The Human Among Us - Tome 1 (The Wolf Among Us)

Tome 1 - Chapitre 8 : Des menaces inquiétantes

AVERTISSEMENT : Ce chapitre contient un Lemon (pour ceux qui ne savent pas c'est quoi : c'est qu'il y a des scènes sexuelles, soit 18 ans et plus). Ceci était un avertissement pour éviter de choquer mes lecteurs. Vous pourrez lire normalement l'histoire avant et après les bouts où j'ai identifié la scène sexuelle.

Je suis descendue de l'appartement de Bigby. Ça faisait un bout que j'attendais ma prime. J'espérais qu'elle soit arrivée. Bigby n'était pas là, lorsque je me suis réveillée. Je me suis alors dite qu'il devait être allé au poste de police, pour remplir un peu de paperasse. après tout, c'était le chef de la ville. Lorsque j'arrivai près de ma boîte au lettre, mon cher agent de sécurité m'interpella.

- Tiens, ça faisait un bail vous, dites donc !

- Oui. Disons que les derniers jours ont été assez mouvementés, lui dis-je en lui montrant mon poignet.

J'ouvris alors ma petite case et j'aperçus la lettre que j'attendais depuis mon arrivée en ville. Elle y était avec d'autres petites annonces. Il faut dire que je portais bien plus mon attention sur ma prime de bourse que sur les annonces de Fast Food et autres. Je vis que, par la même occasion, j'eus reçu mon chèque de paye du Trip Trap. J'allais pouvoir faire une pierre d'un coup à la banque. Je me dirigeai dans l'ascenseur, afin de remonter à l'appartement. J'allai me changer et décidai d'aller à la banque pour faire changer mon chèque.

- Colin, tu peux dire à Bigby que je vais revenir, si jamais il revient avant que je ne revienne ?

- Pas de soucis. Tu vas où ?

- Faire changer ces jolis petits chèques.

- Sois prudente... Je ne sais même pas si Bigby va aimer le fait que tu sois partie de l'appartement.

- T'en fait pas, ça ne sera pas trop long.

Lorsque je vins pour sortir de l'appartement, Bigby était justement derrière la porte. J'eus lâchai un cri, quand j'eus ouvert la porte.

- On allait quelque part, jeune demoiselle ?

- Oui. La jeune demoiselle allait faire changer ses chèques qu'elle a reçus par la poste.

- Je ne veux pas que tu sortes sans être accompagné par moi.

- Il fait jour !

Bigby croisa ses bras, en me regardant. Décidément, il fallait que je sois accompagnée d'un adulte malgré tout...

Après avoir été passé par la banque, y avoir déposé l'argent en m'ayant fait un compte bancaire, Bigby me dit qu'il avait une petite surprise pour moi.

- C'est pour ça que tu voulais que je t'attende pour sortir, hein ?, dis-je, lorsque nous sortîmes de la banque.

- Oui, mais j'étais sérieux aussi : je veux que tu m'attendes, si jamais tu veux sortir de l'appartement.

- Et si jamais tu devais aller d'urgence à ton travail ? Et si jamais je suis seule à l'appartement et que Bloody Mary arrive ? Je ne pourrai pas t'attendre afin de sauver ma peau.

Il n'osa même pas imaginer ce que je venais de dire. Je fis alors comme si je n'avais rien dit. Nous marchâmes sur le trottoir jusqu'à arriver à un hôtel nommé " The Open Arms Hotel ". Nous y entrâmes et il en profita pour s'allumer une cigarette. L'hôtel n'avait pas l'air d'un hôtel cinq étoiles, si seulement on lui avait donné une étoile. Bigby sonna la petite clochette qu'il y avait près du bord de l'accueil. On aurait dit un stand de guichet qui donne des billets, comme au cinéma ou durant les fêtes foraines. Une dame avança.