grenade, fumigènes, mitraillettes et tout autres armes.

Moi : « Croyez-moi, nous n'aurons pas besoin de faire ça. Dès qu'ils verront nos armes, ils se replieront ! »

Tokyo : « ce sont les ordres du professeur ?! »

Tokyo se tourne et regarde les autres.

Tokyo : « Vous êtes sérieux ?! Vous allez pas les écouter ?! Ça enverrait quel message aux gens qui nous soutiennent dehors ?! On est entrés ici en larguant des billets! Pas des bombes merde! Le professeur ne donnerai jamais cet ordre ! Lui, il gagnerait du temps! »

Moi : « Tiens dont la reine de la gâchette qui se met à vouloir jouer la montre maintenant ! »

Andres : « ILS VONT NOUS FAIRE EXPLOSER AU NAPALM ! PUTAIN MAIS QU'EST CE QU'IL VOUS PREND ? MAGNEZ VOUS BORDEL RESTEZ PAS PLANTER LÀ ! »

Nous prenons chacun une arme.

Nairobi : « Tokyo... je suis désolée, mais là, c'est la vie de nous tous qui est en jeu. »

Tokyo : « Nairobi. Tu vas pas suivre leurs ordres? Ce n'est pas parce que tu es avec ce taré de Berlin que tu vas devenir comme lui? »

Nairobi : « Berlin a raison ! Palerme aussi! Si on agis pas, on crève tous. Je suis désolée mais c'est comme ça ! »

Moi : « Aller Tokyo.. s'il te plaît. »
Dis-je en lui tapant sur l'épaule.

{point de vue Andres}

Moi : « ON A PAS TOUTE LA JOURNÉE ! GROUILLEZ-VOUS! »

Je m'approche de Tokyo.

Moi : « arrêtes ton Cinéma est emmène toi. Ta seule amie maintenant, c'est ton arme. Aller! »

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~Days Like This~ {TOME2} SERQUEL/LCDPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant