"Si on m'avait dit un jour que je vivrais une apocalypse, je n'y aurais jamais cru. Il est vrai que je m'y préparais depuis petit, mais il reste difficile de croire qu'une pandémie décimera la moitié de la population et transformera le reste en Impurs. Et pourtant... le peu de survivants que nous sommes aujourd'hui ont malheureusement assisté au massacre. Se reconstruire est difficile. Se penser en sécurité également. Mais lorsqu'on fait partie d'une communauté, certaines craintes s'envolent. Jusqu'à ce qu'on se souvienne que c'est chacun pour soi."