La fille du lycée

Je crois en toi

*lucy*

Deux semaine c'est écoulé depuis la soirée d'affaire du père de Lévy. J'ai finalement réussi à trouver un petit job après mes cours, là patronne s'appelle mirajane de fil en aiguille nous sommes très vite devenue amie. Elle a complètement compris ma situation je suis heureuse, alors je travail dans son bar restaurant en fonction de mes cours. Puis il y à midnight l'homme que j'ai « sauvé » je l'apprécie beaucoup, il est attachant et souvent on ce croise pour discuter, à vrai dire je ne connais pas grand chose de lui pourtant j'ai cette impression de pouvoir lire en lui comme dans un livre ouvert étonnant non? Pour le moment je mène une vie monotone, pas très exaltant. Aujourd'hui c'est le week-end, le soleil me réveil doucement. Lévy est partie dans sa résidence secondaire avec ses parents, mirajane n'a pas besoin de moi alors je vais m'ennuyer..le peu de motivation émanant de mon corps me fait aller prendre une douche. Habillé d'un short noir et d'une brassière noir de sport j'enfile mes baskets pour aller sur le toit de l'immeuble accessible uniquement de mon appartement un jolie privilégie! Tableau peinture en main j'installe tout sous le soleil qui propulse sa chaleur réconfortante, musique dans les oreilles je commence à peindre ce qui me vient tout en ignorant le monde qui m'entoure. Au bout d'un certain temps mon téléphone sonne ce qui me coupe dans mon élan musical. Midnight ? Je décroche.
- t'es ou? Demande t'il d'une voix froide
- chez moi pourquoi? Demande ai je en continuant ma peinture
- je suis devant ton immeuble t'es rideaux sont fermer tu te fou de moi? Demande t'il froidement
- mais non je suis juste sur le toit ! Râlais je
- ouvre moi. Dit il
- le code c'est 789. Dit ai je en soufflant
Je raccroche en enlevant mes écouteurs pour attendre ce ténébreux monter.

*natsu*

Je passe le grand portail à l'aide du code donner par Lucy, j'aperçois le gardien sensé sécurisé le bâtiment je dit bien sensé mais ce gros porc sors de sa cachette avec une femme en train de se rhabiller en me voyant. Je le savais bien que son immeuble été dangereux.
- et toi ! Ta rien à faire ici! Dit il transpirant
Je le regarde d'un air méchant je peux lire sa peur dans ses pupilles.
- écoute moi bien troy si tu veux pas que ta femme apprenne ton adultère et ton incompétence au travail ainsi que tes supérieurs je te conseil de trouver un autre travail. Dit ai je méchamment
Surpris de mes paroles il recule d'un pas avant de repartir près de la femme. Je continue mon chemin. Je reçois un message de Lucy en montant.
De Lucy à midnight
Mon appartement est ouvert rentre et monte l'escalier descendu par une trappe.

Elle est trop naïve et insouciante. En entrant chez elle je prend soin de fermer à clef avant de monter sur le toit. Je la vois réfléchir devant une toile, habillé légèrement les cheveux aux vents.

*lucy*

En réfléchissant devant la toile je tourne le visage pour voir qu'il est enfin là. Je souris en lui faisant signe.
- étonnant de te voir. Dit ai je avec ironie
- commence pas pourquoi tu ferme pas ta porte à clef quand t'es toute seule en plus sur le toit? Demande t'il froidement
- ah j'ai du oublié encore une fois! Rigolais je nerveusement
- oublie pu il peux arriver n'importe quoi, d'ailleurs pourquoi tu déménages pas ?être à côté de la frontière des quartiers chaud n'est pas une bonne idée. Explique t'il en admirant la vue
- je n'ai pas les moyens financièrement c'est compliqué avec mes soins médicaux c'est encore pire! De plus les étudiants ne sont pas pris au sérieux. Explique ai je calmement
Il me regarde sans rien répondre c'est plutôt gênant. Je continue donc à peindre dans un silence de mort.
- tu n'as pas trouver de donneur? Demande t'il
- non. Répondais ai je simplement
- le père de ton amie pourrait t'aider. Dit il
De ma main faible je sert mon pinceau.
- je n'ai pas besoin de profiter d'une situation alors que je ne suis pas la seule à attendre, je serais égoïste de vouloir sacrifier la chance unique attendu depuis peut-être des années à une personne désespérer, alors que moi j'ai perdu espoir le jour ou ma maladie a été détectée. Expliquais je
- tu dit n'importe quoi ça arrivera. Dit il en croisant les bras
- ce jour la il sera trop tard, alors je préfère me faire à l'idée qu'un jour je perdrais tout. Dit ai je en baissant les yeux
- arrête de dire des bêtises idiotes. Dit il froidement
Je continue de serrer mon pinceau au point qu'il se casse dans ma main, surpris je lâche en reculant. Arhh encore..je tiens mon front avec ma main, ma faiblesse me fait chuter midnight me rattrape d'une délicatesse étonnante, il me porte alors que mon souffle est irrégulier, des goutes de transpiration dégouline sur mon visage fatigué me posant sur mon lit en me dévisageant il reste sans émotion.
- tu devrais te reposer tu as trop forcer aujourd'hui la chaleur n'a rien arranger. Dit il
- no..non.. ça va..articulais je
Il soupir avant de venir s'installer à côté de moi, il me tire vers lui instantanément je rougis légèrement.
- repose toi je ne bouge pas c'est un ordre. Dit il de sa voix roque
Je souris légèrement, faiblement j'enroule un bras juste en bas de son torse, il ressert l'étreinte doucement. Je relève légèrement mon visage et d'un geste presque naturelle je l'embrasse il a bien mis trois seconde avant de répondre. Je me laisse tomber sur son torse trop faible je m'endors sans soucis sur lui.

*natsu*
Je l'ai vue faible comme si la mort essayer de prendre son âme. Sur son lit son teint pâle me donne un pincement au cœur, c'est normal en étant amis non? Têtu comme elle est je me suis mit à côté d'elle pour qu'elle se repose en sécurité, sûrement à cause de sa fatigue elle m'a embrassé, je n'aime pas cette sensation que cela me procure mais juste une fois..une seule fois..j'ai répondu à son baisers avant qu'elle ne tombe endormie sur mon torse d'un seul coup. J'ai sentie son bras m'entourer, pour serrer comme si elle avait peur que je parte. Sans réalisé mes actes j'enlève quelque mèche de ses cheveux gênant son visage endormie paisiblement, je souris bêtement en l'entendant  gémir au contact de ma peau sur la sienne.
- pourquoi tu es encore là malgré ce que je suis? Chuchotais je
Je sens une main fraîche et faible caresser délicatement ma joue.
- parce que je crois en toi..articule t'elle faiblement
Elle se rendors aussitôt. Pourquoi tu fait sa ? Pourquoi tu crois en moi comme si tout cela était une évidence? Non ça dois s'arrêter..