Un étincelle.

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Julie : Oh oui excellente idée, nous pourrions aller près du lac ou j'allais me baigner plus jeune.

*****
??? : Ma petite patate d'amour ! Viens embrasser ta maman.

Tout en me prenant dans ses bras, ma mère me signifie à quel point j'ai pu lui manquer, elle a toujours été très démonstratif et affectueuse.

Julie : C'est bon de te revoir aussi Maman, je te présente Adam.

Maman : Oh mon dieux, c'est le fameux Adam, mon coeur pourrai lâcher à la vu d'un si beau jeune homme.

L'anglais de ma mère n'est pas parfait, mais il semblerait que mon beau blond l'a comprenne.

Adam : Enchanté de vous rencontrer Madame.

Adam lui tend la main pour la saluer.

Adam : Merci de m'accueillir.

Maman : Je t'en pris, fais comme chez toi.
Je t'ai préparer la plus belle chambre, et des cookies chocolat raisins, Julie m'a dit que c'était tes préférés.

Adam : C'est réellement adorable de votre part.

Nous nous installons autour d'une des tables du restaurant, encore vide avant le grand rush de ce soir.

Maman : Alors dites moi tout sur votre rencontre et surtout comment est apparue cette étincelle.

Avec Adam nous nous regardons, ne sachant pas quoi répondre, je laisse mon acolyte répondre.

Adam : Euh...

Je me rend compte que lui aussi ne sais quoi répondre.

Julie : Nous étions amis, puis nous sommes tombés amoureux. L'étincelle est venue progressivement. On s'est rencontrés à une soirée, ce n'était pas vraiment le coup de foudre.

Adam ne peut s'empêcher de rire dans ces moustaches. Et marmonne .

Adam : Pas exactement. Avec le temps, les sentiments se sont doucement installés.

Je m'en veux énormément de mentir aussi honteusement à mes parents.

Maman : Ça me fais pensé à ton père et moi. Vous êtes trop mignons.

Julie : Merci maman. Je sais qu'il y a beaucoup de travail au restaurant et avec les chambres avant l'inauguration officiel, mais j'aimerai que tu nous accorde une journée ou je ferai visiter la ville et les alentours à Adam avant de nous y mettre.

Maman : Mais bien sur pour quel genre de tortionnaire vous me prenez, amusez vous bien, profitez du soleil. D'ailleurs je vous ai préparé de quoi pique-niquer.

Adam : Je me disais bien que ça sentais bon. Ca doit être votre bonne cuisine.

Maman : N'essaie t'il pas de me charmer, je l'aime déjà.

*****

Julie : Adam c'est déjà ton 8ème gâteau. Comment tu peux avoir encore faim avec tout se que l'on a déjà mangé.

Adam : Je ne peux m'en empêcher la cuisine de ta mère est si délicieuse.

Julie : Elle adorerait entendre ça.

Allongé sur un plaid au bord du lac à profiter du beau temps, je me sens bien et heureuse de partager ce moment avec mon beau Adam.

Adam : Ma mère n'a jamais cuisiné à la maison, on a toujours pris à emporter.

Julie : Vois les choses du bon côté, pas de cuisine, pas de vaisselles à laver.

Adam : Mais ça aurai été bien de cuisiner de temps en temps... En tout cas, cette journée à été magnifique à tes côtés. Je ne pensais pas dire ça un jours, mais la Sarthe est le meilleur endroit sur terre.

Julie : Je suis surprise, tu as visiter casiment tout le globe. C'est tellement différent de New York.

Adam : Je pense que c'est pour ça que j'aime autant ce lieu. C'est comme une bouffer d'air pur, tout comme toi.

Je ne peux m'empêcher de devenir écarlate, à sa révélation.

Adam : Il ne me manque qu'une seule chose pour que cette journée soit parfaite.

Julie : Qu'est ce que c'est ?

Il me regarde droit dans les yeux, je me sens comme emporté par son regard hypnotique. Sans me lâcher du regard il répond.

Adam : Un baiser !

Au moment où je m'apretai à lui offrir son baiser, en ayant autant envie que lui, une ombre apparait sur nous, par réflexe je lève ma tête pour apercevoir se qui nous gène. Qu'elle n'est pas ma surprise d'apercevoir mon père.

Papa : Alors comme ça ma fille est de retour et elle ne vient même pas saluer son vieux père.

À cette simple phrase Adam se relève en sursaut tout penaud sûrement d'avoir essayé d'embrasser sa fille.

Tellement heureuse de le voir, je m'empresse également de me lever et de sauter au cou de mon papounet.

Julie : Tu étais sortie, alors j'en ai profité pour montrer la ville à Adam.

Mon père jette un oeil à Adam, sûrement pour le déstabiliser. C'est son hobby favori de faire fuire les garçons qui m'entourent. Mais mon beau blond n'est pas du genre à être intimidé. Il salut mon père d'un signe de tête.

Adam : C'est un magnifique établissement que vous avez Monsieur, enchanté de vous rencontrer.

Mon père le juge de la tête aux pieds et répond enfin, en tendant également sa main en direction du beau blond.

Papa : C'est un plaisir de te rencontrer.

Papa : Notre Julie nous a vraiment surpris en nous annonçant qu'elle venait accompagné d'un jeune homme...

Mon père prend une pause tout en scrutant mon beau américain.

Papa : Quoi qu'il en soit, ce soir nous organisons un feu de bois avec grillades, nous attendons quelques amis, ne tardez pas pour rentrer.

Nous regardons tout deux mon père s'éloigner, en direction de sa moto.

Adam : Ouf, ça c'est pas si mal passé.

Je ne peux m'empêcher de rire intérieurement, Adam doit s'imaginer que mon père est un homme dominant sur sa fille, alors que ce n'est qu'une image qu'il se donne, pour s'amuser. Je décide de jouer à son jeu.

Julie : Attend, il ne t'a pas encore mis à l'épreuve.

En voyant le beau blond blémir, je ne peux m'empêcher de rire aux éclats, et celui ci comprend très vite que je me joue der lui.

Julie : Plus sérieusement, je suis désolé, ce n'est que partie remise demain soir nous pourrons être tranquille tout les deux.

Je lui lance un regard plein de sous entendus et de promesses.













Avant Les Pleurs.  (Adam)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant