I'm yours

32. Control

Damon

Son corps me rendais fou, je voyais ses hanches, ses épaules, son dos, et ses fesses putain ses délicieuses fesses. Je les ai empoignées m'acharnant en elle. Je m'introduisais dans son intimité, la pilonnant, je ne pouvais pas me stopper, tout son corps me demandait, m'appelait, me suppliait. Je l'ai saisie par les épaules, certes la voir les fesses en l'air était une vision terriblement excitante, mais là je voulais la sentir contre mon corps, sentir tout son corps vibrer contre le moi.

Elle s'est laissée faire, elle s'offrait à moi, je pouvais lui faire tout ce que je voulais. Quelle sensation grisante d'avoir cette femme sous mon contrôle. J'ai donc relevé son corps, plaçant son dos contre mon torse, elle a jetée la tête en arrière sur mon épaule, j'ai alors passé mes doigts autour de son cou, la maintenant comme ça, redoublant de violence dans mes coups de reins, cette femme me faisait perdre la raison. J'ai malaxé ses seins, avant de pincer fort ses tétons, la faisant hurler. Qu'est ce que j'aimais la rendre folle. Son corps était si frêle, si doux, j'en prenais soin elle le méritait, elle méritait qu'un homme s'occupe bien d'elle.

- Damon.

Putain quand elle gémissait mon prénom comme ça, c'était... c'était... trop. Je l'ai poussé sur le lit, amortissant sa chute avec ma main placée sur son ventre, mon corps suivait le sien, je me suis laissé tomber sur elle. Je ne me suis pas un instant retiré, je n'étais pas capable de me détacher d'elle, c'était trop bon.

J'avais tout mon corps sur le sien, elle ne pouvait rien faire, cette femme était à moi, sous moi.

Je regardais ma queue entrer et sortir dans son intimité, elle mouillait tellement que j'entrais sans difficultés. La voir prendre ma longueur en entier en elle était une vision tellement indécente !

Puis mon regard s'est porté sur son petit trou, putain qu'est ce qu'il m'attirait j'avais tellement envi de m'enfoncer en elle. Je suis sur qu'elle allait adorer ce plaisir nouveau. Si je m'étais écouté j'aurai sorti ma bite de sa chatte pour forcer ce petit trou, m'enfoncer, ne lui laissant pas d'autre choix que d'accepter ma bite dans son petit cul. J'en mourrais d'envi. Mais je ne pouvais pas la forcer, même si elle allait aimer ça, je ne devais pas laisser ce côté bestial prendre le dessus. J'essayais de contenir cette pulsion qui irradiait mes veines. J'ai fermé les yeux, tentant de fuir cette délicieuse pensée, mais je ne pouvais pas m'empêcher de l'imaginer crier sous la douleur et le plaisir que ça provoquerait en elle quand j'allais ouvrir son petit cul. Putain c'était trop.

Je me suis retiré, m'éloignant quelques secondes de son corps pour me délivrer de son emprise, il fallait que mon désir pour elle redescende, sinon j'allais vraiment la dominer. Et je ne savais pas si elle serait capable d'accepter ce que j'allais lui faire ...