Pour l'humanité ( Livaï x Reader )

Chapitre 5

PDV [t/p] :

Je ne peux pas lui dire que je veux savoir se que ça fait d'avoir un temps soi peu de vie sociale mon amour propre en prendrait un coup. Se serait humiliant, je tourne légèrement la tête vers le caporal-chef est c'est avec étonnement que je constate qu'il a eu le même réflexe que moi. Quand au boue de quelques secondes le choque part c'est l'amusement et la moquerie qui le remplace et une remarque sanglante ne peut s'empêcher de passer la barrière de mes lèvres.

- Eh bien caporal, il semblerait que quelque chose vous perturbe.

Mon aire narquois l'énerva et il lâcha son légendaire "tch" avant de me dire de dégager très gentiment bien évidemment. Mais avant de partir je lui lança moqueuse:

- Vous savez j'ai remarquer que votre "tch" sert à pallier votre manque de répartie.

- Dehors!

Je quitta son bureau non sans lâcher un rire plus que moqueur, se qu'il me fait rire. Sans le vouloir mais il me fait rire quand même.

Tiens? Sans même m'en rendre compte j'ai rit. Voilà pourtant 3 ans que je n'avais rie ni éprouver un sentiment de joie.

Fascinant.

Il a en une journée à peine réussi là ou personne d'autre n'avait réussi en trois ans, Me faire ressentir de la joie, me faire rire et sourire. Je ne veut pas que ça s'arrête.

C'est décider, je veux rester au près du Caporal, peut importe la façon dont je le serai.

Ma réflexion fus couper par l'arriver d'une orde de fille.

- [t/ppppp] TU METTRAS QUOI SE SOIR?!

- Ce soir?

- Oui pour la fête de bienvenue aux nouvels recrus.

- Je ne pense pas y aller.

- Mais enfin! il faut que tu y aille! C'est peut être la dernière fête où tu iras de ta vie!

- De toute façon je n'ai rien à me mettre.

Me croyant sortie d'affaire je fis un pas vers la direction opposer à celle de ces drôles d'énergumènes mais Hanji me retint avec une sourire diabolique sur le visage. Je le sens mal..

- Ne t'inquiet pas pour ça j'ai prévue le coups.. Hihi

Et c'est ainsi que je me retrouve devant 10 robes à n'en plus finir.. Quel vie de merde. Je haie les robes..!

Mais finalement j'opta pour une robe mousline rouge à fine bretelles avec un décolté plongeant et un dos nus en triangle. La robe va jusqu'à mes chevilles et à une fente partant du haut de la cuisse jusqu'en bas. Enfin, je dis que J'AI opté mais se sont plus les filles qui se son fait plaisir à me prendre pour un mannequin. Mais ça me va, sexy mais simple, J'aime bien.

Mais apparemment se n'est pas fini puisque les robes autrefois étaler laisse place au bijoux. Et je n'est encore une fois pas mon mots à dire mais se n'est pas plus mal puisque si ça ne tenait qu'a moi je viendrais même pas. Bref, elle m'on mit un collier en or qui retombe juste au dessus d'entre mes seins et tombe aussi derrière, dans mon dos. Elle m'on ensuite littéralement mit la bague au doigt, et non pas à l'annulaire gauche mais au droit.

Ellipse préparation des filles, jusqu'à l'arriver devant la porte du réfectoire (lieux de la fête):

Me voilà devant cette porte, habiller comme jamais en portant pour la première fois de ma vie des talons haut, de couleur noir. Etrangement c'est assez plaisant de me voir aussi belle, car oui vu se que j'ai vu je pense pouvoir avoir la prétention de m'autoproclamer belle.

On passa la porte et un monde s'offre à moi! Il y à ceux qui sont déjà bourré alors que la fête vient tout juste de commencer, ceux qui danse comme des dérater ou bien même ceux qui tante visiblement de s'accoupler avec tout se qui est féminin, comme une chaise par exemple.

Beaucoup de regards se tournèrent vers nous, dont celui du caporal. Tiens il est là lui? D'ailleurs c'est moi ou il me fixe?

M'enfin je me dirige vers le bars improviser et me servit un vers de la première bouteille que je vie.

Mmh, pas trop mal. Après avoir fini ce verre je m'en resservit un, et encore un, et encore un, un de plus

**

La lumière de soleil me réveille et un grognement peu gracieux sortie de ma bouche à cause d'un horrible mal de crane et étrangement une légère douleur entre mes jambes. J'essaye de me souvenir de la veille et du pourquoi du comment de mon état mais Black out.

Soudain je me rendit compte que j'étais nus dans un lit, pas dans ma chambre, mais surtout ACCOMPAGNER!

Je fus sous le choque de découvrir le caporal et alors les seule mots qui purent sortir de ma bouche furent;

- Eh merde.